Doctrine de Saint-Simon |
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Popular passages
Page 155 - Sous les mauvais gouvernements, cette égalité n'est qu'apparente et illusoire; elle ne sert qu'à maintenir le pauvre dans sa misère, et le riche dans son usurpation. Dans le fait, les lois sont toujours utiles à ceux qui possèdent, et nuisibles à ceux qui n'ont rien : d'où il suit que l'état social n'est avantageux aux hommes qu'autant qu'ils ont tous quelque chose , et qu'aucun d'eux n'a rien de trop.
Page 156 - Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire : Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile.
Page 151 - La propriété est le droit de jouir et de disposer des choses de la, manière la plus absolue, pourvu qu'on n'en fasse pas un usage prohibé par les lois ou par les règlements.
Page 12 - Ainsi tout arbre qui est bon porte de bons fruits, mais un mauvais arbre porte de mauvais fruits. Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits. Tout arbre qui ne porte point de bon fruit est coupé et jeté au feu.
Page 105 - ... de l'exploitation qui retombe de tout son poids sur la classe ouvrière, c'est-à-dire sur l'immense majorité des travailleurs. Dans un tel état de choses, l'ouvrier se présente donc comme le descendant direct de l'esclave et du serf; sa personne est libre, il n'est plus attaché à la glèbe, mais c'est là tout ce qu'il a conquis, et, dans cet état d'affranchissement légal, il ne peut subsister qu'aux conditions qui lui sont imposées par une classe peu nombreuse, celle des hommes qu'une...
Page 19 - ... tous les faits de l'activité humaine sont classés , prévus , ordonnés par une théorie générale; où le hut de l'action sociale est nettement défini.
Page 104 - L'ouvrier n'est pas, comme l'esclave, une propriété directe de son maître ; sa condition, toujours temporaire, est fixée par une transaction passée entre eux : mais cette transaction est-elle libre de la part de l'ouvrier î Elle ne l'est pas, puisqu'il...
Page 78 - Ce but, c'est l' association universelle, c'est-à-dire l'association de tous les hommes, sur la surface entière du globe , et dans tous les ordres de leurs relations ; mais...
Page 6 - J'entrevis, dès ce moment, que la révolution d'Amérique signalait le commencement d'une nouvelle ère politique ; que cette révolution devait nécessairement déterminer un progrès important dans la civilisation générale ; et que, sous peu de temps, elle causerait de grands changemens dans l'ordre social qui existait alors en Europe (1).
Page xxiv - LIEN d'affection, de doctrine et d'activité qui doit les UNIR, les faire marcher EN PAIX, avec ORDRE, avec AMOUR, vers une COMMUNE destinée, et donner à la société, au globe lui-même, au monde tout entier, un caractère d'union, de sagesse et de beauté, qui fasse succéder l'hymne de grâce aux cris de désespoir que fait entendre aujourd'hui le génie.