Leçons et modèles de littérature française: ou, Choix de morceaux en prose et en vers tirés des meilleurs écrivains du XVIIe et du XVIIIe siècle |
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... , sans leur donner un double . ( Entre M. Dimanche . ) Don Juan . Ah ! monsieur Dimanche , approchez . Que je suis ravi de vous voir ! et que je veux de mal à mes gens de ne vous pas faire entrer d'abord ! J'avais donné MOLIÈRE . 21.
... , sans leur donner un double . ( Entre M. Dimanche . ) Don Juan . Ah ! monsieur Dimanche , approchez . Que je suis ravi de vous voir ! et que je veux de mal à mes gens de ne vous pas faire entrer d'abord ! J'avais donné MOLIÈRE . 21.
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... donné ordre qu'on ne me fît parler à personne ; mais cet ordre n'est pas pour vous , et vous êtes en droit de ne jamais trouver de porte fermée chez moi . M. Dimanche . Monsieur , je vous suis fort obligé . Don Juan , parlant à ses ...
... donné ordre qu'on ne me fît parler à personne ; mais cet ordre n'est pas pour vous , et vous êtes en droit de ne jamais trouver de porte fermée chez moi . M. Dimanche . Monsieur , je vous suis fort obligé . Don Juan , parlant à ses ...
Page 25
... donne un peu . M. Tomès . Il faut avouer que j'ai une mule admirable pour cela , et qu'on a peine à croire le chemin que je lui fais faire tous les jours . M. Desfonandrès . J'ai un cheval merveilleux , et c'est un animal infatigable ...
... donne un peu . M. Tomès . Il faut avouer que j'ai une mule admirable pour cela , et qu'on a peine à croire le chemin que je lui fais faire tous les jours . M. Desfonandrès . J'ai un cheval merveilleux , et c'est un animal infatigable ...
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... donne en trois . Jetez - vous votre langue aux chiens ? Hé bien ! il faut donc vous la dire : M. de Lauzun épouse dimanche , au Louvre , devinez qui ? Je vous le donne en quatre , je vous le donne en dix , je vous le donne en cent ...
... donne en trois . Jetez - vous votre langue aux chiens ? Hé bien ! il faut donc vous la dire : M. de Lauzun épouse dimanche , au Louvre , devinez qui ? Je vous le donne en quatre , je vous le donne en dix , je vous le donne en cent ...
Page 34
... donné le surnom de l'Aigle de Meaux . Bossuet mourut à Paris le 12 avril 1704 , dans sa soixante - dix - septième année . LE CHEVAL DOMPTÉ . Voyez ce cheval ardent et impétueux , pendant que son écuyer le conduit et le dompte ; que de ...
... donné le surnom de l'Aigle de Meaux . Bossuet mourut à Paris le 12 avril 1704 , dans sa soixante - dix - septième année . LE CHEVAL DOMPTÉ . Voyez ce cheval ardent et impétueux , pendant que son écuyer le conduit et le dompte ; que de ...
Contents
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Common terms and phrases
âme assez avez beau Biscotin Bossuet bras brillant Brisquet bruit Bug-Jargal c'était carrière cent chien chose ciel cœur CORMENIN Corneille cour Démétrius Desfonandrès devant Dieu Dimanche dire discours dit-il Don Juan écrivain éloquence enfin Érostrate Fénelon force fortune gardes-françaises génie gloire goût guerre Hacker Henri IV heureux Hippocrate Histoire naturelle hommes humain j'ai J'ÉTAIS RICHE jamais jeune jour l'Académie française l'esprit l'histoire l'homme laisser lettres Louis XIV Mably madame de Sévigné main maison maître malheureux Massillon membre de l'Académie ment mille MIRABEAU mœurs Molière monde Monsieur Montesquieu monuments mort mourut naquit noble ouvrage parler parole passer pauvre pensée père peuple philosophie place plaisir pleure poète porte pouvait presque prince qu'un Racine réputation reste révolution rien Roche-Bernard sais savait science Seigneur semble sentiment sera seul Sganarelle siècle soldats sort style sublime succès talent terre tête THOMAS BECKET tion TRISSOTIN trouve VADIUS Vatel victoire voilà voix Yago yeux
Popular passages
Page 29 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser; une vapeur, une goutte d'eau suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 31 - Mademoiselle, cousine germaine du roi ; Mademoiselle, destinée au trône ; Mademoiselle, le seul parti de France qui fût digne de MONSIEUR. Voilà un beau sujet de discourir. Si vous criez, si vous êtes hors de vousmême, si vous dites que nous avons menti, que cela est faux, qu'on se moque de vous, que voilà une belle raillerie, que cela est bien fade à imaginer; si enfin vous nous dites des injures, nous trouverons que vous avez raison ; nous en avons fait autant que vous. Adieu ; les lettres...
Page 249 - N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre; C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer. En vain pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux. Ce qu'ils peuvent n'est rien; ils sont comme nous sommes, Véritablement hommes, Et meurent comme...
Page 267 - Vous avez bien sujet d'accuser la nature : Un roitelet pour vous est un pesant fardeau. Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 39 - Agréez ces derniers efforts d'une voix qui vous fut connue, vous mettrez fin à tous ces discours. AU lieu de déplorer la mort des autres, grand prince, dorénavant je veux apprendre de vous à rendre la mienne sainte : heureux si, averti par ces cheveux blancs du compte que je dois rendre de mon administration, je réserve au troupeau que je dois nourrir de la parole de vie, les restes d'une voix qui tombe et d'une ardeur qui s'éteint., f • BOURDALOUE.
Page 279 - J'ai senti tout à coup un homicide acier, Que le traître en mon sein a plongé tout entier.
Page 260 - D'autant plus dangereux dans leur âpre colère, Qu'ils prennent contre nous des armes qu'on révère, Et que leur passion, dont on leur sait bon gré, Veut nous assassiner avec un fer sacré.
Page 133 - ... la récompense de ses services , le charme de ses peines et le prix de ses dangers ; il ne doit attendre sa moisson , sa destinée , la seule qui l'intéresse, la destinée de son nom, que du temps, ce juge incorruptible , qui fait justice à tous.
Page 117 - Parce que vous êtes un grand Seigneur, vous vous croyez un grand génie !... noblesse, fortune, un rang, des places; tout cela rend si fier ! Qu'avez- vous fait pour tant de biens ? vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus.
Page 268 - Eh bien ! manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché? Non, non : vous leur fîtes, seigneur. En les croquant, beaucoup d'honneur. Et quant au berger, l'on peut dire Qu'il était digne de tous maux, Etant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire.