Histoire de la vie et des ouvrages de J. De La Fontaine, Volume 1 |
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aimait amis amours année auteurs avaient avoit ballade beau belle Boileau Bouillon Brienne Bussy-Rabutin célèbre Champmeslé charmes Château-Thierry Choisy chose cœur collection Petitot Colletet composé comte contes cour d'Ésope d'Olivet dame date donner duchesse écrit écrivit édit épître épousa étoit Fayette femme fille Fontaine Fouquet François Gourville goût Henriette d'Angleterre Histoire homme imprimé in-fol intitulé Jannart jeune l'amour l'Aubespin l'édit l'histoire Lettres à divers livre Loret Louis Racine Louis XIV LXIII LXIV madame de Montespan Madame de Motteville madame de Sévigné Mademoiselle de Montpensier Mancini mari Marie Mancini Maucroix Mazarin Mémoires ment Molière monarque Monglat Monmerqué Muse Nyert ouvrages parler Parnasse passer Pellisson Pidoux pièces plaisir poëme poésie poëte préface premier prince prose Psyché recueil de fables reine rien s'était Sablière Saint-Simon satire savant seul siècle sœur sorte sujet surintendant taine talent Tallemant des Réaux tion trouve Vallière VIII Voyez Walckenaer XLIII
Popular passages
Page 315 - Descartes, ce mortel dont on eût fait un dieu Chez les païens, et qui tient le milieu Entre l'homme et l'esprit ; comme entre l'huître et l'homme...
Page 232 - Je m'avoue, il est vrai, s'il faut parler ainsi, Papillon du Parnasse, et semblable aux abeilles A qui le bon Platon compare nos merveilles. Je suis chose légère, et vole à tout sujet : Je vais de fleur en fleur, et d'objet en objet ; A beaucoup de plaisir je mêle, un peu de gloire.
Page 301 - Que si je ne suis né pour de si grands projets, Du moins que les ruisseaux .m'offrent de doux objets ! Que je peigne en mes vers quelque rive fleurie ! La Parque à filets d'or n'ourdira point ma vie, Je ne dormirai point sous de riches lambris : Mais voit-on que le somme en perde de son prix:' En est-il moins profond, et moins plein de délices?
Page 259 - LES fables ne sont pas ce qu'elles semblent être ; Le plus simple animal nous y tient lieu de maître. Une morale nue apporte de l'ennui : Le conte fait passer le précepte avec lui.
Page v - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, mais enfin ils arrivent; la lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion et alors ce sera un beau tapage; les jeunes gens sont bien heureux, ils verront de belles choses.
Page 206 - Vous connaissez mon bien, mon talent, ma naissance : Dois-je dans la province établir mon séjour, Prendre emploi dans l'armée, ou bien charge à la cour ? Tout au monde est mêlé d'amertume et de charmes : La guerre a ses douceurs, l'hymen a ses alarmes. Si je suivais mon goût, je saurais où buter ; Mais j'ai les miens, la cour, le peuple à contenter, Malherbe là-dessus : Contenter tout le monde ! Écoutez ce récit avant que je réponde.
Page 99 - II aime ses sujets, il est juste, il est sage ; Du titre de clément, rendez-le ambitieux; C'est par là que les Rois sont semblables aux dieux.
Page 205 - Je t'en veux dire un trait assez bien inventé ; Autrefois à Racan Malherbe l'a conté. Ces deux rivaux d'Horace, héritiers de sa lyre...
Page 277 - L'officier, le marchand, tout son rôti retranche, Pour y pouvoir porter tout son gain le dimanche ; On ne va plus au bal, on ne va plus au Cours : Hiver, été, printemps, bref, opéra toujours ; Et quiconque n'en chante, ou bien plutôt n'en gronde Quelque récitatif, n'a pas l'air du beau monde.
Page 121 - Chambre murée, étroite place, Quelque peu d'air pour toute grâce, Jours sans soleil, Nuits sans sommeil, Trois portes en six pieds d'espace ? Vous peindre un tel appartement, Ce serait attirer vos larmes ; Je l'ai fait insensiblement : Cette plainte a pour moi des charmes.