Œuvres complètes de Voltaire, Volume 49la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
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Page 3
... parler de comé- diennes , je vous dirai que la Duclos ne joue prefque point , et qu'elle prend tous les matins quelques prises de féné et de caffe , et le foir plufieurs prifes du comte d'Uzès . N *** adore toujours la dégoû- tante ...
... parler de comé- diennes , je vous dirai que la Duclos ne joue prefque point , et qu'elle prend tous les matins quelques prises de féné et de caffe , et le foir plufieurs prifes du comte d'Uzès . N *** adore toujours la dégoû- tante ...
Page 4
... pour la première fois , en 1693 . ( 2 ) Tragédie - opéra de Duboulay , mufique des fils de Lulli , repréfentée en 1688 , et reprise en 1715 . " Je n'ofe pas vous parler des occupations aux- quelles 4 RECUEIL DES LETTRES.
... pour la première fois , en 1693 . ( 2 ) Tragédie - opéra de Duboulay , mufique des fils de Lulli , repréfentée en 1688 , et reprise en 1715 . " Je n'ofe pas vous parler des occupations aux- quelles 4 RECUEIL DES LETTRES.
Page 5
Voltaire Pierre Augustin Caron de Beaumarchais. " Je n'ofe pas vous parler des occupations aux- quelles vous avez dit que vous vous deftiniez pendant 1715 . votre folitude . Je me flatte pourtant que vous voudrez bien m'en faire la ...
Voltaire Pierre Augustin Caron de Beaumarchais. " Je n'ofe pas vous parler des occupations aux- quelles vous avez dit que vous vous deftiniez pendant 1715 . votre folitude . Je me flatte pourtant que vous voudrez bien m'en faire la ...
Page 13
... parler notre langue avec plus d'éner- gie et de jufteffe . Cet homme , qui a été toute fa vie plongé dans les plaifirs et dans les affaires , a trouvé pourtant le moyen de tout apprendre et de tout retenir . Il fait l'hiftoire des ...
... parler notre langue avec plus d'éner- gie et de jufteffe . Cet homme , qui a été toute fa vie plongé dans les plaifirs et dans les affaires , a trouvé pourtant le moyen de tout apprendre et de tout retenir . Il fait l'hiftoire des ...
Page 24
... parler des obligations que je vous ai . Vous qui n'avez point d'enfans , vous ne favez pas ce que c'eft que la tendreffe paternelle , et vous n'imaginez point quel effet font fur moi les bontés que vous avez pour mon petit Henri ...
... parler des obligations que je vous ai . Vous qui n'avez point d'enfans , vous ne favez pas ce que c'eft que la tendreffe paternelle , et vous n'imaginez point quel effet font fur moi les bontés que vous avez pour mon petit Henri ...
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Common terms and phrases
Adieu affez affurément aife aimable aime ainfi Alzire amis amitié auffi avez befoin bonté c'eft c'eſt calomnie cher ami cher Cideville cher Thiriot chofe choſe Cirey cœur COMTE D'ARGENTAL confeils confolation Correfp corriger crois d'Argental Demoulin duc de Richelieu écrire efprit embraffe envoyé épître Eryphile eſt êtes fage fans fanté favez fcène fecret fefait femble fentimens fentir fera fervir feul foit fonger font fouffrir fous fouvent fuccès fuis fujet furtout garde des fceaux goût Henriade Hérault homme imprimer j'ai j'aurai j'avais j'en Jore jufqu'à l'abbé Desfontaines l'amitié l'efprit laiffer LETTRE long-temps m'avez m'en madame du Châtelet MADAME LA PRESIDENTE mademoiſelle mander Mandez-moi Mariamne Meffieurs miférable Monfieur n'ai n'eft n'eſt Newton ouvrage paffer pareffe parler penfer penſe perfonne philofophe pièce plaifir poëfie poëme poëte Pollion préfent puiffe raifon refpects refte réponſe réuffir Richelieu rien Rouen Rouffeau s'eft Samfon ſes tendre tragédie veux Voilà Voltaire Zaïre
Popular passages
Page 413 - Le mensonge n'est un vice que quand il fait du mal; c'est une très grande vertu, quand il fait du bien. Soyez donc plus vertueux que jamais. Il faut mentir comme un diable, non pas timidement, non pas pour un temps, mais hardiment et toujours.
Page 56 - Couet, grand-vicaire de son éminence, m'a envoyé aujourd'hui le mandement. Je lui ai envoyé une Mariamne, avec ces petits vers-ci : Vous m'envoyez un mandement, Recevez une tragédie, Afin que mutuellement Nous nous donnions la comédie. Ah I ma chère présidente, qu'avec tout cela je suis quelquefois de mauvaise humeur de me trouver seul...
Page 462 - C'est un feu que Dieu nous a confié, nous devons le nourrir de ce que nous trouvons de plus précieux. Il faut faire entrer dans notre être tous les modes imaginables, ouvrir toutes les portes de son âme à toutes les sciences et à tous les sentiments ; pourvu que tout cela n'entre pas pêle-mêle, il ya place pour tout le monde.
Page 231 - Les misères de la vie, / philosophiquement parlant, ne prouvent pas plus la chute de l'homme, que les misères d'un cheval de fiacre ne prouvent que les chevaux étaient tous, autrefois, gros et gras, et ne recevaient jamais de coups de fouet; et que, depuis que l'un d'eux s'avisa de manger de l'avoine, tous ses descendants furent condamnés à traîner des fiacres.
Page 141 - C'est un sujet tout français et tout de mon invention , où j'ai fourré le plus que j'ai pu d'amour, de jalousie, de fureur, de bienséance, de probité et de grandeur d'ame. J'ai imaginé un sire de Couci, qui est un très...
Page 272 - OBI, je vous injurierai jusqu'à ce que je vous aie guéri de votre paresse. Je ne vous reproche point de souper tous les soirs avec M. de La Poplinière, je vous reproche de borner là toutes vos pensées et toutes vos espérances. Vous...
Page 282 - Il ne reste plus rien que le nom de ceux qui ont conduit des bataillons et des escadrons; il ne revient rien au genre humain de cent batailles données ; mais les grands hommes dont je vous parle ont préparé des plaisirs purs et durables aux hommes qui ne sont point encore nés.