Œuvres complètes de Voltaire, Volume 49la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
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Page 19
... ment ; le mien ne fera prêt que dans huit à dix jours au plutôt . Je fuis obligé de paffer ma journée avec des ouvriers qui font auffi trompeurs que des cour- tifans ; c'est ce qui fait que j'irai très - volontiers à Fontainebleau , et ...
... ment ; le mien ne fera prêt que dans huit à dix jours au plutôt . Je fuis obligé de paffer ma journée avec des ouvriers qui font auffi trompeurs que des cour- tifans ; c'est ce qui fait que j'irai très - volontiers à Fontainebleau , et ...
Page 23
... ment ne vous tient pas fort au cœur , je vous demande en grâce de donner la charge de portier à mon pauvre la Brie . Vous m'obligerez fenfiblement ; j'ai presque autant d'envie de le voir à votre porte que de vous voir arriver dans ...
... ment ne vous tient pas fort au cœur , je vous demande en grâce de donner la charge de portier à mon pauvre la Brie . Vous m'obligerez fenfiblement ; j'ai presque autant d'envie de le voir à votre porte que de vous voir arriver dans ...
Page 24
... ment de le faire partir avec plus de modeftie et moins de dépense ; Martel eft furtout inutile pour conduire ce petit garçon . Je vous ai déjà mandé que vous euffiez la bonté d'empêcher qu'on ne lui fît ses deux mille habits ; ainfi il ...
... ment de le faire partir avec plus de modeftie et moins de dépense ; Martel eft furtout inutile pour conduire ce petit garçon . Je vous ai déjà mandé que vous euffiez la bonté d'empêcher qu'on ne lui fît ses deux mille habits ; ainfi il ...
Page 28
... ment plus complet , et empêcheront la petite vérole d'être confluente ; enfin , on voit que le firop de limon , dans une tifane rafraîchiffante , adoucit l'acrimonie du fang , en apaise l'ardeur , coule avec lui par les glandes ...
... ment plus complet , et empêcheront la petite vérole d'être confluente ; enfin , on voit que le firop de limon , dans une tifane rafraîchiffante , adoucit l'acrimonie du fang , en apaise l'ardeur , coule avec lui par les glandes ...
Page 32
... ment aimé . Mes fouffrances ont augmenté par la douleur que j'ai eue d'apprendre la maladie de Thiriot . A préfent qu'il eft rétabli , revenez avec lui au plus vîte , je vous en conjure ; vous me trouverez avec une gale horrible , qui ...
... ment aimé . Mes fouffrances ont augmenté par la douleur que j'ai eue d'apprendre la maladie de Thiriot . A préfent qu'il eft rétabli , revenez avec lui au plus vîte , je vous en conjure ; vous me trouverez avec une gale horrible , qui ...
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Common terms and phrases
Adieu affez affurément aife aimable aime ainfi Alzire amis amitié auffi avez befoin bonté c'eft c'eſt calomnie cher ami cher Cideville cher Thiriot chofe choſe Cirey cœur COMTE D'ARGENTAL confeils confolation Correfp corriger crois d'Argental Demoulin duc de Richelieu écrire efprit embraffe envoyé épître Eryphile eſt êtes fage fans fanté favez fcène fecret fefait femble fentimens fentir fera fervir feul foit fonger font fouffrir fous fouvent fuccès fuis fujet furtout garde des fceaux goût Henriade Hérault homme imprimer j'ai j'aurai j'avais j'en Jore jufqu'à l'abbé Desfontaines l'amitié l'efprit laiffer LETTRE long-temps m'avez m'en madame du Châtelet MADAME LA PRESIDENTE mademoiſelle mander Mandez-moi Mariamne Meffieurs miférable Monfieur n'ai n'eft n'eſt Newton ouvrage paffer pareffe parler penfer penſe perfonne philofophe pièce plaifir poëfie poëme poëte Pollion préfent puiffe raifon refpects refte réponſe réuffir Richelieu rien Rouen Rouffeau s'eft Samfon ſes tendre tragédie veux Voilà Voltaire Zaïre
Popular passages
Page 413 - Le mensonge n'est un vice que quand il fait du mal; c'est une très grande vertu, quand il fait du bien. Soyez donc plus vertueux que jamais. Il faut mentir comme un diable, non pas timidement, non pas pour un temps, mais hardiment et toujours.
Page 56 - Couet, grand-vicaire de son éminence, m'a envoyé aujourd'hui le mandement. Je lui ai envoyé une Mariamne, avec ces petits vers-ci : Vous m'envoyez un mandement, Recevez une tragédie, Afin que mutuellement Nous nous donnions la comédie. Ah I ma chère présidente, qu'avec tout cela je suis quelquefois de mauvaise humeur de me trouver seul...
Page 462 - C'est un feu que Dieu nous a confié, nous devons le nourrir de ce que nous trouvons de plus précieux. Il faut faire entrer dans notre être tous les modes imaginables, ouvrir toutes les portes de son âme à toutes les sciences et à tous les sentiments ; pourvu que tout cela n'entre pas pêle-mêle, il ya place pour tout le monde.
Page 231 - Les misères de la vie, / philosophiquement parlant, ne prouvent pas plus la chute de l'homme, que les misères d'un cheval de fiacre ne prouvent que les chevaux étaient tous, autrefois, gros et gras, et ne recevaient jamais de coups de fouet; et que, depuis que l'un d'eux s'avisa de manger de l'avoine, tous ses descendants furent condamnés à traîner des fiacres.
Page 141 - C'est un sujet tout français et tout de mon invention , où j'ai fourré le plus que j'ai pu d'amour, de jalousie, de fureur, de bienséance, de probité et de grandeur d'ame. J'ai imaginé un sire de Couci, qui est un très...
Page 272 - OBI, je vous injurierai jusqu'à ce que je vous aie guéri de votre paresse. Je ne vous reproche point de souper tous les soirs avec M. de La Poplinière, je vous reproche de borner là toutes vos pensées et toutes vos espérances. Vous...
Page 282 - Il ne reste plus rien que le nom de ceux qui ont conduit des bataillons et des escadrons; il ne revient rien au genre humain de cent batailles données ; mais les grands hommes dont je vous parle ont préparé des plaisirs purs et durables aux hommes qui ne sont point encore nés.