Profils étrangers |
From inside the book
Results 1-5 of 30
Page 3
... pris l'habitude d'envelopper ses pensées , et quelquefois il les enveloppait si bien qu'on ne les reconnaissait plus . Il écrivait un jour à son ami Niet- hammer que le Nurembergeois a beaucoup de peine à se décider , que , quand on lui ...
... pris l'habitude d'envelopper ses pensées , et quelquefois il les enveloppait si bien qu'on ne les reconnaissait plus . Il écrivait un jour à son ami Niet- hammer que le Nurembergeois a beaucoup de peine à se décider , que , quand on lui ...
Page 19
Victor Cherbuliez. Ghert le champ de bataille de Waterloo , il fut pris d'une soudaine émotion : « Quelle chute ! s'écria - t - il , et quel homme ! Ce que j'ai toujours le plus admiré en lui , c'est la force invincible avec laquelle il ...
Victor Cherbuliez. Ghert le champ de bataille de Waterloo , il fut pris d'une soudaine émotion : « Quelle chute ! s'écria - t - il , et quel homme ! Ce que j'ai toujours le plus admiré en lui , c'est la force invincible avec laquelle il ...
Page 37
... pris à ses pièges , les plus habiles ont succombé à ses séductions , les plus forts se sont laissé mystifier par lui . L'énergie qu'il eût consacrée à forcer un cerf , il l'a dépensée à forcer des empereurs , et l'adresse qui lui eût ...
... pris à ses pièges , les plus habiles ont succombé à ses séductions , les plus forts se sont laissé mystifier par lui . L'énergie qu'il eût consacrée à forcer un cerf , il l'a dépensée à forcer des empereurs , et l'adresse qui lui eût ...
Page 47
... pris rang parmi les bêtes curieuses dont on s'occupe . Cet animal rare était doué d'un prodigieux esprit , et , après s'être étonné , on admira . Les portes les plus rebelles s'ouvrirent l'une après l'autre ; il fut accueilli , fêté ...
... pris rang parmi les bêtes curieuses dont on s'occupe . Cet animal rare était doué d'un prodigieux esprit , et , après s'être étonné , on admira . Les portes les plus rebelles s'ouvrirent l'une après l'autre ; il fut accueilli , fêté ...
Page 55
... pris la parole à la requête de mon parti et avec le plein assentiment de sir Robert Peel . Comme je désire vous donner une idée exacte de ce qui s'est passé , je commence par déclarer que mon début est un échec en ce sens que je n'ai pu ...
... pris la parole à la requête de mon parti et avec le plein assentiment de sir Robert Peel . Comme je désire vous donner une idée exacte de ce qui s'est passé , je commence par déclarer que mon début est un échec en ce sens que je n'ai pu ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
affaires aimait allemand âme Andalous anglais aurait avaient Bavarois Bavière beau Benjamin Disraeli Berlin Betchouanas Beust Bismarck bonheur Busch c'était cabinet chagrins Chambre chancelier CHARLES GORDON Charlotte Diede charme cher chère Charlotte Chine Chinois choses ciel cœur comte conseil consoler Crispi croire d'avoir Depretis Dieu dire disait disait-il docteur donner écrivait ennemis esprit Estebanez eût faisait femme filles fortune FRANCESCO CRISPI fût Geffcken gens Gondokoro Gordon goût gouvernement guerre Guillaume Hegel homme d'État Humboldt humeur j'ai jamais joie jour journal Khartoum khédive l'Allemagne l'Autriche l'avait l'empereur l'empire l'esprit laisse livre lord Beaconsfield mahdi maître malheur ment ministre missionnaires Mme Buchholz monde n'avait n'était Napoléon Ier passé pays peine pensait personne petits peuple philosophe plaisir politique prince Prusse qu'à qu'un quelquefois raconte raison Ranke rien Robert Moffat royaume s'en s'est s'était Sastrow savait secrets semblait sentiment serait seul Soudan souverain Stralsund tion trouver voulait vrai yeux Zebehr
Popular passages
Page 351 - ... causes naturelles, et elle se souvient d'avoir lu dans la Gazette des ménagères que ce n'est pas le printemps qui ramène la chaleur, que c'est la chaleur qui ramène le printemps, sur quoi elle s'écrie : « Quel autre air a la nature quand on la contemple à travers les lunettes de la science! » Elle n'en est pas moins la plus superstitieuse des femmes; elle a peur des esprits et des revenants. On lui a dit aussi que les savants ne croient plus à l'enfer ni au diable; elle y croit de tout...
