Portraits littéraires, Volume 1 |
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... sentiment se mêlait à tout , à une description de Saint - Lambert , à un conte de Crébillon fils , ou à l'histoire 1 Cet article fut le premier du premier numéro de la Revue de Paris qui naissait ( avril 1829 ) ; il parut sous la ...
... sentiment se mêlait à tout , à une description de Saint - Lambert , à un conte de Crébillon fils , ou à l'histoire 1 Cet article fut le premier du premier numéro de la Revue de Paris qui naissait ( avril 1829 ) ; il parut sous la ...
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... sentiment naïf et vrai de la nature et de la campagne 1 . 1 Afin d'être juste , il ne faut pou , tant pas oublier que quelques années aupa- ravant ( 1677 ) , dans l'Épître à M. de Lamoignon , le poëte avait fait une descrip- tion ...
... sentiment naïf et vrai de la nature et de la campagne 1 . 1 Afin d'être juste , il ne faut pou , tant pas oublier que quelques années aupa- ravant ( 1677 ) , dans l'Épître à M. de Lamoignon , le poëte avait fait une descrip- tion ...
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... sentiment des malheurs publics . Boileau , depuis la mort de Racine , ne remit pas les pieds à Versailles ; il jugeait tristement les cho- ses et les hommes ; et même , en matière de goût , la déca- dence lui paraissait si rapide , qu ...
... sentiment des malheurs publics . Boileau , depuis la mort de Racine , ne remit pas les pieds à Versailles ; il jugeait tristement les cho- ses et les hommes ; et même , en matière de goût , la déca- dence lui paraissait si rapide , qu ...
Page 15
... sentiment d'équité littéraire à une sorte d'attendrissement moral et de rayonnement lumineux , comme dans son Épître à Racine 2. Celui - ci représente très - bien le côté tendre et passionné de Louis XIV et de sa cour ; Boileau en ...
... sentiment d'équité littéraire à une sorte d'attendrissement moral et de rayonnement lumineux , comme dans son Épître à Racine 2. Celui - ci représente très - bien le côté tendre et passionné de Louis XIV et de sa cour ; Boileau en ...
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... sentiments ni de leurs pro- pres affaires ; les biographes s'étaient imaginé , je ne sais pourquoi , que l'histoire d'un écrivain était tout entière dans ses écrits , et leur critique superficielle ne poussait pas jus- qu'à l'homme au ...
... sentiments ni de leurs pro- pres affaires ; les biographes s'étaient imaginé , je ne sais pourquoi , que l'histoire d'un écrivain était tout entière dans ses écrits , et leur critique superficielle ne poussait pas jus- qu'à l'homme au ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 135 - J-ai vu mes tristes journées Décliner vers leur penchant; Au midi de mes années Je touchais à mon couchant. La Mort déployant ses ailes Couvrait d-ombres éternelles La clarté dont je jouis , Et dans cette nuit funeste Je cherchais en vain le reste De mes jours évanouis. Grand Dieu ,*votre main réclame Les dons que j'en ai reçus ; Elle vient couper la trame Des jours qu'elle m'a tissus...
Page 403 - Il ya des lieux que l'on admire; il y en a d'autres qui touchent, et où l'on aimerait à vivre. Il me semble que l'on dépend des lieux pour l'esprit , l'humeur , la passion , le goût , et les sentiments.
Page 193 - Sous votre aimable tête, un cou blanc, délicat, Se plie, et de la neige effacerait l'éclat.
Page 84 - Dieux ! que ne suis-je assise à l'ombre des forêts ! Quand pourrai-je, au travers d'une noble poussière. Suivre de l'œil un char fuyant dans la carrière?
Page 74 - C'est pourquoi vous devez vous attendre que je ne » vous en parlerai plus du tout. On m'a dit : Soyez » aveugle. Si je ne puis l'être tout à fait, il faut du moins )> que je sois muet; car, voyez-vous, il faut être régulier » avec les réguliers, comme j'ai été loup avec vous et » avec les autres loups vos compères.
Page 76 - Aristote, bien éloigné de nous demander des héros parfaits, veut au contraire que les personnages tragiques, c'est-à-dire ceux dont le malheur fait la catastrophe de la tragédie, ne soient ni tout à fait bons, ni tout à fait méchants.
Page 391 - Tout est dit : et l'on vient trop tard depuis plus de sept mille ans qu'il ya des hommes, et qui pensent.
Page 36 - Ils pourront sauver la gloire Des yeux qui me semblent doux, Et dans mille ans faire croire Ce qu'il me plaira de vous. Chez cette race nouvelle Où j'aurai quelque crédit, Vous ne passerez pour belle Qu'autant que je l'aurai dit. Pensez-y, belle Marquise: Quoiqu'un grison fasse effroi, II vaut bien qu'on le courtise, Quand il est fait comme moi.
Page 121 - Ce n'est point une nécessité qu'il y ait du sang et des morts dans une tragédie : il suffit que l'action en soit grande, que les acteurs en soient héroïques, que les passions en soient excitées, et que tout s'y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie.
Page 245 - ... la liberté du mâle et de la femelle, en les enchaînant pour jamais l'un à l'autre ; qu'une fidélité qui borne la plus capricieuse des jouissances à un même individu ; qu'un serment d'immutabilité de deux êtres de chair, à la face d'un ciel qui n'est pas un instant le même, sous des antres qui menacent ruine ; au bas d'une roche qui tombe en poudre ; au pied d'un arbre qui se gerce ; sur une pierre qui s'ébranle ? Crois-moi, vous avez rendu la condition de l'homme pire que celle de...