Œuvres complètes de Voltaire, Volume 49la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
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Page 50
... Sans cette amitié que vous m'avez toujours témoignée , je ne serais pas à préfent dans votre maison ; j'aurais renoncé à vous comme à tout le monde , et j'aurais été enfermer les chagrins dont je fuis accablé dans une retraite , qui est ...
... Sans cette amitié que vous m'avez toujours témoignée , je ne serais pas à préfent dans votre maison ; j'aurais renoncé à vous comme à tout le monde , et j'aurais été enfermer les chagrins dont je fuis accablé dans une retraite , qui est ...
Page 79
... Sans refpect pour les grands et fans crainte du fort : Patient dans mes maux et gai dans mes boutades , Me moquant de tout fot orgueil , Toujours un pied dans le cercueil , De l'autre fefant des gambades . Voilà l'état où je fuis ...
... Sans refpect pour les grands et fans crainte du fort : Patient dans mes maux et gai dans mes boutades , Me moquant de tout fot orgueil , Toujours un pied dans le cercueil , De l'autre fefant des gambades . Voilà l'état où je fuis ...
Page 93
... , ce commerce fi doux , Ce plaifir de l'efprit , plaifir vif et tranquille , Eft à mon corps usé le feul remède utile . Ah ! que j'aurais souffert sans vous ! 1731 . XLVII . LETTRE M. DE A M. DE DE M. DE VOLTAIRE . 93.
... , ce commerce fi doux , Ce plaifir de l'efprit , plaifir vif et tranquille , Eft à mon corps usé le feul remède utile . Ah ! que j'aurais souffert sans vous ! 1731 . XLVII . LETTRE M. DE A M. DE DE M. DE VOLTAIRE . 93.
Page 475
... Sans cela , il y a long - temps que j'aurais écrit à M. d'Argenfon , avec qui j'ai eu l'hon- neur d'être élevé , et qui , depuis vingt - cinq ans , m'a toujours honoré de fes bontés . Je compte qu'il m'a confervé la même bienveillance ...
... Sans cela , il y a long - temps que j'aurais écrit à M. d'Argenfon , avec qui j'ai eu l'hon- neur d'être élevé , et qui , depuis vingt - cinq ans , m'a toujours honoré de fes bontés . Je compte qu'il m'a confervé la même bienveillance ...
Page 476
... Sans aucune cérémonie , je vous prie de compter fur ma reconnaiffance autant que fur mon eftime et mon amitié ; il ferait indigne de la philofophie d'aller barbouiller nos lettres d'un votre très - humble , & c . P. S. Vous vous moquez ...
... Sans aucune cérémonie , je vous prie de compter fur ma reconnaiffance autant que fur mon eftime et mon amitié ; il ferait indigne de la philofophie d'aller barbouiller nos lettres d'un votre très - humble , & c . P. S. Vous vous moquez ...
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Common terms and phrases
Adieu affez affurément aife aimable aime ainfi Alzire amis amitié auffi avez befoin bonté c'eft c'eſt calomnie cher ami cher Cideville cher Thiriot chofe choſe Cirey cœur COMTE D'ARGENTAL confeils confolation Correfp corriger crois d'Argental Demoulin duc de Richelieu écrire efprit embraffe envoyé épître Eryphile eſt êtes fage fans fanté favez fcène fecret fefait femble fentimens fentir fera fervir feul foit fonger font fouffrir fous fouvent fuccès fuis fujet furtout garde des fceaux goût Henriade Hérault homme imprimer j'ai j'aurai j'avais j'en Jore jufqu'à l'abbé Desfontaines l'amitié l'efprit laiffer LETTRE long-temps m'avez m'en madame du Châtelet MADAME LA PRESIDENTE mademoiſelle mander Mandez-moi Mariamne Meffieurs miférable Monfieur n'ai n'eft n'eſt Newton ouvrage paffer pareffe parler penfer penſe perfonne philofophe pièce plaifir poëfie poëme poëte Pollion préfent puiffe raifon refpects refte réponſe réuffir Richelieu rien Rouen Rouffeau s'eft Samfon ſes tendre tragédie veux Voilà Voltaire Zaïre
Popular passages
Page 413 - Le mensonge n'est un vice que quand il fait du mal; c'est une très grande vertu, quand il fait du bien. Soyez donc plus vertueux que jamais. Il faut mentir comme un diable, non pas timidement, non pas pour un temps, mais hardiment et toujours.
Page 56 - Couet, grand-vicaire de son éminence, m'a envoyé aujourd'hui le mandement. Je lui ai envoyé une Mariamne, avec ces petits vers-ci : Vous m'envoyez un mandement, Recevez une tragédie, Afin que mutuellement Nous nous donnions la comédie. Ah I ma chère présidente, qu'avec tout cela je suis quelquefois de mauvaise humeur de me trouver seul...
Page 462 - C'est un feu que Dieu nous a confié, nous devons le nourrir de ce que nous trouvons de plus précieux. Il faut faire entrer dans notre être tous les modes imaginables, ouvrir toutes les portes de son âme à toutes les sciences et à tous les sentiments ; pourvu que tout cela n'entre pas pêle-mêle, il ya place pour tout le monde.
Page 231 - Les misères de la vie, / philosophiquement parlant, ne prouvent pas plus la chute de l'homme, que les misères d'un cheval de fiacre ne prouvent que les chevaux étaient tous, autrefois, gros et gras, et ne recevaient jamais de coups de fouet; et que, depuis que l'un d'eux s'avisa de manger de l'avoine, tous ses descendants furent condamnés à traîner des fiacres.
Page 141 - C'est un sujet tout français et tout de mon invention , où j'ai fourré le plus que j'ai pu d'amour, de jalousie, de fureur, de bienséance, de probité et de grandeur d'ame. J'ai imaginé un sire de Couci, qui est un très...
Page 272 - OBI, je vous injurierai jusqu'à ce que je vous aie guéri de votre paresse. Je ne vous reproche point de souper tous les soirs avec M. de La Poplinière, je vous reproche de borner là toutes vos pensées et toutes vos espérances. Vous...
Page 282 - Il ne reste plus rien que le nom de ceux qui ont conduit des bataillons et des escadrons; il ne revient rien au genre humain de cent batailles données ; mais les grands hommes dont je vous parle ont préparé des plaisirs purs et durables aux hommes qui ne sont point encore nés.