J'étais à genoux près du lit Où venait de mourir mon père. Au chevet du lit vint s'asseoir Un orphelin vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Ses yeux étaient noyés de pleurs; Comme les anges de douleurs, II était couronné d'épine... Entretiens sur la grammaire - Page 8by Lambert Sauveur - 1879 - 335 pagesFull view - About this book
| France - 1835 - 788 pages
...verre , en touchant le sien , Se brisa dans ma main débile. Un an après , il était nuit ; J'étais à genoux près du lit Où venait de mourir mon père....étaient noyés de pleurs ; Comme les anges de douleurs 11 était couronné d'épine ; Son luth à terre était gisant, Sa pourpre de couleur de sang , Et... | |
| Alfred de Musset - 1841 - 456 pages
...verre , en touchant le sien , Se brisa dans ma main débile. Un an après , il était nuit ; J'étais à genoux près du lit Où venait de mourir mon père....chevet du lit vint s'asseoir Un orphelin vêtu de noir , Ses yeux étaient noyés de pleins ; Comme les anges de douleurs , II était couronné d'épine ;... | |
| Alfred de Musset - French poetry - 1849 - 428 pages
...verre , en touchant le sien , Se brisa dans ma main débile. Un an après, il était nuit; J'étais a genoux près du lit Où venait de mourir mon père....frère. Ses yeux étaient noyés de pleurs; Comme les auges de douleurs , Il était couronné d'épine; Son luth à lerre était gisant, Sa pourpre de couleur... | |
| Alfred de Musset - 1852 - 306 pages
...mon verre, en touchant le sien, Se brisa dans ma main débile. Un an après, il était nuit; J'étais à genoux près du lit Où venait de mourir mon père. Au chevet du lit vint s'asseoir Un orphelin vêlu de noir, Qui me ressemblai! comme un frère. Ses yeux étaient noyés de pleurs ; Comme les anges... | |
| A. Roche - 1853 - 720 pages
...d'ami, Et, se détournant à demi, Me montra du doigt la colline. Un an après, il était nuit; J'étais à genoux près du lit Où venait de mourir mon père...vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Ses veux étaient noyés de pleurs; Comme les anges de douleurs, ll était couronné d'épine ; Son luth... | |
| Alfred de Musset - 1857 - 300 pages
...mon verre, en touchant le sien, Se brisa dans ma main débile. Un an après, il était nuit; J'étais à genoux près du lit Où venait de mourir mon père....orphelin vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frèje. Ses yeux étaient noyés de pleurs; Comme les anges de douleurs, Il était couronné d'épine;... | |
| 1857 - 430 pages
...verre, eu touchant le sien, Se brisa dans ma maia débile. Uu an après, il était nuit ; J'étais à genoux près du lit Où venait de mourir mon père ; Au chevet du lit vint s'asseoir Un orpliclin vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. t Son front était noyé de pleurs, Comme... | |
| Alfred de Musset - 1859 - 340 pages
...verre, en touchant le sien, Se brisa dans ma main débile. L'n an après, il était nuit, J'étais à genoux près du lit Où venait de mourir mon père. Au chevet du lit vint s'asseoir Un orphelin vfitu de noir, Oui me ressemblait comme un frère. Ses yeux étaient noyés de pleurs; Comme les anges... | |
| Alfred de Musset - 1860 - 300 pages
...débile. Un an après, il était nuit, J'étais à genoux près du lit Où venait de mourir mon père. An chevet du lit vint s'asseoir Un orphelin vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un fivre. Ses yeux étaient noyés de pleurs ; Comme les anges de douleurs, II était couronné d'épine;... | |
| Alfred de Musset - 1866 - 394 pages
...mon verre, en touchant le sien, Se brisa dans ma main débile. Un an après, il était nuit, J'étais à genoux près du lit Où venait de mourir mon père....étaient noyés de pleurs; Comme les anges de douleurs, Il était couronné d'épine; Son luth à terre était gisant, Sa pourpre de couleur de sang. Et son... | |
| |