L'oracle des nouveaux philosophes: pour servir de suite et l'eclaircissement aux æuvres de M. de Voltaire ... |
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ainſi auroit auſſi avant avez avoit beau belle C'eſt choſes Chrétiens Ciel clairement contraire Cour croire culte d'autres d'en d'être demande Dieu dire Divinité dogmes doit donner doute écrit Ecrivains enfin eſprit eſt état éternels étoient étoit fans fonds font force forme gens Grecs hommes humain idées j'ai jours jugement juſqu'à l'Ame l'Auteur l'eſprit l'Hiſtoire l'homme l'Univers Lettres liberté Livres Loi naturelle loin Loix Louis lui-même main matiere ment mettre mille monde morale n'ai n'en n'eſt n'ont Nature naturelle Ouvrages parler parole penſer Pere perſonne Peuple Philoſophes porte préjugés premier premiere preuve Prince propre qu'à qu'un raiſon regarde Religion rendre répondit rien Rois s'en s'il ſans ſens ſentimens ſes ſeul ſoit ſon ſont ſous ſuis ſujet ſur tems terre tion traits trouve Vérité Vertu veut Voilà voit Voltaire Voyez vrai yeux
Popular passages
Page 132 - Lisbonne, qui n'est plus, eut-elle plus de vices Que Londres, que Paris, plongés dans les délices? Lisbonne est abîmée, et l'on danse à Paris.
Page 210 - Monseigneur, que ce long enchaînement des causes particulières qui font et défont les empires , dépend des ordres secrets de la divine Providence. Dieu tient du plus haut des cieux les rênes de tous les royaumes ; il a tous les cœurs en sa main : tantôt il retient les passions ; tantôt il leur lâche la bride , et par là il remue tout le genre humain.
Page 34 - Non ; le Dieu qui m'a fait ne m'a point fait en vain: Sur le front des mortels il mit son sceau divin. Je ne puis ignorer ce qu'ordonna mon maître; II m'a donné sa loi, puisqu'il m'a donné l'être.
Page 207 - Pièces répréhenfibles , il étoit perfonnellement honnête homme ; & jamais le pinceau d'un honnête homme ne fçut couvrir de couleurs odieufes les traits de la droiture & de la probité.
Page 175 - ... homme. Ne pouvant trouver des penfées nouvelles, ils ont cherché des tours nouveaux , & ont parlé fans penfer , comme des gens , qui mâcheraient à vuide , & feraient femblant de manger en périffant d'inanition.
Page 106 - Tu veux donc, belle Uranie, Qu'érigé par ton ordre en Lucrèce nouveau. Devant toi, d'une main hardie, Aux superstitions j'arrache le bandeau, Que...
Page 34 - D'un bout du monde à l'autre elle parle, elle crie: "Adore un Dieu, sois juste, et chéris ta patrie.
Page 128 - Je fuis alfez content de vos moutons , de » vos vaches , & de vos poules ; mais franchement je » ne le fuis pas trop de vos terpens & de vos araignées.
Page 271 - ... il faudrait qu'il n'eût ni religion ni patrie; sur ce pied-là, M. de Voltaire marche à grands pas vers la perfection. On ne peut d'abord l'accuser d'être partisan de sa nation, on lui trouve au contraire un tic approchant de la manie des vieillards : les bonnes gens vantent toujours le passé, et sont mécontents du présent.
Page 132 - Direz-vous, en voyant cet amas de victimes : « Dieu s'est vengé, leur mort est le prix de leurs crimes?
Bibliographic information
| Title | L'oracle des nouveaux philosophes: pour servir de suite et l'eclaircissement aux æuvres de M. de Voltaire ... |
| Author | abbé Guyon (Claude-Marie) |
| Published | 1759 |
| Original from | the University of Michigan |
| Digitized | 10 Feb 2006 |
| Length | 326 pages |
| Export Citation | BiBTeX EndNote RefMan |