(14) Discours sur la Méthode, partie VI. (15) Principes de la Philosophie, partie III. (16) Réponses aux Cinquièmes Objections, III. Cf. Méditations, III; Principes,I, 19. (17) Voyez les Notes sur la Logique, 17. (18) Cordemoy, partisan de la philosophie de Descartes, né vers 1620, mort en 1684, auteur de divers opuscules, entre autres, d'un traité du Discernement de l'Ame et du Corps. (19) Descartes ayant répondu aux Premières Objections de Gassendi, celui-ci répliqua; c'est au recueil de ses Instances que renvoie Arnauld. On en trouvera l'analyse au tome II des OEuvres philosophiques de Descartes, publiées par M. Garnier. (20) Tous les arguments d'Arnauld en faveur de l'existence du monde matériel peuvent se ramener à celui de Descartes : Si les corps n'existaient pas, Dieu ne serait pas véridique, et il manquerait de plusieurs autres perfections. Est-il nécessaire de faire remarquer que cette démonstration prétendue n'est qu'un paralogisme, qu'on appellerait grossier, a dit M. Royer-Collard, s'il ne s'agissait d'aussi grands hommes. Nous ne connaissons Dieu qu'au moyen et dans la mesure de notre faculté générale de connaître : il est donc étrange de présenter les perfections divines comme preuve de la véracité de ces facultés considérées soit en elles-mêmes, soit dans leur application. L'existence du monde nous est directement révélée par les sens quand on entreprend de la démontrer, on accorde implicitement qu'elle a besoin de l'être, et si la démonstration est détestable, on s'expose à susciter des philosophes qui la contestent comme ont fait Berkeley et Hume. PREMIER DISCOURS, où l'on fait voir le dessein de cette nouvelle logique.. SECOND DISCOURS, contenant la réponse aux principales objections qu'on a faites contre cette logique. PREMIÈRE PARTIE. 23 33 Contenant les réflexions sur les idées ou sur la première action de l'esprit qui s'appelle concevoir. Des idées considérées selon leur composition ou simplicité, et où il est parlé de la manière de connaître par abstraction ou précision. . . 61 VI. Des idées considérées selon leur généralité, particularité et singularité. . . . 63 VII. Des cinq sortes d'idées universelles, genres, espèces, différences, propres, accidents. . . . 65 VIII. Des termes complexes et de leur universalité ou particu larité.. 71 CHAP. IX. De la clarté et distinction des idées et de leur obscurité Pages. et confusion. .. 76 X. Quelques exemples de ces idées confuses et obscures tirés 82 XI. D'une autre cause qui met de la confusion dans nos pen- XII. Du remède à la confusion qui naît dans nos pensées et 8 . . 91 XIII. Observations importantes touchant la définition des noms. 95 XIV. D'une autre sorte de définition de noms, par lesquels on 98 XV. Des idées que l'esprit ajoute à celles qui sont précisément DEUXIÈME PARTIE. 104 Contenant les réflexions que les hommes ont faites sur leurs jugements. CHAP. I. Des mots par rapport aux propositions. III. Ce que c'est qu'une proposition, et des quatre sortes de De l'opposition entre les propositions qui ont même su- Des propositions simples et composées, qu'il y en a de 120 122 .... 125 VII. De la fausseté qui peut se trouver dans les termes com- VIII. Des propositions complexes selon l'affirmation ou la né gation, et d'une espèce de ces sortes de propositions IX. Des diverses sortes de propositions composées. 128 131 134 CHAP. X. XII. Pages Des propositions composées dans le sens. XIII. Autres observations pour reconnaître si les propositions 140 147 118 151 XIV. Des propositions où l'on donne aux signes le nom des choses. 158 - XV. De deux sortes de propositions qui sont de grand usage dans les sciences, la division et la définition, et premièrement de la division. 162 XVI. De la définition qu'on appelle définition de choses. . . 165 cette conversion dépend, et premièrement de la na- XVIII. De la conversion des propositions affirmatives. 169 171 CHAP. I. -- II. HI. IV. V. TROISIÈME PARTIE. Du raisonnement. De la nature du raisonnement et des diverses espèces qu'il peut y en avoir. . . 176 179 Division des syllogismes en simples et en conjonctifs, et Règles, modes et fondements de la première figure. - IX. X. Des syllogismes complexes, et comment on peut les ré- Principe général par lequel, sans aucune réduction aux figures et aux modes, on peut juger de la bonté ou du 195 198 204 CHAP. XI. Pages. Application de ce principe général à plusieurs syllogis mes qui paraissent embarrassés. XII. Des syllogismes conjonctifs. XIII. Des syllogismes dont la conclusion est conditionnelle. 206' 210 214 XIV. Des enthymèmes et des sentences enthymématiques... 218 XVII. Des lieux ou de la méthode de trouver des arguments. XVIII. Division des lieux en lieux de grammaire, de logique et 222 225 de métaphysique. 229 XIX. Des diverses manières de mal raisonner que l'on appelle 234 sophismes..... XX. Des mauvais raisonnements que l'on commet dans la vie CHAP. I. QUATRIÈME PARTIE. De la méthode. De la science. Qu'il y en a. Que les choses que l'on connaît — II. De deux sortes de méthodes, analyse et synthèse. Exem ple de l'analyse. 287 III. De la méthode de composition, et particulièrement de 294 - IV. Explication plus particulière de ces règles, et première - V. VI. ..... ment de celles qui regardent les définitions. Des règles qui regardent les axiomes, c'est-à-dire les pro positions claires et évidentes par elles-mêmes. ... VII. Quelques axiomes importants, et qui peuvent servir de VIII. Des règles qui regardent les démonstrations. IX. De quelques défauts qui se rencontrent d'ordinaire dans 296 300 302 |