Théâtre ...A.-A. Renouard, 1819 |
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ABDALLA ACTE affreux Allez âme ARZAME assez ASTÉRIE ATHAMARE autels avez BABET barbare BARON bonté brave César CÉSÈNE Charlot cher ciel Cirthe cœur COMTESSE Crète crime cruel CYDONIEN daignez DAPHNIS Datame DICTIME Dieu dieux digne dois Ecbatane enfans époux femme fesant fille fils frère gloire Glycère GOURVILLE L'AÎNÉ GRAND-PRÊTRE GRÉGOIRE Guèbres guerriers GUILLOT Hélas HERMODAN HIRCAN INDATIRE IRADAN IRÈNE j'ai j'en jamais JEUNE ARZÉMON JEUNE GOURVILLE jour JULIE l'amour L'AVOCAT PLACET L'INTENDANT LÉLIE lieux LISETTE lois long-temps madame Aubert main maître malheureux MASSINISSE MÉGATISE MÉRIONE Minos Mme AGNANT Mme AUBONNE monsieur Garant mort NINON noble Numide OBÉIDE pardonne parler PÈRE DE DAPHNIS Persans peuple PHÆDIME Pharès PICARD pitié pleurs PRÉCÉDENS PRESTINE prêtres punir respect rien Romains Rome sacré sais sang SCÈNE PREMIÈRE Scipion Scythes seigneur seul soldats Sophonisbe sort SOZAME SULMA Syphax temple TEUCER théâtre tragédie tremble tyrans venger veux VIEIL ARZÉMON vois yeux
Popular passages
Page 479 - Sitôt que d'Apollon un génie inspiré Trouve loin du vulgaire un chemin ignoré, En cent lieux contre lui les cabales s'amassent ; Ses rivaux obscurcis autour de lui croassent ; Et son trop de lumière, importunant les yeux, De ses propres amis lui fait des envieux. La mort seule ici -bas, en terminant sa vie, Peut calmer sur. son nom...
Page 316 - Quoi ! fille de David, vous parlez à ce traître ? Vous souffrez qu'il vous parle? Et vous ne craignez pas Que, du fond de l'abîme entrouvert sous ses pas, II ne sorte à l'instant des feux qui vous embrasent, Ou qu'en tombant sur lui, ces murs ne vous écrasent?
Page 9 - Ce qu'on ne doit point voir, qu'un récit nous l'expose; Les yeux en le voyant saisiraient mieux la chose, Mais il est des objets que l'art judicieux Doit offrir à l'oreille et reculer des yeux.
Page 145 - Tartufe (selon sa coutume de la consulter sur tout «ce qu'il fesait), elle le paya en même monnaie par le récit « d'une aventure qui lui était arrivée avec un scélérat à peu «près de cette espèce, dont elle lui fit le portrait avec des • couleurs si vives et si naturelles, que si sa pièce n'eût pas été «faite, nous...
Page 313 - Athalie est peut-être le chef-d'œuvre de l'esprit humain. Trouver le secret de faire en France une tragédie intéressante sans amour, oser faire parler un enfant sur le théâtre, et lui prêter des réponses dont la candeur et la simplicité nous tirent des larmes, n'avoir presque pour acteurs principaux qu'une vieille femme et un prêtre, remuer le...
Page 101 - Guillot aille aussi dans quelque académie; La doctrine est pour eux, et non pour ma maison. Je hais fort le latin; il déroge à mon nom; Et l'on a vu souvent, quoi qu'on en puisse dire, De très-bons officiers qui ne savaient pas lire. LA COMTESSE. S'ils l'avaient su, mon fils, ils en seraient meilleurs. J'en ai connu beaucoup qui, polissant leurs mœurs, Des beaux-arts avec fruit ont fait un noble usage. Un esprit cultivé ne nuit point au courage. Je suis loin d'exiger qu'aux lois de son devoir...
Page 312 - D'un Dieu qui donne aux siens la mort pour récompense . D'un imposteur, d'un fourbe et d'un crucifié ! Qui l'a mis dans le ciel? qui l'a déifié? Un nombre d'ignorants et de gens inutiles , De malheureux , la lie et l'opprobre des villes...
Page 403 - Qu'ils adorent leur dieu , mais sans blesser les miens : Que chacun dans sa loi cherche en paix la lumière ; Mais la loi de l'État est toujours la première. Je pense en citoyen , j'agis en empereur; Je hais le fanatique et le persécuteur.