Il est constant, et tout le monde le sait par expérience, que lorsque nous voulons penser à quelque chose en particulier, nous jetons d'abord la vue sur tous les êtres, et nous nous appliquons ensuite à la considération de l'objet auquel nous souhaitons... OEuvres de Malebranche - Page 251by Nicolas Malebranche - 1842Full view - About this book
| Johann Gottlieb Gerhard Buhle - Philosophy - 1816 - 612 pages
...jetons d'abord la vue sur tous les êtres , et que nous nous appliquons ensuite à la considération de l'objet auquel nous souhaitons de penser. Or il est...ne saurions désirer de voir un objet particulier, à moins que nous ne le voyions déjà , quoique confusément et en général, de sorte que, pouvant... | |
| John Locke - 1825 - 436 pages
...nous ne le voyions déja, quoique confusément « et en général ; de sorte que , pouvant désirer « voir tous les êtres, tantôt l'un, tantôt l'autre,...présents à « notre esprit, et il semble que tous les êtres ne « puissent être présents à notre esprit , que parce « que Dieu lui est présent,... | |
| John Locke - 1825 - 422 pages
...intéresserait ; en quoi cela mène-t-il à conclure que, « pouvant désirer « de voir tous les êtres , il est certain que tous « les êtres sont présents à notre esprit ? » Ce mot présent signifie que nous les voyons, ou bien il ne signifie rien du tout. Ils sont tous... | |
| Nicolas Malebranche - 1842 - 640 pages
...jetons d'ubord la vue sur tous les êtres, et nous nous appliquons ensuite à la considération de l'objet auquel nous souhaitons de penser. Or il est indubitable que nous ne sau- . rions désirer de voir un objet particulier, que nous 'ne le voyions dcji'i, quoique confusément... | |
| Jules Simon - 1845 - 618 pages
...jetons d'abord la vue sur tous les êtres, et nous nous appliquons ensuite à la considération de l'objet auquel nous souhaitons de penser. Or, il est...nous ne le voyions déjà , quoique confusément, en général. De sorte que pouvant désirer de voir tous les êtres, tantôt l'un et tantôt l'autre,... | |
| Jules Simon - Alexandrian school - 1845 - 614 pages
...nous jetons d'abord la vue sur tous les cires, et nous nous appliquons ensuite à la considération de l'objet auquel nous souhaitons de penser. Or, il est...particulier que nous ne le voyions déjà , quoique confuséinont, en général. De sorte que pouvant désirer de voir tous les êtres, tantôt l'un et... | |
| Jules Simon - Alexandrian school - 1845 - 616 pages
...confusément, en général. De sorte que pouvant désirer de voir tous les êtres, tantôt l'un et tantôt l'autre, il est certain que tous les êtres...sont présents à notre esprit, et il semble que tous IcsOtres ne puissent être préscnlsà notre esprit que parce que Dieu lui est présent, c'est-à-dire... | |
| Jules Simon - Alexandrian school - 1845 - 620 pages
...d'abord la vue sur tous les êtres, et nous nous appliquons ensuite à la considération de l'ubjct auquel nous souhaitons de penser. Or, il est indubitable que nous ne saurions desirer de voir un o|>jel particulier (pie nous ne le voyions déjè , quoique confusément, en généra1.... | |
| Eugène Forcade - 1846 - 752 pages
...êtres, et nous nous appliquons » ensuite à la considération de l'objet auquel nous soubaitons » de penser. Or il est indubitable que nous ne saurions...nous ne le voyions déjà, quoique » confusément en général ; de sorte que, pouvant désirer de voir » tous les êtres, tantôt l'un, tantôt l'autre,... | |
| Philibert Damiron - Philosophy - 1846 - 848 pages
...puissance. Mais nous avons encore cl'autres raisons pour croire que nous voyons tout en Dieu. Ainsi il est indubitable que nous ne saurions désirer de...que nous ne le voyions déjà quoique confusément en général.... de sorte que tous les êtres sont présents à notre esprit, et ils ne peuvent lui... | |
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