Mémoires complets et authentiques ...: sur le siècle de Louis XIV et la régence, Volumes 11-12H.L. Delloye, 1840 - France |
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affaires Albéroni armée arriva assez Audenarde avaient Beauvillier Bergheyck Berwick Biron Boisseuil Boufflers C'était cabale camp campagne cardinal Chamillart chancelier chevalier choses comte comte d'Évreux conseil cour d'Angleterre d'Antin d'esprit dame demeura Desmarets dire donner duc d'Orléans duc de Beauvillier duc de Bourgogne duc de Vendôme duchesse de Bourgogne duchesse de Villeroy ennemis femme fille fils finances Flandre Fontainebleau frère fût Gand gens gogne heures homme jamais jours l'armée l'avait l'Escaut là-dessus laissa lieutenant général Lille longtemps Louvois madame de Maintenon madame de Soubise madame la duchesse mademoiselle maison manda maréchal de Boufflers maréchal de Villeroy mariage Marlborough Marly Mattignon ment millart ministre monde monsei monseigneur le duc mort Mortemart mourut n'avait n'en n'était Noailles officiers parler passer père personne Pontchartrain pouvait prince de Conti prince Eugène princesse prit rien Roquelaure s'en s'était sentit seul sœur sorte Torcy Trémoille troupes trouva vait Versailles vint voulait voulut
Popular passages
Page 242 - Permettez-moi après cela que je vous dise, avec tout le respect que je vous dois (c'étoit une lettre faite pour courir, et qui n'étoit écrite à personne), que votre nation est bien capable d'oublier toutes les merveilles que ce bon prince a faites dans mon pays, qui rendront son nom immortel...
Page 211 - Puyguyon, survenant chacun d'ailleurs, achevèrent de presser une résolution. Vendôme ne voyant plus nulle apparence de résister davantage à tant de convictions, et poussé à bout de rage: »»Eh bien!
Page 18 - ... passé sa jeunesse dans le frivole et dans les plaisirs qui, en tout genre, et, toutes les fois qu'elle le put, allèrent à la débauche. Avec ces qualités, beaucoup d'esprit, de sens pour la cabale et les affaires, avec une souplesse qui ne lui...
Page 198 - Quoique son métier ne fût guère que les jardins où il excellait , le roi ne laissait pas de le consulter sur ses bâtiments. Il lui demanda s'il avait été à Trianon. Le Nôtre répondit que non. Le roi lui ordonna d'y aller. Le lendemain il le vit encore; même question , même réponse. Le roi comprit à quoi il tenait, tellement qu'un peu fâché , il lui commanda de s'y trouver l'après-dinée même, à l'heure qu'il y serait avec Louvois.
Page 130 - Maintenou avec une petite table devant elle. Plus loin son lit dans un enfoncement. Vis-à-vis les pieds du lit une porte et cinq marches à monter, puis un fort grand cabinet qui...
Page 103 - viendrai à ma fantaisie, et on me laissera en repos. * — Un silence, à entendre une fourmi marcher, succéda à cette espèce de sortie. On baissait les yeux; à peine osait-on respirer. Chacun demeura stupéfait. Jusqu'aux gens des bâtiments et aux jardiniers demeurèrent immobiles. Ce silence dura plus d'un quart d'heure. « Le Roi le rompit, appuyé sur la balustrade, pour parler d'une carpe; personne ne répondit : il adressa après la parole sur ces carpes à des gens...
Page 135 - Bourgogne, dans des moments vifs où il l'auroit mieux aimé à cheval : « Vous aurez, lui dit-il tout haut, le royaume du ciel, mais pour celui de la terre, le prince Eugène et Marlborough s'y prennent mieux que vous.
Page 119 - Le grand chambellan n'a plus d'autre fonction que de servir le roi , quand il s'habille ou qu'il mange à son petit couvert; il est dépouillé de tout le reste , et n'a nulle part aucun ordre à donner ni qui que ce soit sous sa charge. Le grand écuyer met le roi à cheval et commande uniquement à la grande écurie , en quoi , pour la réalité, il n'est pas plus que le premier écuyer. Le...
Page 140 - C'était un homme parfaitement modeste et parfaitement désintéressé. On ne pouvait avoir plus d'esprit, un tour plus fin, ui en même temps plus aisé, avec beaucoup de grâce et de réserve; avec cela salé, volontiers caustique , gai , plaisant, plein de saillies et de reparties, éloquent jusque par son silence. Ses lettres étaient charmantes, et pour peu qu'il se trouvât à son aise, de la meilleure compagnie du monde.
Page 194 - ' , tante des deux rois d'Angleterre ses fils, et grand'tante de l'impératrice Amélie femme de l'empereur Joseph. Tant d'éclat fut absorbé sous son voile. Elle ne fut principalement que religieuse, et seulement abbesse pour éclairer et conduire sa communauté, dont elle ne souffrit jamais d'être distinguée en rien : elle ne connut que sa cellule, le réfectoire, la portion commune ; elle ne...