| François-René vicomte de Chateaubriand - Middle East - 1811 - 386 pages
...il faut se représenter des fûts de colonnes et des bouts de ruines anciennes et modernes ^ gare , avoit vu mourir la brillante Aspasie; Ce tableau de l'Attique, ce spectacle que je contemplois , avoit été contemplé par des yeux fermés depuis deux mille ans. Je passerai à mou... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - Jerusalem - 1812 - 410 pages
...par intervalle de ces murs qui retentirent si long-temps de la voix d'un peuple libre. Je me disois, pour me consoler, ce qu'il faut se dire sans cesse...passe , tout finit dans ce monde. Où sont allés les géûies divins qui élevèrent le temple sur les débris duquel j'étois assis ? Ce soleil, qui peut-être... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - Middle East - 1822 - 432 pages
...intervalles de ces murs qui retentirent si long-temps de la voix d'un peuple libre. Je me disois , pour me consoler , ce qu'il faut se dire sans cesse...Aspasie. Ce tableau de l'Attique , ce spectacle que je contemplois, avoit été contemplé par des yeux fermés depuis deux mille ans. Je passerai à mon... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - Middle East - 1822 - 410 pages
...intervalles de ces murs qui retentirent si long-temps de la voix d'un peuple libre. Je me disois , pour me consoler , ce qu'il faut se dire sans cesse...débris duquel j'étois assis? Ce soleil, qui peut-être cclairoit les derniers soupirs de la pauvre fille de Mégare, avoit vu mourir la brillante Aspasie.... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - French literature - 1826 - 456 pages
...par intervalles de ces murs qui retentirent si long-temps de la voix d'un peuple libre. Je me disois, pour me consoler, ce qu'il faut se dire sans cesse...Aspasie. Ce tableau de l'Attique , ce spectacle que je contemplois , avoit été contemplé par des yeux fermés depuis deux mille ans. Je passerai à mon... | |
| François René vicomte de Chateaubriand - Jerusalem - 1829 - 430 pages
...par intervalles de ces murs qui retentirent si long-temps de la voix d'un peuple libre. Je me disois, pour me consoler, ce qu'il faut se dire sans cesse...Aspasie. Ce tableau de l'Attique, ce spectacle que je contemplois, avoit été contemplé par des yeux fermés depuis deux mille ans. Je passerai à mon... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1831 - 508 pages
...par intervalles de ces murs qui retentirent si long-temps de la voix d'un peuple libre. Je me disois, pour me consoler, ce qu'il faut se dire sans cesse...avoit vu mourir la brillante Aspasie. Ce tableau de l'A ttique , ce spectacle que je contemplois, avoit été contemplé par des yeux fermés depuis deux... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1835 - 506 pages
...intervalles de ces murs qui retentirent si long-temps de la voix d'un peuple libre. Je me disois , pour me consoler^ ce qu'il faut se dire sans cesse...tout finit dans ce monde. Où sont allés les génies diviras qui élevèrent le temple sur les débris duquel j'étois assis? Ce soleil, qui peut-être... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1836 - 402 pages
...intervalles de ces murs qui retentirent si long-temps de la voix d'un peuple libre. Je me disois , pour me consoler, ce qu'il faut se dire sans cesse:...allés les génies divins qui élevèrent le temple sur le» débris duquel j'étois assis? Ce soleil, qui peut-être éclairoit les derniers soupirs de la... | |
| François-René de Chateaubriand - 1836 - 394 pages
...par intervalles de ces murs qui retentirent si long-temps de la voix d'un peuple libre. Je me disois, pour me consoler, ce qu'il faut se dire sans cesse : Tout passe , tout tiiiil dans ce monde. Où sont allés les génies divins qui élevèrent le temple sur les débris... | |
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