Page 142 - L'incertitude désespère quelquefois; et quand on a passé un temps raisonnable à examiner une affaire, il faut se déterminer et prendre le parti qu'on croit le meilleur.
Page 142 - Quand on a l'État en vue, on travaille pour soi ; le bien de l'un fait la gloire de l'autre : quand le premier est heureux, élevé et puissant, celui qui en est cause en est glorieux, et par conséquent doit plus goûter que ses sujets, par rapport à lui et à eux, tout ce qu'il ya de plus agréable dans la vie.
Page 126 - Dans ces circonstances, le mot neutralité, que nous ne prononçons pas sans regret, nous est imposé par une nécessité impérieuse et par une appréciation logique de nos intérêts solidaires. Mais cette neutralité n'est qu'un moyen,' le moyen de nous rapprocher du but véritable de notre politique, le seul moyen de compléter nos armements sans nous exposer à une attaque soudaine soit de la Prusse, soit de la Russie, avant d'être en mesure de nous défendre.
Page 205 - Cet homme que j'avoy, estoit homme simple et grossier, qui est une condition propre à rendre véritable tesmoignage ; car les fines gens remarquent bien plus curieusement et plus de choses, mais ils les glosent ; et, pour faire valoir leur interprétation et la persuader, ils ne se peuvent garder...
Page 353 - Assurément elle ne s'endort pas dans un béat optimisme. Elle considère le mariage comme un train de guerre et de combats. Les maris demandent à être surveillés de très près; l'esprit est prompt, la chair est faible, et Berlin est « un nid de péchés », Berlin est une Babylone où les tentations abondent; le jour et la nuit, elles y battent le pavé ; salles de bal ou petits théâtres, elles guettent partout leur proie; elles s'embusquent dans l'épaisseur des fumées bleuâtres qui remplissent...
Page 127 - ... commencé à Vous délivrer de cette lèpre du journalisme. Sur ce terrain nous avions les mains liées, car, sans parler de la question d'argent, nous ne pouvons, comme Gouvernement, qu'ignorer ce déplorable état de choses qui place notre presse sous la dépendance personnelle de rédacteurs prussiens. Avec un peu de confiance mutuelle nous viendrons à bout de toutes ces difficultés. J'attends La Tour d'Auvergne avec impatience et je ne doute pas que nous parviendrons à nous entendre sur-le-champ....
Page 206 - Je sais que ces peintures vraies ou fausses amusent notre imagination. Le bon sens est souvent en garde contre elles. Je me soucie fort peu que Colbert ait eu les sourcils épais et joints, la physionomie rude et basse, l'abord glaçant; qu'il ait joint de petites...
Page 213 - Bresse qui étoit noir et n'avoit qu'un œil ; moyen cheval, mais de bonne grandeur pour celui qui étoit dessus. Et sembloit que ce jeune homme fût tout autre que sa nature ne portoit, ni sa taille, ni sa complexion ; car il étoit fort craintif à parler (ayant été nourri en grande crainte et avec petites gens).
Page 15 - Goethe, devinant sa détresse, chargea un ami commun de lui faire tenir en son nom 10 écus. Il ne laissait pas d'écrire à Niethammer: « J'ai vu l'empereur, cette âme du monde ; il a traversé la ville pour aller faire une reconnaissance. C'est une prodigieuse sensation que de contempler, assis sur un cheval et n'occupant qu'un point dans l'espace, l'homme qui tient le monde dans sa main. » II avait reconnu l'ouvrier du destin dans ce conquérant qui...