Œuvres complètes, réunies et publ. par L. Feugère |
From inside the book
Results 1-5 of 89
Page 7
... avecques raison , il falloit dire que la domination de plusieurs ne pouvoit estre bonne , puis que la puissance d'un seul , des lors qu'il prend ce tiltre de maistre , est dure et des- raisonnable , il est allé adjouster tout au rebours ...
... avecques raison , il falloit dire que la domination de plusieurs ne pouvoit estre bonne , puis que la puissance d'un seul , des lors qu'il prend ce tiltre de maistre , est dure et des- raisonnable , il est allé adjouster tout au rebours ...
Page 14
... avecques le duc de Savoye : Les animaux peureux De fiers lyons ne naissent , Et les couards ne laissent Des enfans genereux . Recreu ( recrudescere ) , las , épuisé de fatigue , est em- ployé , dit Nicot , par Belleau et Ronsard celui ...
... avecques le duc de Savoye : Les animaux peureux De fiers lyons ne naissent , Et les couards ne laissent Des enfans genereux . Recreu ( recrudescere ) , las , épuisé de fatigue , est em- ployé , dit Nicot , par Belleau et Ronsard celui ...
Page 25
... avecques les droicts que nature nous a donnez , et les ensei- gnemens qu'elle nous apprend , nous serions naturellement obeïssans aux parens , subjects à la raison et serfs de personne ' : de l'obeïssance que chascun , sans autre ...
... avecques les droicts que nature nous a donnez , et les ensei- gnemens qu'elle nous apprend , nous serions naturellement obeïssans aux parens , subjects à la raison et serfs de personne ' : de l'obeïssance que chascun , sans autre ...
Page 28
... avecques affection de la defendre . Or si d'adventure nous faisons quelque doubte en cela , et sommes tant abastardis que ne puissions recognoistre nos biens , ny semblablement nos naïfves affec- tions , il faudra que je vous face l ...
... avecques affection de la defendre . Or si d'adventure nous faisons quelque doubte en cela , et sommes tant abastardis que ne puissions recognoistre nos biens , ny semblablement nos naïfves affec- tions , il faudra que je vous face l ...
Page 30
... avecques protestation d'un desir contraire ; quel malen- contre a esté cela , qui a peu tant desnaturer l'homme , seul nay ( de vray ) pour vivre franche- ment , de lui faire perdre la souvenance de son premier estre et le desir de le ...
... avecques protestation d'un desir contraire ; quel malen- contre a esté cela , qui a peu tant desnaturer l'homme , seul nay ( de vray ) pour vivre franche- ment , de lui faire perdre la souvenance de son premier estre et le desir de le ...
Contents
3 | |
14 | |
18 | |
25 | |
31 | |
42 | |
49 | |
57 | |
240 | |
259 | |
268 | |
276 | |
307 | |
329 | |
339 | |
425 | |
82 | |
123 | |
136 | |
192 | |
200 | |
204 | |
217 | |
447 | |
453 | |
466 | |
471 | |
512 | |
531 | |
Common terms and phrases
advis amour Amours de Cassandre Amyot apres avecques avoit ayans ayse beau Bellay belle besoing Boëtie celuy certes ceste chascun chasque chose Cicéron cité cœur cognoissance cognoistre Columelle compaignie Critobule croy d'estre desjà Dieu dire doibt doncques droict enfans estant esté Estienne estoit estre eust femme fruicts fust gaigner grec Hæc Hist Homère hommes Hygin j'ay jamais l'agriculture l'édit Laërte latin locution maison maistre Marot mary ment mesme mesnage mesnagerie MICHEL DE MONTAIGNE mihi monstre Montaigne Nicot ô Ischomache ô Socrates Ovide païs parle pense Pétrarque plaisir plant Pline Plutarque poëte poinct Precellence prins Properce proufit quæ quid quod quoy rien Ronsard Roquefort s'il sçachant sçais sçait sçavoir sçay semble sens seroit seulement soing sonnet suivant terre Théophraste tibi tost tousjours toutesfois toy mesme treuve tyran Varron Vaugelas veoir verbe Voylà vray Xénophon XVIe siècle
Popular passages
Page 3 - Je vay bien jusques à ce second point avec mon peintre, mais je demeure court en l'autre et meilleure partie ; car ma suffisance ne va pas si avant que d'oser entreprendre un tableau riche, poly et formé selon l'art.
Page 293 - ... les auteurs viennent lire leurs pièces nouvelles, pour nous engager à les trouver belles, et leur donner de la réputation ; et je vous laisse à penser si, quand nous disons quelque chose, le parterre ose nous contredire. Pour moi, j'y suis fort exact ; et quand j'ai promis à quelque poète, je crie toujours, voilà qui est beau, devant que les chandelles soient allumées.
Page 477 - Tout est dit : et l'on vient trop tard depuis plus de sept mille ans qu'il ya des hommes, et qui pensent.
Page 433 - La javelle à plein poing tomber sous la faucille, Le vendangeur ployer sous le faix des paniers, Et semble qu'à l'envi les fertiles montagnes, Les humides vallons et les grasses campagnes, S'efforcent à remplir sa cave et ses greniers.
Page 23 - Comment at-il tant de mains pour vous frapper, s'il ne les prend de vous? Les pieds dont il foule vos cités, d'où les at-il, s'ils ne sont des vôtres?
Page 441 - Je ne veux feuilleter les exemplaires grecs, Je ne veux retracer les beaux traits d'un Horace, Et moins veux-je imiter d'un Pétrarque la grâce, Ou la voix d'un Ronsard, pour chanter mes Regrets. Ceux qui sont de Phébus vrais poètes sacrés, Animeront leurs vers d'une plus grande audace : Moi, qui suis agité d'une fureur...
Page 22 - Pauvres gents et miserables, peuples insensez, nations opiniastres en vostre mal, et aveugles en vostre bien, vous vous laissez emporter devant vous le plus beau et le plus clair de vostre revenu, piller vos champs, voler vos maisons, et les dépouiller des meubles anciens et paternels! Vous vivez de sorte que vous pouvez dire que rien n'est à vous; et...
Page 48 - Mais les gens assubjectis, outre ce courage guerrier, ils perdent encores en toutes autres choses la vivacité , et ont le cœur bas et mol, et sont incapables de toutes choses grandes.
Page 439 - L'un d'eux, s'ennuyant au logis, Fut assez fou pour entreprendre Un voyage en lointain pays. L'autre lui dit : " Qu'allez-vous faire ? Voulez-vous quitter votre frère ? L'absence est le plus grand des maux : Non pas pour vous, cruel ! Au moins, que les travaux, Les dangers, les soins du voyage.
Page 23 - Celui qui vous maîtrise tant n'a que deux yeux, n'a que deux mains, n'a qu'un corps et n'a autre chose que ce qu'a le moindre homme du grand nombre...