Œuvres complètes, réunies et publ. par L. Feugère |
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... siècle mérite bien quelque place dans les archives littéraires des siècles suivants . >> L'accueil bienveillant fait par le public à mon Etude sur la vie et les ouvrages de cet écrivain2 , m'a permis de penser que le moment était venu ...
... siècle mérite bien quelque place dans les archives littéraires des siècles suivants . >> L'accueil bienveillant fait par le public à mon Etude sur la vie et les ouvrages de cet écrivain2 , m'a permis de penser que le moment était venu ...
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... siècle a confirmé par son suffrage plus d'une réparation de ce genre . Il ne refuse plus un rang aux écrivains du xvIe siècle parmi les glorieux ancêtres de la France littéraire ; il mèle au culte des génies du XVIIe une pensée re ...
... siècle a confirmé par son suffrage plus d'une réparation de ce genre . Il ne refuse plus un rang aux écrivains du xvIe siècle parmi les glorieux ancêtres de la France littéraire ; il mèle au culte des génies du XVIIe une pensée re ...
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... siècle , t . II , p . 257 ; t . III , p . 430 et suiv . ( 2o édit . ) 2. « Il ne sçavoit , nous a - t - il dit lui - même , rien si bien faire qu'estre amy . » I , 9 . dres et les sentiments généreux . Elle s'écoula presque tout ...
... siècle , t . II , p . 257 ; t . III , p . 430 et suiv . ( 2o édit . ) 2. « Il ne sçavoit , nous a - t - il dit lui - même , rien si bien faire qu'estre amy . » I , 9 . dres et les sentiments généreux . Elle s'écoula presque tout ...
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... siècle . L'un des premiers , en s'efforçant de reproduire les ouvrages des anciens , il montra le secret de les imiter . Par là il prit une part active aux progrès de notre langue et au développement de notre génie national . Une ...
... siècle . L'un des premiers , en s'efforçant de reproduire les ouvrages des anciens , il montra le secret de les imiter . Par là il prit une part active aux progrès de notre langue et au développement de notre génie national . Une ...
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... siècle " ) , c'est qu'il est 1. V. Baillet , Jugements des savants , t . 111 , p . 106 . 2. En France , dès le XIII ° siècle , cet ouvrage avait été traduit en latin : v . Am . Jourdain , Recherches sur les tra- ductions latines d ...
... siècle " ) , c'est qu'il est 1. V. Baillet , Jugements des savants , t . 111 , p . 106 . 2. En France , dès le XIII ° siècle , cet ouvrage avait été traduit en latin : v . Am . Jourdain , Recherches sur les tra- ductions latines d ...
Contents
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Common terms and phrases
advis amour Amours de Cassandre Amyot apres avecques avoit ayans ayse beau Bellay belle besoing Boëtie celuy certes ceste chascun chasque chose Cicéron cité cœur cognoissance cognoistre Columelle compaignie Critobule croy d'estre desjà Dieu dire doibt doncques droict enfans estant esté Estienne estoit estre eust femme fruicts fust gaigner grec Hæc Hist Homère hommes Hygin j'ay jamais l'agriculture l'édit Laërte latin locution maison maistre Marot mary ment mesme mesnage mesnagerie MICHEL DE MONTAIGNE mihi monstre Montaigne Nicot ô Ischomache ô Socrates Ovide païs parle pense Pétrarque plaisir plant Pline Plutarque poëte poinct Precellence prins Properce proufit quæ quid quod quoy rien Ronsard Roquefort s'il sçachant sçais sçait sçavoir sçay semble sens seroit seulement soing sonnet suivant terre Théophraste tibi tost tousjours toutesfois toy mesme treuve tyran Varron Vaugelas veoir verbe Voylà vray Xénophon XVIe siècle
Popular passages
Page 3 - Je vay bien jusques à ce second point avec mon peintre, mais je demeure court en l'autre et meilleure partie ; car ma suffisance ne va pas si avant que d'oser entreprendre un tableau riche, poly et formé selon l'art.
Page 293 - ... les auteurs viennent lire leurs pièces nouvelles, pour nous engager à les trouver belles, et leur donner de la réputation ; et je vous laisse à penser si, quand nous disons quelque chose, le parterre ose nous contredire. Pour moi, j'y suis fort exact ; et quand j'ai promis à quelque poète, je crie toujours, voilà qui est beau, devant que les chandelles soient allumées.
Page 477 - Tout est dit : et l'on vient trop tard depuis plus de sept mille ans qu'il ya des hommes, et qui pensent.
Page 433 - La javelle à plein poing tomber sous la faucille, Le vendangeur ployer sous le faix des paniers, Et semble qu'à l'envi les fertiles montagnes, Les humides vallons et les grasses campagnes, S'efforcent à remplir sa cave et ses greniers.
Page 23 - Comment at-il tant de mains pour vous frapper, s'il ne les prend de vous? Les pieds dont il foule vos cités, d'où les at-il, s'ils ne sont des vôtres?
Page 441 - Je ne veux feuilleter les exemplaires grecs, Je ne veux retracer les beaux traits d'un Horace, Et moins veux-je imiter d'un Pétrarque la grâce, Ou la voix d'un Ronsard, pour chanter mes Regrets. Ceux qui sont de Phébus vrais poètes sacrés, Animeront leurs vers d'une plus grande audace : Moi, qui suis agité d'une fureur...
Page 22 - Pauvres gents et miserables, peuples insensez, nations opiniastres en vostre mal, et aveugles en vostre bien, vous vous laissez emporter devant vous le plus beau et le plus clair de vostre revenu, piller vos champs, voler vos maisons, et les dépouiller des meubles anciens et paternels! Vous vivez de sorte que vous pouvez dire que rien n'est à vous; et...
Page 48 - Mais les gens assubjectis, outre ce courage guerrier, ils perdent encores en toutes autres choses la vivacité , et ont le cœur bas et mol, et sont incapables de toutes choses grandes.
Page 439 - L'un d'eux, s'ennuyant au logis, Fut assez fou pour entreprendre Un voyage en lointain pays. L'autre lui dit : " Qu'allez-vous faire ? Voulez-vous quitter votre frère ? L'absence est le plus grand des maux : Non pas pour vous, cruel ! Au moins, que les travaux, Les dangers, les soins du voyage.
Page 23 - Celui qui vous maîtrise tant n'a que deux yeux, n'a que deux mains, n'a qu'un corps et n'a autre chose que ce qu'a le moindre homme du grand nombre...