 | Mariana Alcoforado - 1909 - 88 pages
...ne vous reverray, peut-être jamais ? M'avezvous pour toujours abandonnée ? Je suis au désespoir, votre pauvre Marianne n'en peut plus, elle s'évanouit en finissant cette lettre. Adieu, adieu, ayez pitié de moy. TROISIÈSME LETTRE OU'EST-CE que je deviendray, et qu'est-ce que... | |
 | Richard L. Barnett - French literature - 1986 - 154 pages
...souffrir sa passion se confondent dans une même opération, les deux expériences sont conjointes: "Votre pauvre Marianne n'en peut plus, elle s'évanouit en finissant cette lettre" (p. 46); perdre conscience et cesser de parler sont les deux faces d'un même épuisement. (pp. 62-63)... | |
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... plus cher que ma vie, il me donne quelque plaisir: mais il me donne aussi bien de la douleur lorsque je pense que je ne vous reverray, peut-estre jamais, pourquoi faut-il qu'il soit possible, que je ne vous reverray, peut-estre jamais ? M'avez-vous... 