Cours de littérature dramatique: ou de l'usage des passions dans le drame, Volume 1 |
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ACANTHE Acte aime âme amour Andromaque antique Astyanax beau caractère paternel chose CLEANTHE cœur humain colère comédie courage d'Euripide d'OEdipe d'Ulysse Dalainville Desronais Dieu dieux dire dit-il dix-huitième siècle don Diègue DONA LUCREZIA douleur dramatique drame Dupuis Égisthe émotions Énéide enfants enfin époux Euripide famille femme fille gendres Gennaro Géronte Goethe Grecs HARPAGON Hector Hécube Hélas héros Homère homme Idamé Isac Ismène j'ai joie jours l'âme l'amour paternel l'Andromaque l'enfant l'idée l'orphelin Lear littérature Lucrèce Borgia malheur Ménédème ment mère Mérope mieux moderne mœurs Molossus morale mort mourir Néoptolème OEdipe Paméla passions pensée père personnages Philoctète philosophie pièce Piron pitié plaisir pleure plutôt poëte Polynice respect Robinson romans Roméo sais sauver scène semble sentiments seul Shakspeare société Sophocle sorte spectateur Stagyre stoïcisme suicide surtout Tchao Tching-Ing Téléphonte tempête tendresse théâtre touche tragédie Triboulet Troyennes Ulysse vaisseau venger veut veux Victor Hugo vieil Horace Voilà Voltaire Werther yeux ZAMTI
Popular passages
Page 26 - Fille d'Agamemnon, c'est moi qui la première, Seigneur, vous appelai de ce doux nom de père ; C'est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les dieux; Et pour qui, tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigné les faiblesses.
Page 368 - Non, je ne puis souffrir cette lâche méthode Qu'affectent la plupart de vos gens à la mode ; Et je ne hais rien tant que les contorsions De tous ces grands faiseurs de protestations, Ces affables donneurs d'embrassades frivoles, Ces obligeants diseurs d'inutiles paroles, Qui de civilités avec tous font combat, Et traitent du même air l'honnête homme et le fat.
Page 25 - Mon père, Cessez de vous troubler, vous n'êtes point trahi. Quand vous commanderez, vous serez obéi. Ma vie est votre bien. Vous voulez le reprendre : Vos ordres sans détour pouvaient se faire entendre.
Page 292 - J'ai cru en cela me conformer à l'idée que nous avons maintenant de cette princesse. La plupart de ceux qui ont entendu parler d'Andromaque ne la connaissent guère que pour la veuve d'Hector et pour la mère d'Astyanax. On ne croit point qu'elle doive aimer ni un autre mari, ni un autre fils.
Page 100 - OEnone, et ne suis point de ces femmes hardies Qui, goûtant dans le crime une tranquille paix , Ont su se faire un front qui ne rougit jamais.
Page 260 - ... insultants reproches et, quand ce père irrité lui donne sa malédiction, de répondre d'un air goguenard qu'il n'a que faire de ses dons ? Si la plaisanterie est excellente, en est-elle moins punissable; et la pièce où l'on fait aimer le fils insolent qui l'a faite en est-elle moins une école de mauvaises mœurs ? Je ne m'arrêterai point à parler des valets.
Page 270 - Dont la cause à jamais s'éloignait de ma vue, Vos détours l'ont surpris, et m'en ont convaincue. Je vous l'ai confessé, je le dois soutenir. En vain vous en pourriez perdre le souvenir ; Et cet aveu honteux, où vous m'avez forcée...
Page 153 - D'où ce titre d'honneur a tiré sa naissance, Et que la vertu seule a mis en ce haut rang Ceux qui l'ont jusqu'à moi fait passer dans leur sang! DORANTE. J'ignorerois un point que n'ignore personne, Que la vertu l'acquiert comme le sang le donne ? GÉRONTE. Où le sang a manqué, si la vertu l'acquiert, Où le sang l'a donné, le vice aussi le perd.
Page 361 - Dût le ciel égaler le supplice à l'offense, Trône, à t'abandonner je ne puis consentir : Par un coup de tonnerre il vaut mieux en sortir; II vaut mieux mériter le sort le plus étrange. Tombe sur moi le ciel, pourvu que je me venge...
Page 300 - Je les lui promettais tant qu'a vécu son père. Non, vous n'espérez plus de nous revoir encor, Sacrés murs, que n'a pu conserver mon Hector!