Oeuvres, Volume 3Pougin, 1797 - Latin language |
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Page vii
... étoient un peuple . Cette aven- ture me fit faire réflexion à ce que bien d'autres persones m'avoient déjà dit , que le titre de ce livre n'étoit pas entendu de tout le monde ; mais après y avoir bien pensé , j'ai vu qu'on en pouvoit ...
... étoient un peuple . Cette aven- ture me fit faire réflexion à ce que bien d'autres persones m'avoient déjà dit , que le titre de ce livre n'étoit pas entendu de tout le monde ; mais après y avoir bien pensé , j'ai vu qu'on en pouvoit ...
Page 17
... étoient persécutés , et ils sou-- froient patienment les persécutions . Qu'y a - t - il de plus naturel et de moins éloigné du langage ordinaire , , que la peinture que fait S. Paul de cette situation et de cette conduite des apô- tres ...
... étoient persécutés , et ils sou-- froient patienment les persécutions . Qu'y a - t - il de plus naturel et de moins éloigné du langage ordinaire , , que la peinture que fait S. Paul de cette situation et de cette conduite des apô- tres ...
Page 29
... étoient regardées dans le paganisme come les déesses qui inspiroient les poëtes et les musiciens : ainsi Muse se prend ici pour la chanson même , c'est la cause pour l'éfet ; c'est une métonymie particulière , qui étoit en usage en ...
... étoient regardées dans le paganisme come les déesses qui inspiroient les poëtes et les musiciens : ainsi Muse se prend ici pour la chanson même , c'est la cause pour l'éfet ; c'est une métonymie particulière , qui étoit en usage en ...
Page 58
... aux douze parties de la nuit ; celles - ci étoient divisées en quatre veilles , dont chacune comprenoit trois heures . Dans le langage de l'église , les jours de la semaine qui suivent le dimanche , sont apelés féries par 58 OE U VRES.
... aux douze parties de la nuit ; celles - ci étoient divisées en quatre veilles , dont chacune comprenoit trois heures . Dans le langage de l'église , les jours de la semaine qui suivent le dimanche , sont apelés féries par 58 OE U VRES.
Page 59
... étoient des jours solemnels où l'on faisoit des jeux et des sacrifices avec pompe ; les féries étoient seulement des jours de repos où l'on s'abstenoit du travail . Festus prétend que ce mot vient à feriéndis victimis . L'anée chrétiene ...
... étoient des jours solemnels où l'on faisoit des jeux et des sacrifices avec pompe ; les féries étoient seulement des jours de repos où l'on s'abstenoit du travail . Festus prétend que ce mot vient à feriéndis victimis . L'anée chrétiene ...
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Common terms and phrases
acou adjectifs adolére antiphrase antonomase apèle Aristote atirer quelque malheur augure auroit avoit des mots Boileau bona verba c'est-à-dire c'étoit calus catachrèse chose Cicéron civitátis comence comunément conoissances contraire cordonier d'Horace déshonêtes dícitur Dieu diférentes discours disoient éfet équivoque espèce étiam étoient étoit étre Euménides euphémisme exemple expression extension fácere façons de parler favéte linguis Festus françois grammairiens Grecs Heaut home homo Homo sacer honêtes Horace hypallage idées accessoires Inst l'antiphrase l'esprit l'euphémisme l'honeur L'hypallage langue latin lieu de dire mactáre Madame Dacier métaphore métonymie Naboth objets ocasions Orat ordinaire Ovide PARONOMASE passif pensée périphrase persones phémisme Plaute poësie poëtes prènent Próspera qu'un quæ quelquefois Quintilien raport rectè sacer sacra salsa Sanadon sens actif sens divisé sens litéral sens métaphorique sens propre seroit sert Servius signifie signifient somes sorte souvent sunt synecdoque tems Térence termes TIBULL tropes Varron verbe neutre veut dire Virg Virgile
Popular passages
Page 89 - C'est Neptune en courroux qui gourmande les flots ; Echo n'est plus un son qui dans l'air retentisse, C'est une nymphe en pleurs qui se plaint de Narcisse.
Page 66 - Cependant, sur le dos de la plaine liquide S'élève à gros bouillons une montagne humide. L'onde approche, se brise et vomit à nos yeux, Parmi des flots d'écume, un monstre furieux. Son front large est armé de cornes menaçantes . Tout son corps est couvert d'écaillés jaunissantes. Indomptable taureau, dragon impétueux, Sa croupe se recourbe en replis tortueux ; Ses longs mugissements font trembler le rivage.
Page 87 - Que Pan vOUS défende : Hélas! il le sait, Je ne lui demande Que ce seul bienfait. Oui, brebis chéries Qu'avec tant de soin J'ai toujours nourries, Je prends à témoin Ces bois, ces prairies, Que si les faveurs Du dieu des pasteurs Vous gardent d'outrages Et vous font avoir Du matin au soir De gras pâturages, J'en conserverai Tant que je vivrai...
Page 77 - Le goût de Paris s'est trouvé conforme à celui d'Athènes ; mes spectateurs ont été émus des mêmes choses qui ont mis autrefois en larmes le plus savant peuple de la Grèce...
Page 86 - L'honneur et la joie; Vous qui, gras et beau, Me donniez sans cesse Sur l'herbette épaisse Un plaisir nouveau? Que je vous regrette ! Mais il faut céder : Sans chien, sans houlette, Puis-je vous garder ? L'injuste fortune Me les a ravis. En vain j'importune Le Ciel par mes cris; II rit de mes craintes, Et, sourd à mes plaintes, Houlette ni chien, II ne me rend rien. Puissiez-vous, contentes Et sans mon secours, Passer d'heureux jours, Brebis innocentes, Brebis mes amours ! Que Pan vous défende...
Page 100 - ... (S'il veult prester) qui ne face un debteur. Et sçavez vous (Syre) comment je paye? Nul ne le sçait, si premier ne l'essaye; Vous me devrez (si je puis) de retour, Et vous feray encores un bon tour. A celle fin qu'il n'y ait faulte nulle, Je vous feray une belle cedulle, A vous payer (sans usure, il s'entend) Quand on verra tout le monde content; Ou si voulez, à payer ce sera Quand vostre los et renom cessera.
Page 79 - L'autre, sans choix, sans exactitude, d'une plume libre et inégale, tantôt charge ses descriptions, s'appesantit sur les détails : il fait une anatomie; tantôt il feint, il exagère, il passe le vrai dans la nature : il en fait le roman.
Page 63 - ... nous nous servons de mots qui, à les prendre à la lettre, vont au-delà de la vérité, et représentent le plus ou le moins pour faire entendre quelque excès en grand ou en petit.
Page 94 - Qu'est-ce en effet pour toi, grand monarque des Gaules, Qu'un peu de sable et de gravier ? Que faire de mon île ? il n'y croît que des saules : Et tu n'aimes que le laurier.
Page 57 - Jetez-moi dans les troupes comme un simple soldat, je suis THERSITE ; mettez-moi à la tête d'une armée dont j'aie à répondre à toute l'Europe, je suis ACHILLE.