Statique des civilisations |
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... peuples . L'idée , formulée par Augustin , a été reprise par Bossuet : « Ce long enchaînement des causes particulières , s'écrie l'augure de Meaux , qui font et défont les empires , dépend des ordres secrets de la divine Providence ...
... peuples . L'idée , formulée par Augustin , a été reprise par Bossuet : « Ce long enchaînement des causes particulières , s'écrie l'augure de Meaux , qui font et défont les empires , dépend des ordres secrets de la divine Providence ...
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... peuples , jusqu'à la chaumière d'Évandre , jusqu'à la tente de Jacob , jusqu'au palmier de Zoroastre . » Il serait difficile de pousser l'induction à un plus haut degré d'audace . C'est comme si un observateur avait la prétention de ...
... peuples , jusqu'à la chaumière d'Évandre , jusqu'à la tente de Jacob , jusqu'au palmier de Zoroastre . » Il serait difficile de pousser l'induction à un plus haut degré d'audace . C'est comme si un observateur avait la prétention de ...
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... peuples et les climats des pays qu'ils habitent . Pour mener à bonne fin une œuvre pareille , il eût fallu connaître deux données essentielles , qui faisaient entièrement défaut à l'époque où Montes- quieu écrivait : les archives de l ...
... peuples et les climats des pays qu'ils habitent . Pour mener à bonne fin une œuvre pareille , il eût fallu connaître deux données essentielles , qui faisaient entièrement défaut à l'époque où Montes- quieu écrivait : les archives de l ...
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... peuples indolents , s'écrie l'auteur du Voyage en Syrie , que ces Assyriens qui , pendant cinq cents ans , troublèrent l'Asie par leur ambition et leurs guerres ; que ces Mèdes , qui rejetèrent leur joug et les dépossédèrent ; que ces ...
... peuples indolents , s'écrie l'auteur du Voyage en Syrie , que ces Assyriens qui , pendant cinq cents ans , troublèrent l'Asie par leur ambition et leurs guerres ; que ces Mèdes , qui rejetèrent leur joug et les dépossédèrent ; que ces ...
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... est à la Ville . 2. « Il y a , dit Taine , deux peuples en France : la province et Pa- ris , l'un qui dîne , dort , bâille , écoute ; l'autre qui pense , ose , veille La Ville , la cité , la capitale , voilà 46 CHAPITRE TROISIÈME.
... est à la Ville . 2. « Il y a , dit Taine , deux peuples en France : la province et Pa- ris , l'un qui dîne , dort , bâille , écoute ; l'autre qui pense , ose , veille La Ville , la cité , la capitale , voilà 46 CHAPITRE TROISIÈME.
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Common terms and phrases
africo aliments ammoniac atomes australe avons azotée blé boréal Buckle Carthage céréale Chaldée chaleur charbon chiffres chimique Chinois cités civilisation civilisation chinoise climat comburant composés consomme continent corps côtes Cuzco degré développement différence différenciation Égypte éléments forme habitants hindoue historiens hygrométriques inégalité isothermes l'acide l'air l'aliment l'alimentation l'amidon l'Asie l'atmosphère l'azote l'eau l'élément l'énergie humaine l'équateur l'Europe l'évolution l'hémisphère l'homme l'influence l'Occident l'Océan l'Orient l'oxygène latitude liquide loppement matière albuminoïde matière azotée Méditerranée méditerranéennes ment méridien mesure mètres Mexique milieu mongole Montesquieu mouvement moyenne Ninive nord organismes oxygénés pays Pe-king péninsule période Pérou peuples plante plateau pôle population première produit puissance quantité race régions régions chaudes relation reste résulte rivages s'élève seigle seulement siècle solaire soleil sucre surface température terrains terre terrestre territoire tion travail valeur variations végétale végétation vibrations vitesse xve siècle zone chaude zone froide zone glacée zone tempérée zone torride zones thermiques
Popular passages
Page 327 - Ceux que nous appelons anciens étaient véritablement nouveaux en toutes choses, et formaient l'enfance des hommes proprement; et comme nous avons joint à leurs connaissances l'expérience des siècles qui les ont suivis, c'est en nous que l'on peut trou-ver cette antiquité que nous révérons dans les autres.
