Œuvres complètes, revues, précédées d'une nouvelle vie de Molière [&c.] par P.R. Auguis, Volume 1 |
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ACTE Adieu affaire ALBERT Allez ALMANZOR amant amour ANDRÈS ANSELME ASCAGNE assez avecque avez beau belle Boileau c'étoit CATHOS chère chose ciel cœur comédie connoissance connoître conte coquin coup courroux crois CROISY déja DÉPIT AMOUREUX dessein diable dieu dire dis-je discours donner enfin ÉRASTE ERGASTE esprit êtes étoit femme fille flamme fourbe FROSINE gens GORGIBUS grace GRANGE GROS-RENÉ HIPPOLYTE homme j'ai j'aurois j'avois j'en jamais JODELET l'amour l'École des Femmes laisse LÉANDRE LÉLIE long-temps Louis XIV LUCILE m'en vais madame MADELON maître MARINETTE MAROTTE MASCARILLE MÉTAPHRASTE Molière monsieur PANDOLFE parler paroître père peur pièce plaisir POLIDORE Précieuses ridicules prompt qu'un raison rien rival s'il sais savez SCÈNE VII secret seigneur sentiment seroit seul soins sort souffrir succès tantôt Tartuffe tout-à-fait troupe de Molière trouve TRUFALDIN VALÈRE valet veut veux veux-tu viens vient VIOLONS vœux voilà vois voleur voudrois vrai yeux
Popular passages
Page 263 - ... savants et les vrais braves ne se sont point encore avisés de s'offenser du Docteur de la comédie et du Capitan, non plus que les juges, les princes et les rois de voir...
Page 281 - Il faudrait être l'antipode de la raison, pour ne pas confesser que Paris est le grand bureau des merveilles, le centre du bon goût, du bel esprit et de la galanterie.
Page 19 - II n'était ni trop gras ni trop maigre ; il avait la taille plus grande que petite, le port noble, la jambe belle; il marchait gravement; avait l'air très-sérieux, le nez gros, la bouche grande, les lèvres épaisses, le teint brun, les sourcils noirs et forts ; et les divers mouvements qu'il leur donnait lui rendaient la physionomie extrêmement comique.
Page 21 - L'autre, fougueux marquis, lui déclarant la guerre, Voulait venger la cour immolée au parterre. Mais, sitôt que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains, On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable Comédie, avec lui terrassée, En vain d'un coup si rude espéra revenir Et sur ses brodequins ne put plus se tenir.
Page 21 - Mais, sitôt que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains, On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable Comédie, avec lui terrassée, En vain d'un coup si rude espéra revenir Et sur ses brodequins ne put plus se tenir. Tel fut chez nous le sort du théâtre comique.
Page 274 - Pour moi, mon oncle , tout ce que je puis vous dire, c'est que je trouve le mariage une chose tout à fait choquante. Comment est-ce qu'on peut souffrir la pensée de coucher contre un homme vraiment nu ? MABELON.
Page 263 - ... que ces vicieuses imitations de ce qu'il y a de plus parfait ont été de tout temps la matière de la comédie; et que...
Page 21 - Avant qu'un peu de terre, obtenu par prière, Pour jamais sous la tombe eût enfermé Molière, Mille de ses beaux traits, aujourd'hui si vantés, Furent des sots esprits à nos yeux rebutés. L'ignorance et l'erreur à ses naissantes pièces En habits de marquis, en robes de comtesses...