Paris démoli |
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Page 199
... Choiseul , les rues Monsigny , Marsolier , etc. Au fronton de la prin- cipale façade se voyait un vaste cadran dont il ne faut pas oublier de parler , car il y a là un souvenir de J.-J. Rousseau et de son inepte Thérèse . On sait que ...
... Choiseul , les rues Monsigny , Marsolier , etc. Au fronton de la prin- cipale façade se voyait un vaste cadran dont il ne faut pas oublier de parler , car il y a là un souvenir de J.-J. Rousseau et de son inepte Thérèse . On sait que ...
Page 254
... Choiseul actuelle n'a de longueur ; puis , en suivant toujours , on trouvait les jardins du petit hôtel de Conti , qui disparut vers 1777 pour faire place à la rue dont M. de la Michodière , alors prévôt des marchands , avait désiré d ...
... Choiseul actuelle n'a de longueur ; puis , en suivant toujours , on trouvait les jardins du petit hôtel de Conti , qui disparut vers 1777 pour faire place à la rue dont M. de la Michodière , alors prévôt des marchands , avait désiré d ...
Page 279
... Choiseul . Disgrâce et ruine d'un ministre . Trois rues et un théâtre pour un hôtel . Origi- ne des rues de Provence , d'Artois , Le Pelletier , etc. Grimod de la Reynière à l'hôtel Choiseul . Le ministre déchu à la Grange- Batelière ...
... Choiseul . Disgrâce et ruine d'un ministre . Trois rues et un théâtre pour un hôtel . Origi- ne des rues de Provence , d'Artois , Le Pelletier , etc. Grimod de la Reynière à l'hôtel Choiseul . Le ministre déchu à la Grange- Batelière ...
Page 291
... Choiseul ; et c'est en effet là qu'habitait celui qui avait porté le plus haut ce nom de Choiseul , auquel on pourrait même dire qu'il avait créé une gloire , sinon tout à fait une no- blesse et une considération . De toutes les ...
... Choiseul ; et c'est en effet là qu'habitait celui qui avait porté le plus haut ce nom de Choiseul , auquel on pourrait même dire qu'il avait créé une gloire , sinon tout à fait une no- blesse et une considération . De toutes les ...
Page 293
... Choiseul l'en avait com- blé ( 1 ) ; c'est dire que Laborde avait hâte de les lui ren- dre en bons offices . Tant que son bienfaiteur avait été ministre , il avait donc tout fait pour lui être utile ; mais c'était de la reconnaissance ...
... Choiseul l'en avait com- blé ( 1 ) ; c'est dire que Laborde avait hâte de les lui ren- dre en bons offices . Tant que son bienfaiteur avait été ministre , il avait donc tout fait pour lui être utile ; mais c'était de la reconnaissance ...
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Common terms and phrases
assez avaient bâtir beau belle Béthizy Boileau boulevard Bouret butte Saint-Roch C'était chambre chanoine Choiseul chose cloître coin Coligny collége Crozat curieux d'Aubigné Daugny demeure dernier Despréaux devait dit-il donner enfin eût faisait fameux faubourg femme fermier général fief fille François Ier Françoise d'Aubigné galerie Gilles Boileau Gogo Grange Grange-Batelière guichets guichets du Louvre habitait homme hôtel jardin jour jusqu'à l'abbé l'hôtel l'un Laborde laissé Léonard Bourdon lettre livre logis Louis XIV Louvre maçons madame de Sévigné madame Scarron mademoiselle maison Marais marchands ment mieux Molière Montaigu Montmartre mort moulins n'avait n'était palais parler passage passé pauvre Pincourt Pinon Piron place poëte porte porte Montmartre pourtant Pradel premier quai quartier rempart rent reste Richelieu rien Robespierre royal rue Saint-Honoré rue Sainte-Anne s'en s'était Saint Saint-Honoré satire seigneur seul sieur Sophie Arnould sorte surtout Tallemant terrain théâtre tion trouvait venait vieux vint voisinage voisine XVIIe siècle
Popular passages
Page 36 - La curiosité n'est pas un goût pour ce qui est bon ou ce qui est beau, mais pour ce qui est rare, unique, pour ce qu'on a et ce que les autres n'ont point. Ce n'est pas un attachement à ce qui est parfait, mais à ce qui est couru, à ce qui est à la mode. Ce n'est pas un amusement, mais une passion, et souvent si violente, qu'elle ne cède à l'amour et à l'ambition que par la petitesse de son objet.
Page 202 - Voltaire : la seconde fut plus résolutive, puisqu'il consentit, après les plus vives instances de ma part, à me recueillir chez lui comme son pensionnaire, et à faire bâtir au-dessus de son logement un petit théâtre, où il eut la bonté de me faire jouer avec ses nièces et toute ma société. Il ne voyait qu'avec un déplaisir horrible qu'il nous en avait coûté jusqu'alors beaucoup d'argent pour amuser le public et nos amis. La dépense que cet établissement momentané occasionna à M.
Page 133 - T'accommodes- tu mieux de ces douces Ménades, Qui, dans leurs vains chagrins, sans mal toujours malades, Se font des mois entiers, sur un lit effronté, ~ Traiter d'une visible et parfaite santé ; Et douze fois par jour, dans leur molle indolence, Aux yeux de leurs maris tombent en défaillance...
Page 11 - C'est toi qui es un traître, et je vais te faire fusiller ! » A ces mots, je prends de la main gauche un de mes pistolets, et, faisant un à droite, je le tire. Je croyais le frapper à la poitrine, mais la balle le prend au menton et lui casse la mâchoire gauche inférieure; il tombe de son fauteuil.
Page 370 - Scarron était mon ami ; sa femme m'a donné mille plaisirs « par sa conversation , et dans le temps je l'ai trouvée trop « gauche pour l'amour. Quant aux détails, je ne sais rien, je « n'ai rien vu, mais je lui ai prêté souvent ma chambre jaune
Page 46 - Oh ! trois et quatre fois béni soit cet édit Par qui des vêtements le luxe est interdit ' ! Les peines des maris ne seront plus si grandes, Et les femmes auront un frein à leurs demandes. Oh ! que je sais au roi bon gré de ces décris ' ! Et que , pour le repos de ces mêmes maris, Je voudrais bien qu'on fil de la coquetterie Comme de la guipure et de la broderie...
Page 342 - Celui qui cy maintenant dort * Fit plus de pitié que d'envie, Et souffrit mille fois la mort Avant que de perdre la vie. Passant, ne fais ici de bruit, Et garde bien qu'il ne s'éveille; Car voici la première nuit Que le pauvre Scarron sommeille.
Page 223 - C'est là qu'en mille endroits laissant errer ma vue, Je vois croître à plaisir l'oseille et la laitue ; C'est...
Page 115 - Grand roi, dont nous voyons la générosité Montrer pour le Parnasse un excès de bonté Que n'ont jamais eu tous les autres, Puissiez-vous, dans cent ans, donner encor des lois, Et puissent tous vos ans être de quinze mois, Comme vos commis font les nôtres ! PIERRE CORNEILLE.
Page 147 - Tout en est beau, tout en est bon; • Et ta plus burlesque parole Est souvent un docte sermon. Laisse gronder tes envieux ; Ils ont beau crier en tous lieux Qu'en vain tu charmes le vulgaire, Que tes vers n'ont rien de plaisant : Si tu savois un peu moins plaire, Tu ne leur déplairois pas tant.