Œuvres complètes de Voltaire, Volume 49la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
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Page 32
... Rouen . EPUIS que je ne vous ai écrit , j'ai gardé le lit prefque toujours . Je fuis dans un état mille fois pire qu'après ma petite vérole . J'avais befoin affu- rément d'être confolé par les affurances touchantes que vous me donnez de ...
... Rouen . EPUIS que je ne vous ai écrit , j'ai gardé le lit prefque toujours . Je fuis dans un état mille fois pire qu'après ma petite vérole . J'avais befoin affu- rément d'être confolé par les affurances touchantes que vous me donnez de ...
Page 49
... Rouen . De Paris , octobre . Je viens de recevoir votre lettre dans le temps que je me plaignais à Thiriot de votre filence . Il faut que vous aimiez bien à faire des reproches pour me gronder d'avoir été rendre une vifite à une pauvre ...
... Rouen . De Paris , octobre . Je viens de recevoir votre lettre dans le temps que je me plaignais à Thiriot de votre filence . Il faut que vous aimiez bien à faire des reproches pour me gronder d'avoir été rendre une vifite à une pauvre ...
Page 54
... Rouen . Paris , 25 juin . J'AI toujours bien de l'amitié pour vous , grande ΑΙ averfion pour les tracafferies , et beaucoup d'envie d'aller jouir de la tranquillité chez madame de Bernières ; mais je n'y veux aller qu'en cas que je fois ...
... Rouen . Paris , 25 juin . J'AI toujours bien de l'amitié pour vous , grande ΑΙ averfion pour les tracafferies , et beaucoup d'envie d'aller jouir de la tranquillité chez madame de Bernières ; mais je n'y veux aller qu'en cas que je fois ...
Page 73
... Rouen comme un des plus heureux événemens de ma vie . Quand nos éditions fe noie- raient en chemin , quand Eryphile et Jules - Céfar feraient fiffles , j'aurais bien de quoi me dédom- mager puifque je vous ai connu . Il ne me refte plus ...
... Rouen comme un des plus heureux événemens de ma vie . Quand nos éditions fe noie- raient en chemin , quand Eryphile et Jules - Céfar feraient fiffles , j'aurais bien de quoi me dédom- mager puifque je vous ai connu . Il ne me refte plus ...
Page 78
... ( Rouen ) le i mai . ( * ) I E vous écris enfin , mon cher Thiriot , du fond de ma folitude , où je ferais le plus heureux homme du monde , fi les circonftances de ma vie ne m'avaient rendu d'ailleurs le plus malheureux . Je compte ...
... ( Rouen ) le i mai . ( * ) I E vous écris enfin , mon cher Thiriot , du fond de ma folitude , où je ferais le plus heureux homme du monde , fi les circonftances de ma vie ne m'avaient rendu d'ailleurs le plus malheureux . Je compte ...
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Common terms and phrases
Adieu affez affurément aife aimable aime ainfi Alzire amis amitié auffi avez befoin bonté c'eft c'eſt calomnie cher ami cher Cideville cher Thiriot chofe choſe Cirey cœur COMTE D'ARGENTAL confeils confolation Correfp corriger crois d'Argental Demoulin duc de Richelieu écrire efprit embraffe envoyé épître Eryphile eſt êtes fage fans fanté favez fcène fecret fefait femble fentimens fentir fera fervir feul foit fonger font fouffrir fous fouvent fuccès fuis fujet furtout garde des fceaux goût Henriade Hérault homme imprimer j'ai j'aurai j'avais j'en Jore jufqu'à l'abbé Desfontaines l'amitié l'efprit laiffer LETTRE long-temps m'avez m'en madame du Châtelet MADAME LA PRESIDENTE mademoiſelle mander Mandez-moi Mariamne Meffieurs miférable Monfieur n'ai n'eft n'eſt Newton ouvrage paffer pareffe parler penfer penſe perfonne philofophe pièce plaifir poëfie poëme poëte Pollion préfent puiffe raifon refpects refte réponſe réuffir Richelieu rien Rouen Rouffeau s'eft Samfon ſes tendre tragédie veux Voilà Voltaire Zaïre
Popular passages
Page 413 - Le mensonge n'est un vice que quand il fait du mal; c'est une très grande vertu, quand il fait du bien. Soyez donc plus vertueux que jamais. Il faut mentir comme un diable, non pas timidement, non pas pour un temps, mais hardiment et toujours.
Page 56 - Couet, grand-vicaire de son éminence, m'a envoyé aujourd'hui le mandement. Je lui ai envoyé une Mariamne, avec ces petits vers-ci : Vous m'envoyez un mandement, Recevez une tragédie, Afin que mutuellement Nous nous donnions la comédie. Ah I ma chère présidente, qu'avec tout cela je suis quelquefois de mauvaise humeur de me trouver seul...
Page 462 - C'est un feu que Dieu nous a confié, nous devons le nourrir de ce que nous trouvons de plus précieux. Il faut faire entrer dans notre être tous les modes imaginables, ouvrir toutes les portes de son âme à toutes les sciences et à tous les sentiments ; pourvu que tout cela n'entre pas pêle-mêle, il ya place pour tout le monde.
Page 231 - Les misères de la vie, / philosophiquement parlant, ne prouvent pas plus la chute de l'homme, que les misères d'un cheval de fiacre ne prouvent que les chevaux étaient tous, autrefois, gros et gras, et ne recevaient jamais de coups de fouet; et que, depuis que l'un d'eux s'avisa de manger de l'avoine, tous ses descendants furent condamnés à traîner des fiacres.
Page 141 - C'est un sujet tout français et tout de mon invention , où j'ai fourré le plus que j'ai pu d'amour, de jalousie, de fureur, de bienséance, de probité et de grandeur d'ame. J'ai imaginé un sire de Couci, qui est un très...
Page 272 - OBI, je vous injurierai jusqu'à ce que je vous aie guéri de votre paresse. Je ne vous reproche point de souper tous les soirs avec M. de La Poplinière, je vous reproche de borner là toutes vos pensées et toutes vos espérances. Vous...
Page 282 - Il ne reste plus rien que le nom de ceux qui ont conduit des bataillons et des escadrons; il ne revient rien au genre humain de cent batailles données ; mais les grands hommes dont je vous parle ont préparé des plaisirs purs et durables aux hommes qui ne sont point encore nés.