 | Molière - 1788 - 592 pages
...nulle autre féconde, De vouloir fe mêler de corriger le monde. J'obferve, comme vous, centchofes tous les jours; Qui pourraient mieux aller , prenant un autre cours. Mais, quoi qu'à chaque pas je puiflè voir paroître , En courroux, comme vous, on ne me voit point être. Je prends tout doucement... | |
 | Molière - 1788 - 606 pages
...fe mêler de corriger le monde. J'oWèrve , comme vous , centchofes tous les jourt," Qui pourroient mieux aller, prenant un autre cours. Mais, quoi qu'à chaque pas je puiflè voir paroître , En courroux, comme vous, on ne me voit point être. Je prends tout doucement... | |
 | Ernst Christian Trapp - 1794 - 488 pages
...autre feconde 4), Be vouloir fe mêler s) de corriger le monde. J'obferve, comme vous, cent chofes tons les jours, Qui pourraient mieux aller , prenant un autre cours ; Mais quoi qu'à chaque pas je puiffe voir paraîtreô}, En courroux, comme vous, on ne me voit point être;' ,-.. . a Je prens tout... | |
 | Molière - 1799 - 264 pages
...nulle autre feconde, De vouloir fe mêler de corriger le monde, J'obferve, comme vous, cent chofes tous les jours, Qui pourraient mieux aller prenant un autre cours; Mais, quoi qu'à chaque pas je puiffe voir paroître, En courroux, comme vous, on ne me voit point être. Je prends tout doucement... | |
 | Molière - 1799 - 276 pages
...perfection : II fant fléchir au temps saus obstination ; Et c'est une folie , à unlle antre seconde , De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe, comme vous, cent choses tous le» jours Qui pourroient mienx aller prenant un antre cours ; Mais, quoi qu'à chaqne pas je puisse... | |
 | François Moysant - 1803 - 438 pages
...perfection : II faut fléchir au temps sans obstination ; Et c'est une folie à nulle autre seconde De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe, comme vous, cent choses tous les jours Qui pourroient mieux aller, prenant un autre cours ; Mais, quoi qu'à chaque pas je puisse voir paraître,... | |
 | Molière - 1809 - 406 pages
...perfection : Il faut fléchir au tems sans obstination. Et c'est une folie, à nulle autre seconde, De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe, comme vous, cent choses tous les jours, Qui pourroient mieux aller, prenant un autre cours ; Mais, quoi qu'à chaque pas je puisse voir paroître,... | |
 | Molière - 1813 - 562 pages
...perfection : II faut fléchir un temps sans obstination; Et c'est nne folie, à nnlle antre seconde, De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe, comme vous, cent choses tous les jours Qui pourroient mieux, aller prenant nn antre cours; Mais, quoi qu'à chaque pas je puisse voir paroitre,... | |
 | Molière - 1818 - 556 pages
...perfection : II faut fléchir au temps sans obstination ; Et c'est une folie, à nulle autre seconde, De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe, comme vous, cent choses tous les jours Qui pourroient mieux aller prenant un autre cours; Ma's,quoiqu';\ chaque pas je puisse voir paroîtrc,... | |
 | Capelle (M., Pierre Adolphe) - French poetry - 1819 - 492 pages
...perfection : II faut fléchir au temps sans obsiination; El c'est une folie , à nulle autre seconde , De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe,...cours ; Mais , quoi qu'à chaque pas je puisse voir paraître , En courroux , comme vous , on ne me voit point être. Je prends tout doucement les hommes... | |
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II faut fléchir au temps sans obstination, Et c'est une folie à nulle autre seconde De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe, comme vous, cent choses tous les jours, Qui pourraient mieux aller, prenant un autre cours... 
