La littérature française au dix-septième siècle |
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... forme que la na- ture même de l'auteur devait lui imposer . Ainsi s'explique la variété des productions d'une époque féconde entre toutes , et que des critiques étroits condamnent , on ne sait pourquoi , à une froide uniformité . ; II C ...
... forme que la na- ture même de l'auteur devait lui imposer . Ainsi s'explique la variété des productions d'une époque féconde entre toutes , et que des critiques étroits condamnent , on ne sait pourquoi , à une froide uniformité . ; II C ...
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... léger de fond et de forme , et qui fit un certaine figure dans le monde des lettres , où il porta e la fardant , la casuistique de sa Compagnie , fut surto frappé de la tolérance excessive de M. de Vaugelas . 44 L'ACADÉMIE.
... léger de fond et de forme , et qui fit un certaine figure dans le monde des lettres , où il porta e la fardant , la casuistique de sa Compagnie , fut surto frappé de la tolérance excessive de M. de Vaugelas . 44 L'ACADÉMIE.
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... forme , qui est réelle , semble achetée bien cher . N'est - ce pas l'impression que produit aussi le palais de Versailles , ce véritable monument du règne ? Rien de plus noble , rien de plus imposant , rien XVIIE SIÈCLE de plus froid ...
... forme , qui est réelle , semble achetée bien cher . N'est - ce pas l'impression que produit aussi le palais de Versailles , ce véritable monument du règne ? Rien de plus noble , rien de plus imposant , rien XVIIE SIÈCLE de plus froid ...
Page 57
... formes , la réduire à l'unité . Il disait que la philosophie était un arbre , qui avait pour racines la métaphysique , pour tronc la physique , et dont les branches étaient la mécanique , la médecine , la morale . Dans toutes ces scien ...
... formes , la réduire à l'unité . Il disait que la philosophie était un arbre , qui avait pour racines la métaphysique , pour tronc la physique , et dont les branches étaient la mécanique , la médecine , la morale . Dans toutes ces scien ...
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... forme même de sa pensée revêt le costume de la langue latine . Sans parler des locutions toutes latines , des ex- pressions employées dans le sens latin , la phrase lente , longue , souvent embarrassée , a toute l'allure de la période ...
... forme même de sa pensée revêt le costume de la langue latine . Sans parler des locutions toutes latines , des ex- pressions employées dans le sens latin , la phrase lente , longue , souvent embarrassée , a toute l'allure de la période ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 383 - certains animaux farouches , des mâles et des femelles : répandus par la campagne , noirs , livides , et tout brûlés du soleil , attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée , et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine...
Page 198 - Console-toi, tu ne me chercherais pas, si tu ne m'avais trouvé. Je pensais à toi dans mon agonie, j'ai versé telles gouttes de sang pour toi.
Page 88 - ... n'est-il pas vrai aussi qu'il y pourrait être excité plus fortement par la vue des malheurs arrivés aux personnes de notre condition, à qui nous ressemblons tout à fait, que par l'image de ceux qui font trébucher de leurs trônes les plus grands monarques, avec qui nous n'avons aucun rapport qu'en tant que nous sommes susceptibles des passions qui les ont jetés dans ce précipice : ce qui ne se rencontre pas toujours?
Page 326 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Page 48 - Amyot, dans le cardinal d'Ossat : dans les ouvrages les plus enjoués et dans les plus sérieux, il avait je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi , de vif et de passionné. On a retranché . si je ne me trompe, plus de mots qu'on n'en a introduits.
Page 60 - Mais aussitôt après je pris garde que , pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais fusse quelque chose ; et , remarquant que cette vérité : Je pense , donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais.
Page 410 - De la foi d'un chrétien les mystères terribles D'ornements égayés ne sont point susceptibles...
Page 222 - Quant à son temps, bien le sut dispenser : Deux parts en fit, dont il soûlait passer L'une à dormir, et l'autre à ne rien faire.
Page 105 - ... ni le haïr à demi; ferme génie que nous avons vu, en ébranlant l'univers, s'attirer une dignité qu'à la fin il...
Page 92 - Il est facile aux spéculatifs d'être sévères; mais s'ils voulaient donner dix ou douze poèmes de cette nature au public, ils élargiraient peut-être les règles encore plus que je ne fais, sitôt qu'ils auraient reconnu par l'expérience quelle contrainte apporte leur exactitude, et combien de belles choses elle bannit de notre théâtre.