Car, suivant les raisonnements que je viens de faire, pour connaître la nature de Dieu, autant que la mienne en était capable, je n'avais qu'à considérer de toutes les choses dont je trouvais en moi quelque idée, si c'était perfection, ou non, de... L'Année philosophique - Page 1111901Full view - About this book
| René Descartes - 1844 - 618 pages
...perfections que je pouvais remarquer être en Dieu. Car, suivant les raisonnements que je viens de faire, pour connaître la nature de Dieu autant que la mienne...était capable , je n'avais qu'à considérer , de toute* les choses dont je trouvais en moi quelque idée , si c'était perfection ou non de les posséder... | |
| Pierre Laromiguière - Philosophy - 1844 - 532 pages
...perfections que je pouvais remarquer être en Dieu. Car suivaflt les raisonnemens que je viens de faire, pour connaître la nature de Dieu , autant que la mienne en était capable, ii. 35 je n'avais qu'à considérer de toutes les choses dont je trouvais en moi quelque idée, si... | |
| Alfred Lorquet - Philosophy - 1847 - 424 pages
...perfections que je pouvais remarquer être en Dieu. Car, suivant les raisonnements que je viens de faire , pour connaître la nature de Dieu, autant que la mienne...posséder; et j'étais assuré qu'aucune de celles qui inarquaient quelque imperfection n'était eu lui , mais que toutes les autres y étaient : comme je... | |
| René Descartes - Filosofia - 1850 - 700 pages
...perfections que je pouvais remarquer être en Dieu. Car, suivant les raisonnements que je viens de faire, pour connaître la nature de Dieu autant que la mienne...imperfection n'était en lui, mais que toutes les autres 7 étaient : comme je voyais que le doute, l'inconstance, la trislesso. et choses semblables n'y pouvaient... | |
| Charles François Chevé - 1853 - 732 pages
...remarquer ôtre en Dieu. Car, suivant les raisonnements que je viens do faire pour connaître la nature do Dieu autant que la mienne en était capable, je n'avais qu'à considérer, de toutes les choses queje trouvais^en moi quelque idée, si c'était perfection ou non les posséder, et j'étais assuré... | |
| Francisque Bouillier - 1854 - 634 pages
...doivent se déterminer les attributs de Dieu : « Suivant les raisonnements que je viens de faire, pour connaître la nature de Dieu, autant que la mienne...n'était en lui, mais que toutes les autres y étaient (2). » Ce principe est le vrai ; Descartes sans en avoir fait une application aussi étendue et aussi... | |
| Auguste Joseph Alphonse Gratry - 1854 - 472 pages
...le procédé que voici : « Suivant les « raisonnements que je viens de faire, pour con« naître la nature de Dieu , autant que la mienne en « était...j'étais assuré qu'aucune de celles qui marquaient 1 Principes, p. 235. — 2 Principes, p. 2,19, , « quelque imperfection n'était en lui , mais que... | |
| Francisque Bouillier - 1854 - 698 pages
...Dieu autant que la mienne en est capable, je n'ai qu'à considérer de toutes les choses dont j'ai en moi quelque idée, si c'était perfection ou non...n'était en lui, mais que toutes les autres y étaient. » Leibnitz dit mieux encore que Descartes, mais non pas mieux que Malebranche ou Fénelon : « Pour... | |
| Francisque Bouillier - 1854 - 632 pages
...doivent se déterminer les attributs de Dieu : « Suivant les raisonnements que je viens de faire, pour connaître la nature de Dieu, autant que la mienne en était capable, je n'avais qu'a considérer de toutes les choses dont je trouvais en moi quelque idée, si c'était perfection... | |
| Francisque Cyrille Bouillier - 1854 - 870 pages
...n'ai qu'à considérer de toutes les choses dont j'ai en moi quelque idée, si c'était perfeetion ou non de les posséder, et j'étais assuré qu'aucune de celles qui marquaient quelque imperfeetion n'était en lui, mais que toutes les autres y étaient. ' Leibnitz dit mieux encore que... | |
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