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Rab.: Si commençarent courir, s'enquerir, informer par quel moyen... (IV, Prlg II). — Die verneinenden Partikeln ne

ni, point

ne, ni ni, ne

ni stehen bei Rab. nebeneinander; ne (nec) findet sich auch in der alten Sprache (vgl. Ly. 2784 ff.). Ne plus ne moins que Philemon, voyant ung asne qui mangeoit des figues qui estoyent apprestees pour le disner, mourut de force de rire (I, 20); rien ne leur feut ne trop chauld ne trop pesant (I, 27); en icelluy fent ladicte genealogie trouvee, escripte au long de lettres cancellaresques, non en papier, non en parchemin, non en cere, mais en escorce d'ulmeau (1, 1); lequel offre Gargantua ne refusa, ny accepta du tout (I, 47); a boyre n'avoit point fin ni canon (I, 21); les fouaciers davant boyre ny manger se transportarent au capitol (I, 32); car il n'estoyt arbre sus terre qui eust ny feuille ny fleur (II, 2). — Nach sans und jamais steht gew. wie jetzt die verneinende Partikel: sans mal penser ni mal dire (I, 21); de son baston de la croix donna brusquement sur les ennemys qui sans ordre ne enseigne, ne trompette, ne taborin parmy les cloz vendangeoyent (I, 27); je proteste, je jure devant toy, ainsi me soys tu favorable, si jamais a luy deplaisir ne a ses gens dommaige, ne a ses terres je feis pillerie (I, 27). Daneben: Adoncques sans ordre et mesure prindrent les champs gastans tout par ou ilz passoyent, sans espargner ny paovre ny riche, ny lieu sacré ny prophane (I, 26); et vous prye me faire ce bien de croyre que jamais homme n'eut en femme et en chevaulx heur tel que m'est predestiné. — Als adversative Conjunction steht noch ains (von ante mit angefügtem adverbialen s). Es stand in der alten Sprache als Adv. und als Conj.:

Mes ainz fu la novele dite

Au chastel, que il i venissent (3292);

Et dex le vos doint trover sain,

S'il li plest ainz hui, que demain (ibd. 4993).

Rab.: Comme dist Platon, livr V. de rep., vouloyt estre non guerre nommé ains sedition quand les Grecs mouroyent armez les ungs contre les aultres (I, 46); non pour soy seullement, ains de leurs propres personnes (III, 2); qu'il estoyt content de jamais ne retourner a ses gens, ains plus tost combatre avec Pantagruel contre eulx (II, 28); quoy Pantagruel ne voulut consentir, ains luy commanda qu'il partist (ibd.); les diables ne rendirent rien, ains, au contraire, les paysans se mocquoyent d'eulx (IV, 46). Vgl.: Si la tuviera, ántes la

pusiera en mi estómago que en la celada (Don Qjt. II, 17). — Für Folgerung und Schluss dienen noch parquoy and pourtant (c'est pourquoi, partant): parquoy craignant Gargantua qu'il se guatast, feit faire quatre grosses chaines pour le lier (II, 4); mais cependant le moyne avoyt occupé le passaige, par quoy se meirent en fuyte sans ordre ny maintien (II, 48). Par nos sainctes decretales nous est commandé visiter premier les ecclises que les cabarets. Pourtant ne declinant de ceste belle institution allons a l'ecclise, apres irons bancqueter (IV, 49; vgl. III, 1, III, 19, III, 23, IV, 42 etc.).

VIII.

Frage und Wortstellung.

a) Die Erweiterung des Subjects zum ganzen Satz bei der Frage findet sich schon in der alten Sprache:

Dex, fet ele, que voi ge la?

Qui est, qui se demante si? (Ly. 3562).

Rab. Mais qui est ce, en conscience, qui ha establi, confirmé, autorisé ces belles religions? (IV, 53). Ebenso wie jetzt die Vertretung durch das Personale: Panurge, se doibt il marier ou non? (III, 35). Bei negativer Frage genügt meist entweder ne oder pas: Sçays tu pas bien que la fin du monde approche? (III, 26). La nuict n'est elle funeste triste et melancholieuse, la clairte n'esjouyt elle toute nature? (I, 10); Bacchus ne feut il pas engendré par la cuisse de Jupiter? Rocquetaillade nasquit il pas du talon de sa mere? Crocquemouche de la pantoufle de sa nourrice? Minerve nasquit elle pas du cerveau par l'aureille de Jupiter? (I, 6). Wie in späterer Zeit (Molière), so findet sich auch bei Rab. noch comme für comment in der indirecten Frage: Epistemon luy demanda comme s'appeloyent ces rochiers et vallees estranges (V, 16). Ein zweites si wird durch que vertreten: Vous voyrez comment il visita les regions de la lune pour sçavoir si, a la veríte, la lune n'estoyt entiere et que les femmes en avoyent troys quartiers en la teste (II, 34). Für d'où steht noch dont in seiner ursp. Bedeutung: Dond vient cela? (I, 27); mon amy? d'ond vous viennent ces pigeons icy? (II, 32). D'ont viens tu? (Path. 862). b) Was die Stellung der einzelnen Redeteile und Satzglieder anlangt, so ist Beschränkung in der Behandlung hier um so mehr erlaubt

