François, voire des plus braves, entre lesquels il y en avoit qui étoient ses propres compagnons, parents et amis, et que, dans une heure, il faudrait se tuer les uns les autres; ce qui donnoit quelque horreur du fait, néanmoins sans diminuer le courage. Histoire de France - Page 84by Louis-Pierre Anquetil - 1852Full view - About this book
| Louis-Pierre Anquetil - 1818 - 472 pages
...avoit qui étoient ses propres com« pagnons , parents et amis , et que dans une « heure il faudroit se tuer les uns les autres , ce qui « donnoit quelque...horreur du fait, sans néanmoins « diminuer du courage. » En effet , on se battit sept heures avec un égal acharnement. Tantôt vainqueurs, tantôt vaincus,... | |
| Louis-Pierre Anquetil - 1819 - 526 pages
...voire des plus braves, entre lesquels il «y en avoit qui étaient ses propres compagnons, pa« rents et amis, et que dans une heure il faudrait se tuer...connétable fut le premier qui se porta en avant avec plus d'intrepidité que de sagesse, car, sans attendre qu'il pût être secouru, il opposa le corps qu'il... | |
| Louis-Pierre Anquetil - France - 1819 - 526 pages
...avoit qui étoient ses propres compagnons , pa« rents et amis , et que dans une heure il faudroit se tuer « les uns les autres , ce qui donnoit quelque...connétable fut le premier qui se porta en avant avec plus d'intrepidité que de sagesse, car, sans attendre qu'il pût être secouru , il opposa le corps qu'il... | |
| France - 1823 - 830 pages
...il y en avoit qui estoient ses propres compagnons, parens et amis, et que dans une heure il faudroit se tuer les uns les autres; ce qui donnoit quelque horreur du fait, neantmoins sans diminuer de courage. On fut en ceste maniere retenu jusques à ce que les armées s'esbranlerent... | |
| Jean Philippi - 1823 - 420 pages
...il y en avoit qui estoient ses propres compagnons, parens et amis, et que dans une heure il faudroit se tuer les uns les autres; ce qui donnoit quelque horreur du fait, neantmoins sans diminuer de courage. On fut en ceste maniere retenu jusques à ce que les armées s'esbranlerent... | |
| Louis Athanase des Balbes de Berton de Crillon - 1825 - 460 pages
...voire des plus braves, entre lesquels il y « en avait qui étaient ses propres compagnons, parens « et amis , et que dans une heure il faudrait se tuer les « uns les autres, ce qui donnait quelqu'horreur du « fait , sans néanmoins diminuer du courage. » En effet, on se battit... | |
| Pierre-Louis Roederer - France - 1830 - 520 pages
...avait qui étaient ses » propres compagnons , parens el amis , et que dans «une heure il faudroit se tuer les uns les autres, »ce qui donnoit quelque horreur du fait, sans » néanmoins diminuer le courage. » Ne serait-il pas temps d'écrire l'histoire avec les mots qui expriment les choses,... | |
| comte Pierre Louis Roederer - 1830 - 500 pages
...en avait qui étaient ses 'propres compagnons, parens et amis , et que dans » une heure il faudroit se tuer les uns les autres, »ce qui donnoit quelque horreur du fait, sans "néanmoins diminuer le courage.» Ne serait-il pas temps d'écrire l'histoire avec les mots qui expriment les choses, et... | |
| Capefigue (M., Jean Baptiste Honoré Raymond) - Europe - 1834 - 436 pages
...y en avoit qui étoient ses propres compagnons , parens et amis, et que dans une heure il faudroit se tuer les uns les autres ; ce qui donnoit quelque horreur du fait, sans néanmoins diminuer le courage*. » Enfin on s'ébranla, et ces beaux sentimens n'empêchèrent de se battre pendant sept... | |
| Capefigue (M., Jean Baptiste Honoré Raymond) - Europe - 1834 - 530 pages
...y en avoit qui étoient ses propres compagnons , parens et amis , et que dans une heure il faudroit se tuer les uns les autres; ce qui donnoit quelque horreur du fait , sans néanmoins diminuer le courage'. » Enfin on s'ébranla, et ces beaux sentiniciis n'empêchèrent de se battre pendant... | |
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