Élémens d'idéologie, Volume 3, Page 1Mme. Levi, 1825 - Philosophy |
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... n'en connaissent que << des noms arbitraires qui n'en forment << dans l'esprit aucune idée claire et dis- << tincte . >> Je trouve ces réflexions d'une justesse et d'une sagacité admirables ; ainsi cette première partie qui a rapport ...
... n'en connaissent que << des noms arbitraires qui n'en forment << dans l'esprit aucune idée claire et dis- << tincte . >> Je trouve ces réflexions d'une justesse et d'une sagacité admirables ; ainsi cette première partie qui a rapport ...
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... en principe une définition arbitraire , il suit de celle - ci , que les prépositions , par exemple , qui ne font aucun sens tou- tes seules , ne sont point des parties du discours . Aussi n'en parle - t - il seulement PRÉLIMINAIRE . 27.
... en principe une définition arbitraire , il suit de celle - ci , que les prépositions , par exemple , qui ne font aucun sens tou- tes seules , ne sont point des parties du discours . Aussi n'en parle - t - il seulement PRÉLIMINAIRE . 27.
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comte Antoine Louis Claude Destutt de Tracy. discours . Aussi n'en parle - t - il seulement pas , non plus que d'aucun des élémens de la proposition , autres que le nom et le verbe . Il ne s'occupe pas davantage de la dé- composition du ...
comte Antoine Louis Claude Destutt de Tracy. discours . Aussi n'en parle - t - il seulement pas , non plus que d'aucun des élémens de la proposition , autres que le nom et le verbe . Il ne s'occupe pas davantage de la dé- composition du ...
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... n'en regrette que d'avantage , qu'il n'y ait pas une tra- duction française de la Logique d'Aristote , qui soit généralement répandue et fré- quemment consultée . Pour qu'elle fût bonne et bien intelli- gible , il faudrait que le ...
... n'en regrette que d'avantage , qu'il n'y ait pas une tra- duction française de la Logique d'Aristote , qui soit généralement répandue et fré- quemment consultée . Pour qu'elle fût bonne et bien intelli- gible , il faudrait que le ...
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... n'en auraient pas moins recti- fié la science , et fait réellement la langue en dé- terminant sa signification . On voit donc que , philosophiquement par- lant , une langue est bien faite à proportion que les idées adaptées aux mots ...
... n'en auraient pas moins recti- fié la science , et fait réellement la langue en dé- terminant sa signification . On voit donc que , philosophiquement par- lant , une langue est bien faite à proportion que les idées adaptées aux mots ...
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Common terms and phrases
absolument abstraites anté Aristote avons axiomes Bacon c'est-à-dire calcul cause première certitude chose cipes combinaisons commence complètement Condillac connaissances consé conséquent consiste corps d'Aristote d'autres d'idées déduction Descartes différentes dire doit effet également élémens elle-même ensuite épicycles erreurs espèces esprit étre exactement existe existence expliquer facultés intellectuelles faux formation gemens générale gique Hobbès hommes idées composées idées simples impressions intel j'ai jamais jugemens jugeons justesse l'attribut l'erreur l'esprit humain l'étendue l'idée d'être l'imperfection langue lement manière mencement ment métaphysique méthode mière mouvemens moyens de connaître n'en nature nécessairement objet opérations intellectuelles Organum ouvrage particulières pense Philippe Canaye philosophie philosophie première phlogis Port-Royal pouvons principes propositions propriétés prouver qu'un quantité raison raisonnemens rapport réellement relation renferme rénovation résultats rien science logique seconde sens sensation sentimens sentons serait seulement signes sion souvenirs souvent sujet sûrs syllogisme syllogistique tence théorie des idées tion traité trouve utile vérité vertu sentante voyons vrai
Popular passages
Page 137 - ... Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention ; et de ne comprendre rien de plus en mes jugements, que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 137 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres. Et le dernier, de faire...
Page 21 - Ses dix. catégories sont : la substance , la quantité, la qualité, la relation, le lieu, le temps, la situation, avoir, agir et pâlir: c'est-à-dire , comme le remarquent très bien MM.
Page 44 - ... différentes matières ; et lorsqu'il nous paraît clairement qu'il conclut bien, à ne considérer que le bon sens, si nous trouvons en même temps qu'il contienne quelque chose qui ne nous semble pas conforme aux règles, nous devons plutôt croire que c'est faute de bien le démêler, que non pas qu'il y soit contraire en effet.
Page 42 - La plupart des erreurs des hommes, comme nous avons déjà dit ailleurs, viennent bien plus de ce qu'ils raisonnent sur de faux principes, que non pas de ce qu'ils raisonnent mal suivant leurs principes. Il arrive rarement qu'on se laisse tromper par des raisonnements qui ne soient faux que parce que la conséquence en est mal tirée, et ceux qui ne seraient pas capables d'en reconnaître la fausseté...
Page 236 - Premièrement nous n'avons point d!idées de substances. Nous avons des idées d'êtres qui agissent sur notre vertu sentante ; mais nous ne connaissons ces êtres que par les impressions qu'ils nous font : ils ne consistent pour nous que dans ces impressions. Nous...
Page 21 - ... unies, quoiqu'elles ne le soient point véritablement. CHAPITRE III. Des dix catégories d'Aristote. On peut rapporter à cette considération des idées selon leurs objets, les dix catégories d'Aristote, puisque ce ne sont que diverses classes auxquelles ce philosophe a voulu réduire tous les objets de nos pensées, en comprenant toutes les substances sous la première, et tous les accidents sous les neuf autres.