J. Saurin et la prédication protestante jusqu'à la fin du règne de Louis XIV |
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... protestants qu'elle a persécutés . Exilés sur la terre étrangère , ceux que frappait la piété de Louis XIV n'ont excité qu'un inté- rêt fugitif dans leur temps , secondaire dans le nôtre . 293694 Quelques - uns de leurs fils ont seuls ...
... protestants qu'elle a persécutés . Exilés sur la terre étrangère , ceux que frappait la piété de Louis XIV n'ont excité qu'un inté- rêt fugitif dans leur temps , secondaire dans le nôtre . 293694 Quelques - uns de leurs fils ont seuls ...
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... protestants et le rival des plus illustres prédicateurs catholiques . Mais son nom que la foule ignore n'est pas même familier aux érudits . Et non - seulement il est peu connu ; par un destin plus injuste encore , il est mal connu . En ...
... protestants et le rival des plus illustres prédicateurs catholiques . Mais son nom que la foule ignore n'est pas même familier aux érudits . Et non - seulement il est peu connu ; par un destin plus injuste encore , il est mal connu . En ...
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... , mais il avait l'influence morale et il en usait de la manière la plus large et la plus digne . On le vit , au moment de la mort tragique de Charles I , blâmer hautement ce grand crime , et l'indignation des ministres protestants se tut à.
... , mais il avait l'influence morale et il en usait de la manière la plus large et la plus digne . On le vit , au moment de la mort tragique de Charles I , blâmer hautement ce grand crime , et l'indignation des ministres protestants se tut à.
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E. A. Berthault. crime , et l'indignation des ministres protestants se tut à peine devant l'interdiction des ... protestant ; elle était aussi la patrie de la tolérance . La liberté de la pensée était , pour ainsi dire , une loi de l'État ...
E. A. Berthault. crime , et l'indignation des ministres protestants se tut à peine devant l'interdiction des ... protestant ; elle était aussi la patrie de la tolérance . La liberté de la pensée était , pour ainsi dire , une loi de l'État ...
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... protestants , les uns s'armèrent par colère ; les autres , plus nombreux , dans l'espoir d'imposer la tolérance au roi qui les avait proscrits . Un régiment de volontaires se forma ainsi en Savoie ; leur chef était le marquis de Ruvigny ...
... protestants , les uns s'armèrent par colère ; les autres , plus nombreux , dans l'espoir d'imposer la tolérance au roi qui les avait proscrits . Un régiment de volontaires se forma ainsi en Savoie ; leur chef était le marquis de Ruvigny ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 254 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si directement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 253 - Car enfin qu'est-ce que l'homme dans la nature? Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant : un milieu entre rien et tout.
Page 242 - Ces peuples d'ailleurs ont leur Dieu et leur roi : les grands de la nation s'assemblent tous les jours, à une certaine heure, dans un temple qu'ils nomment église; il ya au fond de ce temple un autel consacré à leur Dieu, où un prêtre célèbre des mystères qu'ils appellent saints...
Page 263 - Puis examinant avec attention ce que j'étais, et voyant que je pouvais feindre que je n'avais aucun corps et qu'il n'y avait aucun monde ni aucun lieu où je fusse, mais que je ne pouvais pas feindre pour cela que je n'étais point...
Page 263 - ... je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser et qui pour être n'a besoin d'aucun lieu ni ne dépend d'aucune chose matérielle.
Page 254 - Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres. Et le dernier, de faire partout des dénombrements si entiers et des revues si générales que je fusse assuré de ne rien omettre.
Page 240 - La cour veut toujours unir les plaisirs avec les affaires. Par un mélange étonnant, il n'ya rien de plus sérieux, ni ensemble de plus enjoué. Enfoncez : vous trouvez partout des intérêts cachés , des jalousies délicates qui causent une extrême sensibilité, et, dans une ardente ambition, des soins et un sérieux aussi triste qu'il est vain.
Page 254 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre.
Page 167 - Jérusalem, si je t'oublie, que ma droite s'oublie elle-même ; que ma langue s'attache à mon palais si je ne me souviens de toi, si je ne fais de toi le principal sujet de ma joie.
Page 253 - Ne cherchons donc point d'assurance et de fermeté. Notre raison est toujours déçue par l'inconstance des apparences; rien ne peut fixer le fini entre les deux infinis qui l'enferment et le fuient.