| Charles Augustin Sainte-Beuve - Authors, French - 1878 - 572 pages
...les états. Adieu. Répondez-moi une bonne longue lettre. Envoyez-moi du nectar, je vous envoie de la poussière, mais c'est tout ce que j'ai. Je suis tout...finir par là, autant vaut-il commencer aussi par là. » II revient à tout moment sur cette idée du néant des efforts et de la volonté; il répète de... | |
| 1844 - 784 pages
...les états. Adieu. Képondez-moi une bonne longue lettre. Envoyez-moi du nectar, je vous envoie de la poussière, mais c'est tout ce que j'ai. Je suis tout...finir par là autant vaut-il commencer aussi par là. s Lausanne, le 30 septembre 1794. 186 puis encore déjeuné avec vile , de torte que je l'ai bien vue... | |
| 1847 - 624 pages
...les états. Adieu. Répondez-moi une bonne longue lettre. Envoyez-moi du nectar, je vous envoie de la poussière, mais c'est tout ce que j'ai. Je suis tout...finir par là, autant vaut-il commencer aussi par là. » « Ce 13. « Je ne sais si vous avez raison de m'accuser de manquer de franchise, au moins sais-je... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - Authors, French - 1852 - 550 pages
...les états. Adieu. Bépondez-moi une bonne longue lettre. Envoyez-moi du nectar, je vous envoie de la poussière, mais c'est tout ce que j'ai. Je suis tout...finir par là, autant vaut-il commencer aussi par là. » Il revient à tout moment sur cette idée du néant des effort! et de la volonté ; il répète... | |
| Eugène Crépet - French letters - 1865 - 626 pages
...les états. Adieu. Répondez-moi une bonne longue lettre. Envoyez-moi du nectar, je vous envoie de la poussière, mais c'est tout ce que j'ai. Je suis tout...finir par là, autant vaut-il commencer aussi par là. JACQUEM01NT. 1801— i832. La correspondance familière de ce jeune et savant voyageur, enlevé au... | |
| Philippe Ernest Godet - 1906 - 552 pages
...ainsi : « Adieu. Répondez-moi une bonne longue lettre. Envoyezmoi du nectar ; je vous envoie de la poussière, mais c'est tout ce que j'ai. Je suis tout...finir par là, autant vaut-il commencer aussi par là. » (10 décembre 1790 ?) Ce ton amer et détaché est continuel dans ses lettres. Si Mme de Charrière... | |
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