Le Général René Moreaux et lʹArmée de la Moselle, 1792-1795 |
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Ambert Archives du dépôt Ardennes armées armées du Rhin attaque Autrichiens avaient avant-garde avant-postes bataillon Bingen Bitche Bliescastel Bourbotte camp canon cavalerie chef de l'armée citoyen Coblentz Colaud Comité de salut corps des Vosges Creutznach d'artillerie Debrun Desaix Desbureaux dirigea divisions de l'armée duc de Brunswick ennemis forces fructidor garnison gauche de l'armée général de brigade général de division général en chef général Moreaux général Vincent guerre hauteurs Hentz Hoche hommes Hornbach Jomini Jourdan Kaiserslautern Kalkreuth l'armée de Sambre-et-Meuse l'armée du Rhin l'ennemi Landau Landstühl Lauterecken Lembach lettre Liasse intitulée Longwy Luxembourg Manheim marcher Mayence mée Michaud Mollendorf Moreaux au Comité Moselle mouvement octobre opérations ordres du général Pichegru Pièces justificatives Pirmasens position poste prince de Hohenlohe prise de Coblentz quartier général reaux Reneauld renfort représentants du peuple républicains République Rheinfels Saint-Cyr salut public Sarre Sarrebruck Sarrelouis septembre 1793 Thionville tion Trarbach Trèves Trippstadt troupes Wurmser
Popular passages
Page 366 - Représentants du peuple près les armées du Rhin et de la Moselle réunies, après s'être concertés avec les généraux en chef Moreaux et Michaud, ont arrêté ce qui suit: Art.
Page 88 - ... portion la plus précieuse de son héritage. » Aux braves appartient la cendre du brave ; ils en sont les gardiens naturels , ils doivent en être les dépositaires jaloux. Un droit reste après la mort au guerrier qui fut moissonné sur le champ des combats ; celui de demeurer sous la sauvegarde des guerriers qui lui survivent, de partager avec eux l'asile consacré à la gloire , car la gloire est une propriété que la mort n'enlève pas.
Page 282 - Corrôze, l'a promu au grade de Général de Brigade pour en faire les fonctions sous l'autorité du Conseil exécutif provisoire, et sous les ordres du Ministre ayant le Département de la guerre. Le Conseil exécutif provisoire mande et ordonne à tous les en fs de Brigade, officiers, souso-fficiers et soldats, de le reconnaître en ladite qualité.
Page 8 - ... une vengeance exemplaire et à jamais mémorable, en livrant la ville de Paris à une exécution militaire et à une subversion totale et les révoltés, coupables d'attentats, aux supplices qu'ils auront mérités.
Page 282 - Conseil executif provisoire établi en vertu de la loi du quinze août mil sept cent quatre-vingt-douze, l'an quatrième de la liberté prenant une entière confiance dans la valeur, expérience, vigilance, bonne conduite, zèle et fidélité envers la Patrie dont a donné des preuves dans toutes les occasions le citoyen Pierre-Jean Treich, chef du 3...
Page 12 - Nous ignorons ce qui se passe en France : les citoyens et la garnison n'ont pas cessé un instant d'être fidèles à la nation, à la loi et au roi; ils dépendent des autorités constituées, tant civiles que militaires, établies dans leur chef-lieu de département et ne peuvent recevoir d'ordre que d'elles. « Fait à Thionville, le 4e jour du mois de septembre 1792.
Page 370 - Dans la tournée que je viens de faire à l'armée de la Moselle, je me suis attaché à examiner particulièrement la situation de la place de Luxembourg et la position que les troupes occupent pour la bloquer. J'ai vu avec plaisir que l'intelligence des républicains égale leur courage et leur dévouement.
Page 314 - L'armée de la Moselle est maintenant à Trippstadt. L'ennemi s'y était entouré d'abatis, de redoutes, de canons, et était soutenu par une nombreuse cavalerie; tout a cédé au pas de charge et aux baïonnettes. Nos tirailleurs, chargés par la cavalerie, se sont réunis au cri de Vive la République, et formés en bataillon carré, ils l'ont chassée cinq fois de suite.
Page 115 - L'avant-garde, conduite par Lefebvre , ayant rencontré l'ennemi au pont d'Aubange , le culbuta, et, entraînée par trop d'ardeur, le poursuivit , contre ses instructions , jusqu'au delà des hauteurs de Bubange, où elle se trouva seule en présence du corps de Beaulieu. Une vive canonnade s'engagea, et Jourdan, qui n'en attendait aucun résultat, fit replier Lefebvre sur ces hauteurs. « Beaulieu , renforcé de quelques bataillons de la garnison de Luxembourg, s'était établi, la droite sur les...
Page 370 - Plusieurs magasins de blé et de fourrage, qui étaient sous le feu de la place, ont été brûlés. Tous les rapports s'accordent à nous faire connaître que la garnison a pour environ six mois de vivres, qu'elle mange déjà depuis plus d'un mois. L'emplacement de la plupart des magasins de l'intérieur de la place est connu , et , aussitôt que le temps le permettra , on poussera vigoureusement les travaux, qui nous mettront à même de les brûler.