Rabelais et ses Oeuvres, Volume 2Didier, 1877 - Authors, French |
From inside the book
Results 1-5 of 39
Page 1
... semble mal posé . Mais tout cela s'expliquera plus tard , et nous verrons que ce qui a semblé d'abord un hors d'œuvre , n'a pas été mis là sans but . Nous abrégerons toutefois les conversa- tions de Panurge , et n'en garderons que ce qu ...
... semble mal posé . Mais tout cela s'expliquera plus tard , et nous verrons que ce qui a semblé d'abord un hors d'œuvre , n'a pas été mis là sans but . Nous abrégerons toutefois les conversa- tions de Panurge , et n'en garderons que ce qu ...
Page 2
... semble étrange , l'était moins alors qu'il ne le serait maintenant . Les courtisans portaient généra- lement une bague à l'une ou l'autre oreille , à la ma- nière des Hébreux d'autrefois . L'originalité de Pa- nurge , c'était d'y avoir ...
... semble étrange , l'était moins alors qu'il ne le serait maintenant . Les courtisans portaient généra- lement une bague à l'une ou l'autre oreille , à la ma- nière des Hébreux d'autrefois . L'originalité de Pa- nurge , c'était d'y avoir ...
Page 7
... elles voudront , car leur présence autour du berceau leur semble inutile . Il en est de même de l'âme lorsque le corps est endormi et que les fonctions de la digestion s'accomplissent d'elles - mêmes ; LES SONGES . 7.
... elles voudront , car leur présence autour du berceau leur semble inutile . Il en est de même de l'âme lorsque le corps est endormi et que les fonctions de la digestion s'accomplissent d'elles - mêmes ; LES SONGES . 7.
Page 18
... semble plus probable , c'est que Heine avait dans l'esprit ce passage de Rabelais lorsqu'il s'est amusé à nous montrer les dieux de l'antiquité transformés par la tradition populaire : Mercure , devenu un négociant hollandais , et ...
... semble plus probable , c'est que Heine avait dans l'esprit ce passage de Rabelais lorsqu'il s'est amusé à nous montrer les dieux de l'antiquité transformés par la tradition populaire : Mercure , devenu un négociant hollandais , et ...
Page 50
... fin , bien mûrs et bien digérés . --- Dulcior est fructus post multa pericula ductus . [ Le fruit semble plus doux , conquis dans les dangers . ] Ne connais - tu pas le proverbe : Heureux le 50 LE JUGE BRIDOYE . III . PANTAGRUEL . -
... fin , bien mûrs et bien digérés . --- Dulcior est fructus post multa pericula ductus . [ Le fruit semble plus doux , conquis dans les dangers . ] Ne connais - tu pas le proverbe : Heureux le 50 LE JUGE BRIDOYE . III . PANTAGRUEL . -
Other editions - View all
Common terms and phrases
Andouilles Aristophane assez avons Basché beau Beaumarchais belle boire Bridoye çà catholique Cervantès chanter chapitre Chats fourrés Chicanous choses Cingar cinquième livre Claude Fleury cloches coignée conte Couillatris coup curé dæmons Dante décrétales diable Dieu dieux dit-il Dive Bouteille divination donne écrivains Epistémon estoit femme Figaro Folengo François Ier frère Jean Gargantua géant gens Grandgousier Grippeminaud Henri Estienne homme idées jour joyeux barbier juge Jupiter l'auteur l'Editue l'histoire l'île l'œuvre de Rabelais l'oracle lais laisse langue lanterne Lucien manger marier ment Meudon monde Montaigne mort moutons n'en navire Neveu de Rameau nurge oiseaux Pantagruel Panurge pape parle passé pays pensée père personnages philosophe phrase Picrochole plaisanteries Plutarque poète Ponocrates premier procès Rabe Rabelais raconte récit reste rien roman Rondibilis s'il savant science seigneur sera seul sibylle songes sorte souvent style Swift tempête terre teur tion trompé trouve Voltaire voyage voyageurs XVIe siècle XVII
Popular passages
Page 428 - I^es abeilles pillotent deçà delà les fleurs, mais elles en font après le miel, qui est tout leur ; ce n'est plus thin ny marjolaine : ainsi les pièces empruntées d'autruy, il les transformera et confondera, pour en faire un ouvrage tout sien, à sçavoir son jugement.
Page 354 - ... être imbécile ; un petit animal folâtre ; un jeune homme ardent au plaisir, ayant tous les goûts pour jouir, faisant tous les métiers pour vivre; maître ici, valet là, selon qu'il plaît à la fortune; ambitieux par vanité, laborieux par nécessité, mais paresseux... avec délices! orateur selon le danger; poète par délassement; musicien par occasion; amoureux par folles bouffées, j'ai tout vu, tout fait, tout usé.
Page 353 - Je me crus trop heureux d'en être oublié, persuadé qu'un grand nous fait assez de bien quand il ne nous fait pas de mal.
Page 117 - Qu'affectent la plupart de vos gens à la mode ; Et je ne hais rien tant que les contorsions De tous ces grands faiseurs de protestations, Ces affables donneurs d'embrassades frivoles, 45 \ Ces obligeants diseurs d'inutiles paroles, '', Qui de civilités avec tous font combat, Et traitent du même air l'honnête homme et le fat.
Page 354 - Le désespoir m'allait saisir; on pense à moi pour une place, mais par malheur j'y étais propre : il fallait un calculateur, ce fut un danseur qui l'obtint.
Page 530 - ... est acheté par des volumes de sottises : il n'ya que quelques personnes d'un goût bizarre qui se piquent d'entendre et d'estimer tout cet ouvrage. Le reste de la nation rit des plaisanteries de Rabelais et méprise le livre. On le regarde comme le premier des bouffons; on est fâché qu'un homme qui avait tant d'esprit en ait fait un si misérable usage , c'est un philosophe ivre qui n'a écrit que dans le temps de son ivresse.
Page 521 - ... c'est un monstrueux assemblage d'une morale fine et ingénieuse et d'une sale corruption. Où il est mauvais, il passe bien loin au delà du pire; c'est le charme de la canaille : où il est bon , il va jusqu'à l'exquis et à l'excellent, il peut être le mets des plus délicats.
Page 405 - ... de dettes et léger d'argent ; à la fin convaincu que l'utile revenu du rasoir est préférable aux vains honneurs de la plume, j'ai quitté Madrid...
Page 225 - L'un et l'autre approcha, ne craignant nulle chose. Aussitôt qu'à portée il vit les contestants, Grippeminaud, le bon apôtre, Jetant des deux côtés la griffe en même temps, Mit les plaideurs d'accord en croquant l'un et l'autre.
Page 354 - ... pourvu que je ne parle en mes écrits ni de l'autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l'Opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l'inspection de deux ou trois censeurs.