Éloge de Charles V, roi de FranceRegnard, 1767 - 55 pages |
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20 Juin accabler adminiſtration affez Anglois appeloit auffi auroit auront droit d'elle avoit befoin Bretigny C'eft C'eſt caufes ceffe Citoyens confacrer Confeil Connétable connoiffoit courage Crécy défaftres déja difgraces diftingue diſgraces doit Duc de Bretagne Edouard efprit eft envahie enfuite eſpérer eſt Etats étoient étoit fage fageffe falloit fance fans doute fans être frappé fcience fecret fentir fervi fes foins feul fien filence foible foit foldat fon Dictionnaire fon fiècle fon Père fon Peuple fon règne font foumis fouvent François fuccès fuivant funefte fur le Registre fur-tout gloire Guefclin Guerre hommes illuftre Imprimeurs jufqu'aux juſtice L'Académie Françoiſe l'ame l'Anglois l'efprit l'Hiftoire ladite Académie laiffer Loix lorfqu'il Louis XIV Monarque n'avoit n'eft Nation Navarre néceffaire obferva par-tout penfer penſée Philoſophe plufieurs Poitiers pouvoit Préfentes Prince Prince de Galles puiffant raifon reconnoiffance reffources refpect reftes Réglemens repouffe reux Rois Royaume s'adreffent s'étoit ſe fit ſes ennemis ſon talens tion tréfors tromper vafte
Popular passages
Page 39 - LOUIS , PAR LA GRACE DE DIEU, Roi DE FRANCE ET DE NAVARRE : A nos âmes & féaux Confeillers les Gens tenans nos Cours de Parlement , Maîtres des Requêtes ordinaires de notre Hôtel , Grand-Confeil , Prévôt de Paris , Baillifs , Sénéchaux , leurs Lieutenans Civils , & autres nos Jufticiers qu'il appartiendra , SALUT.
Page 39 - BKUMOV, s'il Nous plaifoit lui accorder nos Lettres de Privilège fur ce nécefTaires ; offrant pour cet effet de le faire imprimer en bon papier, & beaux caractères , fuivant la feuille imprimée & attachée pour modèle fous le Contrefcel des Préfentes.
Page 39 - Préfentes, (ignées de notre main, de faire imprimer , vendre & débiter en tous les lieux de notre Royaume , "par tel Libraire qu'elle jugera à propos de choifir , les Remarques , ou Obfervations...
Page 8 - ... V qui arracha la France aux Anglais, Henri IV qui la sauva des Espagnols et des ligueurs, et Louis XIV qui la porta au plus haut point de splendeur et de gloire; tous trois nés dans des temps d'égarement et de discorde, forcés d'abandonner leur capitale et de l'assiéger, pour y rentrer ensuite en triomphe , ne reçurent d'abord que des outrages de ce même peuple dont ils furent adorés depuis, et se virent obligés de le combattre avant de faire son bonheur. Je me hâte de parcourir rapidement...