Prosateurs et poètes franc̜ais; or, Selections from the best French authors: with an introduction of easy pieces, arranged in chronological order, from the age of Louis XIV. to the present day |
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... soient inutiles , le seul besoin d'une chose est - il un droit pour se l'approprier ? - - Mon papa , je vous ai entendu dire que les brebis perdent naturellement leur toison vers ce temps de l'année ; 10 INTRODUCTION .
... soient inutiles , le seul besoin d'une chose est - il un droit pour se l'approprier ? - - Mon papa , je vous ai entendu dire que les brebis perdent naturellement leur toison vers ce temps de l'année ; 10 INTRODUCTION .
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... dire cela ? " s'écria Armand , tout étonné . " Cela veut dire , " lui répondit son père , " que la Pro- vidence prend soin des moindres créatures , et leur fournit B 6 INTRODUCTION . 11.
... dire cela ? " s'écria Armand , tout étonné . " Cela veut dire , " lui répondit son père , " que la Pro- vidence prend soin des moindres créatures , et leur fournit B 6 INTRODUCTION . 11.
Page 13
... elles leur soient inutiles , le seul besoin d'une chose est - il un droit pour se l'approprier ? Mon papa , je vous ai entendu dire que les brebis perdent naturellement leur toison vers ce temps de l'année ; 10 INTRODUCTION .
... elles leur soient inutiles , le seul besoin d'une chose est - il un droit pour se l'approprier ? Mon papa , je vous ai entendu dire que les brebis perdent naturellement leur toison vers ce temps de l'année ; 10 INTRODUCTION .
Page 13
... dire cela ? " s'écria Armand , tout étonné . " Cela veut dire , " lui répondit son père , " que la Pro- vidence prend soin des moindres créatures , et leur fournit B 6 INTRODUCTION . 11.
... dire cela ? " s'écria Armand , tout étonné . " Cela veut dire , " lui répondit son père , " que la Pro- vidence prend soin des moindres créatures , et leur fournit B 6 INTRODUCTION . 11.
Page 16
... dire que l'honneur de sa mémoire m'est confié tout entier , à moi son fils . " Le sommeil du jeune homme fut agité , et plus d'une fois durant cette nuit , la mémoire de son père , l'avenir de sa famille , entrecoupèrent son rêve de ...
... dire que l'honneur de sa mémoire m'est confié tout entier , à moi son fils . " Le sommeil du jeune homme fut agité , et plus d'une fois durant cette nuit , la mémoire de son père , l'avenir de sa famille , entrecoupèrent son rêve de ...
Common terms and phrases
âme armée armes ARNAUD BERQUIN ATHALIE avaient avez barque bientôt bras bruit c'était camp canons chants Charles château cheval chose ciel cœur combat côté coup cour courage demande devant Dieu dit-il donner enfants ennemis Épaminondas femme fils fleurs flots forêt foule garde garde nationale gens Gesler glaces gloire Guillaume Harp HARPAGON heures heureux hommes j'ai jamais janissaires Jérusalem jeter jeune jour Jourd Kremlin l'armée l'homme laisser Liban Louis Louis XIV Louis XVI madame main maison maître maître à danser Marmatie ment mère milieu mille monde monsieur montagnes mort n'avait Napoléon Narva neige Normands nuit officiers palais paroles Parthénon passer pauvre peine pensée père peuple pied Pierre place pont du Gard porte qu'un regards répondit reste rien rochers Ruthènes s'avance Saint sang semble sentiment seul siècle silence soir soldats soleil sortir speronare Spitzberg Suédois temple terre tête Thespiens tomber tout-à-coup troupes trouver venait voilà voix yeux
Popular passages
Page 417 - Mon esprit est troublé, et j'ignore où je suis, qui je suis et ce que'je fais. Hélas! mon pauvre argent! mon pauvre argent ! mon cher ami ! on m'a privé de toi ; et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie: tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde. Sans toi, il m'est impossible de vivre. C'en est fait ; je n'en puis plus ; je me meurs ; je suis mort ; je suis enterré.
Page 470 - Maître Corbeau sur un arbre perché Tenait en son bec un fromage; Maître Renard par l'odeur alléché Lui tint à peu près ce langage: "Hé, bonjour, monsieur du Corbeau Que vous êtes joli! que vous me semblez beau! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois.
Page 435 - JOURDAIN. Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien ' ; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Page 27 - ... de timides brebis, calma les courages émus et joignit au plaisir de vaincre celui de pardonner. Quel fut alors l'étonnement de ces vieilles troupes et de leurs braves officiers, lorsqu'ils virent qu'il n'y avait plus de salut pour eux qu'entre les bras du vainqueur ! de quels yeux regardèrentils le jeune prince...
Page 155 - Hollande et du Rhin. Dénués de tout, vous avez suppléé à tout. Vous avez gagné des batailles sans canons, passé des rivières sans ponts, fait des marches forcées sans souliers, bivouaqué sans eau-de-vie et souvent sans pain.
Page 14 - Monsieur le maréchal, lisez, je vous prie, ce petit madrigal, et voyez si vous en avez jamais vu un si impertinent ; parce qu'on sait que depuis peu j'aime les vers, on m'en apporte de toutes les façons. » Le maréchal, après avoir lu, dit au roi : « Sire, Votre Majesté juge divinement bien de toutes choses ; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu.
Page 469 - Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.
Page 469 - Le chêne un jour dit au roseau : Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ; Le moindre vent qui d'aventure...
Page 454 - Et quel temps fut jamais si fertile en miracles ? Quand Dieu par plus d'effets montra-t-il son pouvoir ? Auras-tu donc toujours des yeux pour ne point voir, Peuple ingrat ! Quoi ! toujours les plus grandes merveilles Sans ébranler ton cœur frapperont tes oreilles...
Page 35 - ... dans son sein et autour de ses bras, ni les jalousies, ni les défiances, ni la crainte, ni les vains désirs n'approchent jamais de cet heureux séjour de la paix : le jour n'y finit point, et la nuit avec ses sombres voiles y est inconnue : une lumière pure et douce se répand autour des corps de ces hommes justes, et les environne de ses rayons comme d'un vêtement.