Les chroniques de sire Jean Froissart: qui traitent des merveilleuses emprises, nobles aventures et faits dármes advenus en son temps en France, Angleterre, Bretaigne, Bourgogne, Escosse, Espaigne, Portingal et ès autres parties, Volume 1

Front Cover
 

Other editions - View all

Common terms and phrases

Popular passages

Page 187 - Gentil sire et gentil roi , véez nous cy six qui avons été d'ancienneté bourgeois de Calais et grands marchands : si vous apportons les clefs de la ville et du châtel...
Page 188 - ... humblement et requiers en propre don, que pour le Fils de sainte Marie , et pour l'amour de moi , vous veuillez avoir de ces six hommes mercy.
Page 161 - Calais, ainsi que celui qui moult la désiroit à conquérir, il l'assiégea par grand'manière et de bonne ordonnance, et fit bâtir et ordonner entre la ville et la rivière et le pont de Nieulai hôtels et maisons, et charpenter de gros merrein, et couvrir les dites maisons, qui étoient assises et ordonnées par rues bien et faiticement...
Page 257 - Sire, sachez, pour vous lober (railler); car tous ceux de notre partie et qui ont vu les uns et les autres, se sont par pleine science à ce accordés, et vous en donnent le prix et le chapelet, si vous le voulez porter.
Page 187 - Le roi étoit à cette heure en sa chambre, à grand' compagnie de comtes, de barons et de chevaliers. Si entendit que ceux de Calais venoient en l'arroy qu'il avoit devisé et ordonné ; et se mit hors, et s'en vint en la place devant son hôtel, et tous ces seigneurs après lui, et encore grand...
Page 184 - ... gens n'endurèrent ni souffrirent la pareille, que nous consentissions que le plus petit garçon ou varlet de la ville eût autre mal que le plus grand de nous.
Page 251 - Nasço (Nassau), qui n'en firent adonc nul compte ; et ne sais si ils lui firent jurer prison ; mais ils le lièrent sur un char avecques leur harnois.
Page 269 - Beauvoisin; et ne furent mie cent hommes les premiers; et dirent que tous les nobles du royaume de France, chevaliers et écuyers, honnissoient et trahissoient le royaume, et que ce seroit grand bien qui tous les détruiroit.
Page 257 - Quand ce vint au soir, le prince de Galles donna à souper au roi de France et à monseigneur Philippe, son fils, à monseigneur Jacques de Bourbon, et à la plus grande partie des comtes et des barons de France qui prisonniers estoient.
Page 203 - ... et fourbirent leurs plaies. Quand ils furent ainsi rafraîchis, le premier qui se releva fit signe et rappela les autres. Si recommença la bataille si forte comme en devant, et dura moult longuement ; et...

Bibliographic information