Oeuvres de M. de Voltaire, Volume 1; Volume 28Cramer et Bardin, 1775 |
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Common terms and phrases
accufé affez affurément ainfi auffi ayent befoin c'eft c'eſt caufe Céfar cent chap chofe chrêtiens Cicéron compofé confervé de-là DIEU Dieux difant difcours difent difpute donne efclaves efprit églife enfans enfuite eſpèce eſt évêque expreffions fables fages faifait fainte falait fang fans doute favant feconde feigneur felon femble femmes fens fent fept ferait ferpent fervir feul fiécle figne fignifie figure fimple fociété foit foleil fommes font fous fouvent Franqs ftile fuis fuiv fujet fuppofe fur l'Encycl furtout Grecs Homère hommes impoffible jamais jéfuite JESUS JESUS-CHRIST jufqu'à jufte Juifs l'efprit l'églife laiffer lefquels livres loix longtems lorfque Louis XIV mille Milton mort n'eft nation néceffaire paffage paffer pape parler penfer père perfonne peuple philofophes plaifir plufieurs poëme poëtes préfent prefque puiffe Queft queftion raifon refpect refte religion rois Romains Rome s'eft tems terre Tertullien tion toûjours ufage دو دو دو رو وو وو دو
Popular passages
Page 401 - L'a fait pour son malheur pencher vers ma rivale. Nous le verrions encor nous partager ses soins ; II m'aimerait peut-être ; il le feindrait du moins. Adieu. Tu peux partir. Je demeure en Epire : Je renonce à la Grèce, à Sparte, à son empire, A toute ma famille ; et c'est assez pour moi.
Page 256 - D'une nuit qui laissait peu de place au courage : Mes soldats presque nus, dans l'ombre intimidés, Les rangs de toutes parts mal pris et mal gardés , Le désordre partout redoublant les alarmes , Nous-mêmes contre nous tournant nos propres armes , Les cris que les rochers renvoyaient plus affreux , Enfin toute l'horreur d'un combat ténébreux ; Que pouvait la valeur dans ce trouble funeste?
Page 407 - Un guerrier généreux que la vertu couronne Vaut bien un roi formé par le secours des lois : Le premier qui le fut n'eut pour lui que sa voix.
Page 92 - ... s'empara de tout l'auditoire ; prefque tout le monde fe leva à moitié par un mouvement involontaire ; le murmure d'acclamation et de furprife fut fi fort qu'il troubla l'orateur , et ce trouble ne fervit qu'à augmenter le pathétique de ce morceau...
Page 307 - ... manœuvres, ne sachent que cultiver, parce qu'on n'a besoin que d'une plume pour deux ou trois cents bras.
Page 138 - L'auteur acharné à décrier tout ce qui eft louable dans les auteurs vivans , & à louer ce qui eft condamnable dans les morts , veut faire admirer cette ftrophe. Je vois monter nos cohortes La .flamme & le fer en main , Et fur les monceaux de piques , •* De corps morts , de rocs , de briques , •S'ouvrir un large chemin.
Page 225 - Hélas! et sous quel astre, ô ciel ! m'as-tu formée, Si je leur dois des vœux de ce qu'ils ont permis Que je rencontre ici mes plus grands ennemis, [prince Et tombe entre leurs mains plutôt qu'aux mains d'un Qui doit à mon époux son trône et sa province.