Page 28 - Ces longues chaînes de raisons, toutes simples et faciles, dont les géomètres ont coutume de se servir pour parvenir à leurs plus difficiles démonstrations, m'avaient donné occasion de m'imaginer que toutes les choses qui peuvent tomber sous la connaissance des hommes s'entre-suivent en même façon, et que, pourvu seulement qu'on s'abstienne d'en recevoir aucune pour vraie qui ne le soit, et qu'on garde toujours l'ordre qu'il faut pour les déduire les unes des autres, il n'y en peut avoir...
Page 5 - Monseigneur, que ce long enchaînement des causes particulières qui font et défont les empires , dépend des ordres secrets de la divine Providence. Dieu tient du plus haut des cieux les rênes de tous les royaumes ; il a tous les cœurs en sa main : tantôt il retient les passions ; tantôt il leur lâche la bride , et par là il remue tout le genre humain.
Page 131 - ... qu'on croit être à leur pied ; enfin, l'on y touche, et rien ne peut exprimer la variété des sensations qu'on y éprouve ; la hauteur de leur sommet, la rapidité de leur pente...
Page 349 - ... théorie : les émanations des eaux stagnantes, si meurtrières en Chypre et à Alexandrette , n'ont point cet effet en Egypte. La raison m'en paraît due à la siccité habituelle de l'air, établie, et par le voisinage de l'Afrique et de l'Arabie , qui aspirent sans cesse l'humidité , et par les courants perpétuels des vents qui passent sans obstacle. Cette siccité est telle, que les viandes exposées, même en été, au vent du nord, ne se putréfient point, mais se dessèchent et se durcissent...
Page 70 - Au«jourd'hui, comme aux jours de Pline et de Columelle, la «jacinthe se plaît dans les Gaules, la pervenche en Illyrie, «la marguerite sur les ruines de Numance, et pendant «qu'autour d'elles les villes ont changé de maîtres et de «nom, que plusieurs sont...
Page 136 - Sur cette ouverture se trouvait répandue une masse de terre suffisante pour recevoir les racines des plus grands arbres. Ce sol artificiel était rempli d'arbres de toute espèce, capables de charmer la "vue par leur dimension et leur beauté. Les colonnes, s'élevant graduellement, laissaient par leurs interstices pénétrer la lumière, et donnaient accès aux appartements royaux, nombreux et diversement ornés. Une seule de ces colonnes était creuse depuis le sommet jusqu'à sa base; elle contenait...
Page 131 - ... à leur pied ; enfin, l'on y touche, et rien ne peut exprimer la variété des sensations qu'on y éprouve ; la hauteur de leur sommet, la rapidité de leur pente, l'ampleur de leur surface, le poids de leur assiette, la mémoire des temps qu'elles rappellent, le calcul du travail qu'elles ont coûté, l'idée que ces immenses rochers sont l'ouvrage de l'homme, si petit et si faible, qui rampe à leur pied, tout saisit à la fois le cœur et l'esprit d'étonnement, de terreur, d'humiliation,...
Page 132 - Quant à celles de l'étage supérieur, nous n'avons rien vu de plus grand parmi les ouvrages sortis de la main des hommes : la variété infinie des communications et des galeries rentrant les unes dans les autres, que l'on traverse pour arriver aux...
Page 218 - ... destinées sous vos yeux. Il y avait une portion de l'Europe qui ressemblait beaucoup à l'Italie : c'était le midi de la France , et les provinces de l'Espagne qui l'avoisinent , la Catalogne , la Navarre , la Biscaye. Là les villes avaient également pris beaucoup de développement , d'importance, de richesse. Beaucoup de petits seigneurs féodaux s'étaient alliés avec les bourgeois ; une partie du clergé avait également embrassé leur cause ; en un mot, le pays se trouvait dans une situation...