Henry Beyle-StendhalA. Gratier & Cie., 1900 - 145 pages |
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... page cette mention : A notre Maître à tous . Il avait pris à Stendhal son amour de l'histoire de l'art et son libertinage littéraire ; car Stendhal , au dire de Sainte- Beuve , « tenait le dé et faisait le diable à quatre ; har ...
... page cette mention : A notre Maître à tous . Il avait pris à Stendhal son amour de l'histoire de l'art et son libertinage littéraire ; car Stendhal , au dire de Sainte- Beuve , « tenait le dé et faisait le diable à quatre ; har ...
Page 49
... pages de mes contemporains les plus proches , c'est le manque d'idées générales . Nous avons des critiques fins , des professeurs informés , des érudits documentés , mais chacun a son petit cercle étroit d'observations ténues et ...
... pages de mes contemporains les plus proches , c'est le manque d'idées générales . Nous avons des critiques fins , des professeurs informés , des érudits documentés , mais chacun a son petit cercle étroit d'observations ténues et ...
Page 50
... page à dire que Stendhal « était presque incapable d'idées générales , » ou encore que « < celles qu'il a eues font souvent qu'on souhaiterait qu'il n'en eût pas du tout . » J'en demande bien pardon à Faguet , mais j'en ai trouvé , au ...
... page à dire que Stendhal « était presque incapable d'idées générales , » ou encore que « < celles qu'il a eues font souvent qu'on souhaiterait qu'il n'en eût pas du tout . » J'en demande bien pardon à Faguet , mais j'en ai trouvé , au ...
Page 59
... pages où Mathilde jette l'argent par poignées au popu- laire accouru , et celles où meurt Me de Rénal , qui embrasse ses enfants , il n'est point trop tôt , et se retrouve mère , en cette fin romanesque et in- vraisemblable , pensée et ...
... pages où Mathilde jette l'argent par poignées au popu- laire accouru , et celles où meurt Me de Rénal , qui embrasse ses enfants , il n'est point trop tôt , et se retrouve mère , en cette fin romanesque et in- vraisemblable , pensée et ...
Page 64
... pages cha- cune , et presque tout à fait tragiques , qui devinrent la base de son travail . De 1829 à 1836 , il publia dans la Revue de Paris quelques - unes de ces nouvelles : Vanina Vanini , où l'on remarque de curieux détails sur une ...
... pages cha- cune , et presque tout à fait tragiques , qui devinrent la base de son travail . De 1829 à 1836 , il publia dans la Revue de Paris quelques - unes de ces nouvelles : Vanina Vanini , où l'on remarque de curieux détails sur une ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 92 - Oui, don Juan. Le voilà, ce nom que tout répète, Ce nom mystérieux que tout l'univers prend, Dont chacun vient parler, et que nul ne comprend, Si vaste et si puissant qu'il n'est pas de poète Qui ne l'ait soulevé dans son cœur et sa tête, Et pour l'avoir tenté ne soit resté plus grand.
Page 38 - Souvent, las d'être esclave et de boire la lie De ce calice amer que l'on nomme la vie, Las du mépris des sots qui suit la pauvreté, Je regarde la tombe, asile souhaité; Je souris à la mort volontaire et prochaine; Je me prie, en pleurant, d'oser rompre ma chaîne...
Page 98 - Haydn, suivies d'une vie de Mozart et de considérations sur Métastase et l'état présent de la musique en France et en Italie, par Louis-Alexandre-César Bombet ; le livre fut mis en vente au mois de janvier i8i5.
Page 75 - Les douleurs muettes et stupides sont hors d'usage : on pleure, on récite, on répète, on est si touchée de la mort de son mari qu'on n'en oublie pas la moindre circonstance. 80. Ne pourrait-on point découvrir l'art de se faire aimer de sa femme. 81. Une femme insensible est celle qui n'a pas encore vu celui qu'elle doit aimer.
Page 22 - Me voici à Grenoble, mais ce n'est pas par inconstance; je n'ai quitté instantanément Marseille que sur des lettres terribles de mon grand-père. Le commerce humilie mon père: il ne fera rien pour un fils qui remue des barriques d'eau-de-vie, et, tout au monde pour un fils dont il verrait le nom dans les journaux.
Page 140 - Je crois voit que ce style fatigue l'attention en ne donnant pas assez de détails faciles à comprendre. Il me semble que ce style fatigue comme une traduction française de Tacite.
Page 30 - Venise, le 8 octobre 1813. Ma chère amie, LES premières années d'un homme distingué sont comme un affreux buisson. On ne voit de toutes parts qu'épines et branches désagréables et dangereuses. Rien d'aimable, rien de gracieux dans un âge où les gens médiocres le sont pour ainsi dire malgré eux et par la seule force de la nature. Avec le temps, l'affreux buisson tombe à terre, l'on distingue un arbre majestueux qui, par la suite, porte des fleurs délicieuses. J'étais un affreux buisson...
Page 82 - Le romanticisme est l'art de présenter aux [peuples les œuvres littéraires qui, dans l'état actuel de leurs habitudes et de leurs croyances, sont susceptibles de leur donner le plus de plaisir possible.
Page 140 - Civita-Vecchia, 29 octobre 1840. Style - Après avoir [lu] l'article de M. de Balzac, je prends mon courage à deux mains pour corriger le style. Dans le fait, en composant [on ne songe...
Page 39 - J'ai cherché à ne pas faire une seule plaisanterie depuis mon arrivée dans cette île ; je n'ai pas dit une chose cherchant à être amusante ; je n'ai pas vu la sœur d'un homme ; enfin j'ai été modéré et prudent, et je crève d'ennui.