Histoire de la philosophie morale et politique dans l'antiquité et les temps modernes |
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Common terms and phrases
actions aristocratique Aristote Beccaria Bodin Bossuet c'est-à-dire cause chose cipe citoyens condition conscience consentement conséquent constitution contraire Contrat social démocratie despotisme devoir Dieu dire dit-il divine doctrine doit donne doute elle-même enfin esprit Etat évident Fénelon Filangieri force forme de gouvernement gouver Grotius guerre Hobbes hommes Hubert Languet humaine Ibid idées juge juste justice Kant l'amour l'autre l'esclavage l'Esprit des lois l'état de nature l'homme l'honneur légitime Leibnitz liberté libre limites Locke loi naturelle lui-même magistrat Malebranche ment monarchie monarque Montesquieu morale moyen âge nécessaire objet pacte passions pensée personne peuple philosophie Platon politique possession pouvoir absolu pouvoir exécutif pouvoir législatif premier prince principe prop propriété Puffendorf puissance puisse punir qu'une question raison rapports république révolution rien rois Rousseau s'il science séparation des pouvoirs serait seul société civile sorte souve souverain souveraineté Spinosa Suarez sujets suppose théorie tion tique tyrannie vernement vertu volonté Voltaire vrai XVIe siècle
Popular passages
Page 472 - Enfin chacun se donnant à tous ne se donne à personne, et comme il n'ya pas un associé sur lequel on n'acquière le même droit qu'on lui cède sur soi, on gagne l'équivalent de tout ce qu'on perd, et plus de force pour conserver ce qu'on a.
Page 495 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle (1).
Page 342 - ... climat glacé, brûlant ou tempéré ; à la qualité du terrain, à sa situation, à sa grandeur; au genre de vie des peuples, laboureurs, chasseurs ou pasteurs ; elles doivent se rapporter au degré de liberté que la constitution peut souffrir ; à la religion des habitants, à leurs inclinations, à leurs richesses, à leur nombre, à leur commerce, à leurs mœurs, à leurs manières.
Page 492 - La souveraineté ne peut être représentée, par la même raison qu'elle ne peut être aliénée; elle consiste essentiellement dans la volonté générale, et la volonté ne se représente point : elle est la même, ou elle est autre; il n'ya point de milieu.
Page 342 - Elles doivent être relatives au physique du pays, au climat glacé, brûlant ou tempéré; à la qualité du terrain, à sa situation, à sa grandeur, au genre de vie des peuples, laboureurs, chasseurs ou pasteurs : elles doivent se rapporter au...
Page 399 - Il est faux qu'il soit permis de tuer dans la guerre , autrement que dans le cas de nécessité : mais dès qu'un homme en a fait un autre esclave , on ne peut pas dire qu'il ait été dans la nécessité de le tuer , puisqu'il ne l'a pas fait. Tout le droit que la guerre peut donner sur les captifs, est de s'assurer tellement de leur personne qu'ils ne puissent plus nuire.
Page 469 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 175 - Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'on te fît à toi-même (1 ). » On peut renoncer à ses droits de deux manières : oa par simple renonciation, ou par translation.
Page 167 - Le peuple entra dans le sanctuaire , il leva le voile qui doit toujours couvrir tout ce que l'on peut dire et tout ce que l'on peut croire du droit des peuples et de celui des rois, qui ne s'accordent jamais si bien ensemble que dans le silence.
Page 484 - Ce qui est bien et conforme à l'ordre est tel par la nature des choses et indépendamment des conventions humaines. Toute justice vient de Dieu , lui seul en est la source ; mais si nous savions la recevoir de si haut , nous n'aurions besoin ni de gouvernement ni de lois.