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des Epitaphia joco-seria de Fr. Swertius, Coloniæ, apud Bernardum Gualteri, 1623, in-8.o Les deux amans y sont nommés M. Lucius et Sardica; le premier était de Rome, et la seconde, d'Afrique. Leurs aventures, racontées en style lapidaire, sont, comme nous venons de le dire, absolument les mêmes qu'on attribue à Aranthès et à Aspasie, sauf qu'il n'y est pas question de Lyon.

Pag. 178, lign. 18, dans l'une, lisez : dans une.

Pag, 185, lign. 13. Cet Orris est sans doute l'inquisiteur Mathieu Ory que le cardinal de Tournon avait fait venir de Rome en 1553. Voy. les Mémoires de d'Artigny, tom. II, pag. 84, et les commentateurs de Rabelais, liv. II, c. 22,

ad fin.

Même pag., lign. pénult. Nous avons annoncé, tome X, etc., lisez : Nous avons annoncé, Archiv. du Rhône, tome X, etc.

Pag. 184, lign. 7-8. Simon Goulard ou Goulart, senlisien, a été l'objet d'une méprise singulière de la part des éditeurs du Plutarque d'Amyot (voy. l'édition revue par Clavier; Paris, Cussac, án IX (1801), 25 vol. in-8.o tom. II, pag. 149). Ces éditeurs se sont imaginé que les initiales S. G. S., qui bien certainement sont celles de Simon Goulart, désignaient le sieur de Girard, seigneur du Haillan. Voici leurs propres expressions: « La comparaison de Thémistocle avec Camille manque dans les ou vrages de Plutarque. Elle a été suppléée du temps même d'Amyot par S. G. S., c'est-à-dire par le sieur de Girard, seigneur du Haillan, qui a donné les dernières éditions du Plutarque d'Amyot avec des réflexions. "

Pag. 191, lign. 17. Le Lyon marchant a été réimprimé en 1831, à Paris, par les soins de M. Téchener.

Pag. 196, lign. 3, Claude Mylæus, lisez: Christophe Mylæus.

Pag. 222, lign. pénult. C'est 38,000 qu'il faut. L'erreur

de ceux qui ont dit 40 et 42,000, vient de ce qu'ils ont mal lu ou mal compris le mot duodequadraginta dans ce passage de la Biblioth. Scriptor. Soc. Jesu: Quá und in urbe (Parisiensi) duodequadraginta millia exemplarium octennio fuisse distracta narravit typographus.

Pag. 238, lign. 28, l'herboriste Attigna, lisez: l'herboriste d'Attigna. Altigna n'est pas le nom d'un homme, mais celui d'un village de l'ancienne Bresse (département de l'Ain).

Pag. 299, ligu. dernière. Minthatius, lisez : Mintatius. C'est ainsi que M. Labus écrit ce nom, contrairement au texte de l'inscription.

Pag. 308, ligu. 19, en la journée des Suisses battus, etc., lisez: en la journée des Suisses, celle où ils furent battus, etc. Pag. 309, lign. 6, vue exprimée, lisez: vu exprimée. Pag. 333, lign. 11. Un ancien scholiaste explique ainsi le mot titulus, pris dans cette acception: Est titulus memoria bonorum factorum qui solet superponi tumulis mortuorum. Lutatius ad Statii Thebaid. III, 156.

Pag. 335, lign. 13. Rien de si commun dans les inscriptious que ces noms gaulois terminés en omarus. En voici quelques exemples:

Inscription de Nîmes:

VIDIE

MVSE

EXINCOMAR VS

CRAXANII FIL.

Autre trouvée près d'Orléans, dans l'emplacement de la fontaine l'Etuvée, en 1825:

AVG. ACIONNE

SACRVM

CAPILLVS ILLIO

MARI. F. PORTICVM

CVM SVIS ORNA

MENTIS. V. S. L. M.

Autre qui est du nombre de celles que l'on a découvertes en mars 1830, dans l'arrondissement de Bernay, sur des objets en argent qui paraissent avoir fait partie d'offrandes votives déposées dans un temple de Mercure :

MERCVRIO AVG.

COMBVROMARVS BVOLANI FIL.

V. S. L. M.

Suivant Borel, Antiq. gaul., mar veut dire grand: « d'où vient, dit-il, Condomarus, Civismarus, Combolomarus, Induciomarus Viridomarus et Teutomarus, princes gaulois. "

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Pag. 354, lign. 4, premier président au même parlement. - Pierre Rémond ne fat que président à mortier au parlement de Paris; il avait été auparavant premier président au parlement de Rouen.

Pag. 357, lign. pénult. Henri III, lisez: Henri II.
Pag. 423, lign. 25, o viddi, lisez: io viddi.

Pag. 428, lign. 22, M. Raisin. - M. Antoine Raisin mourut aux Indes et institua les pauvres de l'Hôtel-Dieu ses héritiers pour un sixième de ses biens. Voy. Hist. du grand Hótel-Dieu de Lyon, par M. Et. Dagier, tom. I, pag. 452, année 1688.

Pag. 435, lign. 27. Je ne doute pas que Mad. de Sévigné ne pensât à Montaigne, aussi bien qu'à Rabelais et à Amyot, lorsqu'elle disait à sa fille (lettre du 26 août 1677): « J'aime en plusieurs occasions le vieux langage; et si on l'avoit ôté de cinq ou six livres que je vous dirois bien on en auroit ôté toute la grâce, et je n'en voudrois plus. »

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DES NOMS ET DES PRINCIPALES MATIÈRES.

(Les noms précédés d'un astérisque sont des noms de Lyonnais, ou
du moins de personnages qui ont appartenu ou appartiennent de
quelque manière à Lyon.)

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Antonin le Pieux, 295.

* Aymon (Sire), 28S.

* A. P. Voy. Pericaud ainé (M.) ⋆ Azzone ( Scipio), 43.

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Auguste, 321, 325, 389, 419. * Beau 3.
Augustin (S.), 305.

* Aulhon ou Authon (Jean d'),

189.

Aulugelle, 356.

Aurat (d'), 221.

* Aurelia Sabina, 294.

Ausone, 45, 88, 361, 433.
Autel d'Auguste, 321.
Auvergne (le cardinal d'), 414.
* Auxerre (Jacques d'), 120.
Avanson (d'), 285.
Avicenne, 88.

* Beaugeard (J. F. S. F.), 39.
Beaumarchais, 140.
Beaumont (Elie et Christophe
de), xj.

Beauzée, 110.

Bellarmin, 26.

Bellay (Jean du), évêque de
Paris,
ix.
Belleforest (Fr. de), 246, 331.
Bellièvre, 41. (Claude de ),
261, 276, 359. — (Pomponne
de), 250, 269, 413, 436.

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