und ratsam, als jeder Satz des Schriftstellers als Beispiel hierzu steht, und als er selbst unmittelbar einen viel genaueren Einblick in die Abweichungen und Freiheiten seiner eigenen Rede und derjenigen seiner Zeit gibt, als es einzelne Regeln und abgelöste Beispiele zu tun vermögen. Zuerst über die Stellung einzelner Redeteile sei bemerkt, dass das Adjectiv vom zugehörigen Hauptwort getrennt vorkommt: pour leur symbole et enseigne ont la fleur plus que aultre chose blanche (I, 16); vous ne pouvez a heure venir plus oportune (IV, 12). Adverbien des Grades sah man schon beim Artikel hinter das Nomen gestellt; hier sei im Allg. noch zugefügt: Car par l'aer et tout le ciel est son nom et bruit jusques a present resté memorable et celebre assez (III, Prlg); n'en eussiez donné ung coupeau d'oignon, tant aid il estoyt de corps (I, Prlg); la clairte est blanche plus que chose que soit (I, 10); tu as raison plus que d'eage (I, 13). So ist auch die Stellung des Adj. beim Zw. wechselnd: qui trop toust voulant riche devenir (IV, 7); lequel par accident estoyt sourd devenu (III, 9) je y ay esté, facile me sera le prouver (IV, 11). Einige unbest. Pronomina stehen gegen den jetzigen Gebrauch auch nach dem Hauptwort: pour sçavoir si embusche aulcune estoyt par la contree (I, 26, vgl. tel III, 9). Das Prtcp Prät. kann vor dem Hilfszeitwort stehen: si par cas tinnboys malade, traité ne seroys qu'au rebours (III, 9). Desgl. der Inf. bei dem vorangesetzten Objecte: les baleines et monstres marines sortir il faict du bas abysme (IV, 57).

Wie in der alten Sprache tritt das Prädicat häufig vor das Subject: soubdain arrivarent a grande force les chevaliers (II, 25); par cestroys motz decidoyt toutes controverses, et estoyent les jours dicts malheureux et nefastes, esquelz le preteur ne usoit de ces troys motz IV, Prig I) etc. Das letzte Beispiel zeigt zugleich, dass das Subject sich auch zwischen die beiden Glieder einer zusammengesetzten Zeit stellt. Vgl. Lorsque feurent par la proesse et industrie de Thrasibulus les tyrans exterminez (III, 1).. Das directe Object steht sehr häufig vor dem Subject oder wenigstens dem Verbum: Iceulx fuyez, abhorrissez et hayssez aultant que je foys (II, 34); le sommaire de sa proposition je reduis en troys motz, lesquelz sont de grande importance. Car je n'esperoys aulcun veoir de vos domesticques, ne de Vos nouvelles ouyr (IV, 4); pour pain trouver et guarder (IV, 61); pour icelluy alimenter (I, 7); c'est de moy que fault conseil prendre (III, 1); voulant sa premiere puissance maintenir et sa premiere do

mination contenir (III, 8); par icelluy sera continuellement Dieu prie vous donner bonne, longue et heureux vie, craignant sa debte perdre, tousjours bien de vous dira, tousjours nouveaulx crediteurs vous acquestera, affin que par eulx vous faciez versure, et de terre d'aultruy rem plissez son fossé (III, 3). Nicht geringer ist die Freiheit in der Stellung präpositionaler Satzglieder, wie das letzte Beispiel schon zeigt. In der neueren Sprache gehört die Stellung des Genitivs vor dem regierenden Subst. der Poesie an: Et feut des testes coupees le nombre egual et correspondant aux coingnees perdues (IV, Prlg II). — Pour a son hostile venue resister et leur ville deffendre (III, Prlg); cestuy exemple me faict entre espoir et crainte varier (ibd.); et n'est par moy telle interpolation sans raison faicte et experience notable (III, 42); & la numerosite des crediteurs, si vous estimez la perfection des debteurs, vous ne errerez en arithmeticque praticque (III, 3).

Darmstadt.

Dr. L. Schäffer.

Sitzungen der Berliner Gesellschaft

für das Studium der neueren Sprachen.

Shakspeare Illustrated by The Lex Scripta.
(Continued.)

,And be it further enacted, That it shall be lawful to the said eight rulers for the time being, and their successors from time to time, to convent and call before them,

[blocks in formation]

Well, he in time may come to clear himself;
But at this instant he is sick, my lord,
Of a strange fever: Upon his mere request,
(Being come to knowledge that there was complaint
Inten ded 'gainst lord Angelo,) came I hither,
To speak, as from his mouth, what he doth know
Is true, and false; and what he with his oath,
Ard all probation, will make up full clear,
Whensoever he's convented.

Measure For Measure Act 5 Scene 1.
Gardiner.

Yes, yes, Sir Thomas,

There are, that dare; and I myself have ventured
To speak my mind of him: and indeed, this day,
Sir, I may tell it you,) I think I have

Incensed the lords o' th' council, that he is

Archiv f. n. Sprachen. XXXIV.

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