J. Saurin et la prédication protestante jusqu'à la fin du règne de Louis XIV |
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... sur l'éloquence de Saurin lui - même que nous aurons occasion de comparer plus d'une fois avec Massillon , Bourdaloue et Bossuet . PREMIÈRE PARTIE BIOGRAPHIE DE SAURIN BIOGRAPHIE DE SAURIN CHAPITRE PREMIER VI INTRODUCTION.
... sur l'éloquence de Saurin lui - même que nous aurons occasion de comparer plus d'une fois avec Massillon , Bourdaloue et Bossuet . PREMIÈRE PARTIE BIOGRAPHIE DE SAURIN BIOGRAPHIE DE SAURIN CHAPITRE PREMIER VI INTRODUCTION.
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... Bossuet , à qui cette conversion ne coûta pas de grands efforts ; habile mécanicien , il devint membre de l'Académie des sciences et eut l'honneur d'un éloge de Fontenelle . Son fils , Bernard - Joseph Saurin ( 1706-1781 ) , se fit ...
... Bossuet , à qui cette conversion ne coûta pas de grands efforts ; habile mécanicien , il devint membre de l'Académie des sciences et eut l'honneur d'un éloge de Fontenelle . Son fils , Bernard - Joseph Saurin ( 1706-1781 ) , se fit ...
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... Bossuet faisant pleurer des courtisans . Tous les témoignages du temps sont unanimes à consta- ter la puissance persuasive de Saurin . La sérénité de son noble visage , la clarté de sa voix sonore et vibrante , ce mé- lange de ferveur ...
... Bossuet faisant pleurer des courtisans . Tous les témoignages du temps sont unanimes à consta- ter la puissance persuasive de Saurin . La sérénité de son noble visage , la clarté de sa voix sonore et vibrante , ce mé- lange de ferveur ...
Page 65
... BOSSUET L'âpre grandeur de l'éloquence protestante paraît peut- être encore davantage si on la compare à l'éloquence catho- lique du même temps . La chaire de l'orthodoxie était occupée par deux sortes de LA PRÉDICATION AVANT SAURIN 65.
... BOSSUET L'âpre grandeur de l'éloquence protestante paraît peut- être encore davantage si on la compare à l'éloquence catho- lique du même temps . La chaire de l'orthodoxie était occupée par deux sortes de LA PRÉDICATION AVANT SAURIN 65.
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... Bossuet renferme de curieux exemples de l'une et l'autre éloquence . Notons celui de saint Vincent Ferrier , qui comparait les opérations de la grâce à celles du médecin , par vomissement , cautère et lavement . Notons celui de Jacques ...
... Bossuet renferme de curieux exemples de l'une et l'autre éloquence . Notons celui de saint Vincent Ferrier , qui comparait les opérations de la grâce à celles du médecin , par vomissement , cautère et lavement . Notons celui de Jacques ...
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Common terms and phrases
âme apôtres arguments auditeurs avons Bèze Bossuet Bourdaloue Calvin cérité chaire charité choses chrétien ciel cœur connaître conscience conversion corps Démosthènes Descartes Dieu veuille dire discours divine doctrine dogme douleur églises éloquence enfants esprit éternelle exemple Farel fond François Ier frères Genève gloire grandeur GUILLAUME FAREL Haye Hollande homme humain idées jamais Jésus-Christ jour justice l'âme l'Église l'éloquence l'esprit l'Éternel l'Évangile l'homme l'orateur laisse Louis XIV madame de Montespan manière Massillon ment ministres misères miséricorde monde morale mort orateur oratoire parle parole passage passions pasteur péché pécheurs pénitence pensée père personne peuple peut-être philosophie Pierre du Bosc PIERRE VIRET prêcher prédication catholique prédication protestante premier protestantisme puisse quelquefois raison Réforme réfugiés religion rien saint Paul Saint-Véran salut Seigneur semble sentiments serait sermons de Saurin seul sévère souvent stathouder style sujet terre teurs texte Théodore de Bèze théologie tion trône trouve vanité vérité vertus Viret vœux Voici voix XVIIe siècle yeux
Popular passages
Page 254 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si directement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 253 - Car enfin qu'est-ce que l'homme dans la nature? Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant : un milieu entre rien et tout.
Page 242 - Ces peuples d'ailleurs ont leur Dieu et leur roi : les grands de la nation s'assemblent tous les jours, à une certaine heure, dans un temple qu'ils nomment église; il ya au fond de ce temple un autel consacré à leur Dieu, où un prêtre célèbre des mystères qu'ils appellent saints...
Page 263 - Puis examinant avec attention ce que j'étais, et voyant que je pouvais feindre que je n'avais aucun corps et qu'il n'y avait aucun monde ni aucun lieu où je fusse, mais que je ne pouvais pas feindre pour cela que je n'étais point...
Page 263 - ... je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser et qui pour être n'a besoin d'aucun lieu ni ne dépend d'aucune chose matérielle.
Page 254 - Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres. Et le dernier, de faire partout des dénombrements si entiers et des revues si générales que je fusse assuré de ne rien omettre.
Page 240 - La cour veut toujours unir les plaisirs avec les affaires. Par un mélange étonnant, il n'ya rien de plus sérieux, ni ensemble de plus enjoué. Enfoncez : vous trouvez partout des intérêts cachés , des jalousies délicates qui causent une extrême sensibilité, et, dans une ardente ambition, des soins et un sérieux aussi triste qu'il est vain.
Page 254 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre.
Page 167 - Jérusalem, si je t'oublie, que ma droite s'oublie elle-même ; que ma langue s'attache à mon palais si je ne me souviens de toi, si je ne fais de toi le principal sujet de ma joie.
Page 253 - Ne cherchons donc point d'assurance et de fermeté. Notre raison est toujours déçue par l'inconstance des apparences; rien ne peut fixer le fini entre les deux infinis qui l'enferment et le fuient.