| Charles Perrault - Fairy tales - 1826 - 460 pages
...défendu de disputer contre les autres , je n'avais plus que faire de venir en classe. En disant cela , je lui fis la révérence , et à tous les écoliers , et sortis de la classe. Un de mes amis, nommé Beaurin , qui m'aimait fort , et qui s'était en quelque sorte rangé auprès... | |
| Charles Perrault - Fairy tales - 1842 - 370 pages
...défendu de disputer contre les autres , je n'avais plus que faire de venir en classe. En disant cela, je lui fis la révérence, et à tous les écoliers , et sortis de la classe. Un de mes amis , nommé Beaurin, qui m'aimait fort , et qui s'était en quelque sorte rangé auprès... | |
| Charles Perrault, P. L. Jacob - Fairy tales - 1842 - 400 pages
...défendu de disputer contre les autres , je n'avais plus que faire de venir en classe. En disant cela, je lui fis la révérence, et à tous les écoliers , et sortis de la classe. Un de mes amis , nommé Beaurin, qui m'aimait fort , et qui s'était en quelque sorte rangé auprès... | |
| Eudoxe Soulié - 1863 - 408 pages
...défendu de disputer contre les autres, je n'avois plus que faire de venir en classe. En disant cela je lui fis la révérence et à tous les écoliers, et sortis de la classe 2. » A cette époque le cours de philosophie durait deux ans, ainsi que l'indique Charles Perrault,... | |
| Eudore Soulié - 1863 - 412 pages
...disputer contre les autres,je n'avois plus que faire de venir en classe. En disant cela je lui lis la révérence et à tous les écoliers, et sortis de la classe 2. » A cette époque le cours de philosophie durait deux ans, ainsi que l'indique Charles Perrauît,... | |
| Eudore Soulié - Dramatists, French - 1863 - 406 pages
...défendu de disputer contre les autres, je n'avois plus que faire de venir en classe. En disant cela je lui fis la révérence et à tous les écoliers, et sortis dela classe2. » A cette époque le cours de philosophie durait deux ans, ainsi que l'indique Charles... | |
| Charles Perrault - 1878 - 192 pages
...défendu de disputer contre les autres, je n'avois plus que faire de venir en classe. En disant cela, je lui fis la révérence et à tous les écoliers, et sortis de la classe. Un de mes amis, nommé Beaurain, qui m'aimoit fort, et qui s'étoit en quelque sorte rangé auprès... | |
| French literature - 1909 - 650 pages
...puisqu'il m'était défendu de disputer contre les autres, je n'avais plus que faire de venir en classe... Je lui fis la révérence et à tous les écoliers, et sortis de la classe. » — II fut suivi patun camarade dans cet exode. Tous deux s'en furent au jardin du Luxembourg, où... | |
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