| Jean-Jacques Rousseau, René Just Haüy - Botany - 1802 - 354 pages
...ni constant , ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs...baisser du soleil de l'heure de la retraite, je me trouvais si loin de l'île , que j'étais forcé de tra.vailler de toute ma force pour arriver avant... | |
| Ludwig Ideler - 1812 - 618 pages
...gré cent fois préférables à tout ce que j'avois trouvé de plus doux dans - ce qu'on appelle le» plaisirs de la vie. Souvent .averti par le baisser du soleil de l'heure de ma retraite je me trouvois si loin de l'isle que j'étois forcé de travailler de toute ma force pour... | |
| Archibald Alison - Aesthetics - 1812 - 442 pages
...constant, ne laissoient " pas d'etre a mon gr6 cent fois preferables a. tout ce " que j'avois trouv6 de plus doux dans ce qu'on appelle " les plaisirs de la vie. " —Quand le soir approchoit, je descendois, des " cimes de 1'isle, et j'allois volontiers m'asseoir... | |
| Archibald Alison - Aesthetics - 1812 - 444 pages
...constant, ne laissoient " pas d'etre a mon gre cent fois preferables a tout ce " que j'avois trouve de plus doux dans ce qu'on appelle *' les plaisirs de la vie. " Quand le soir approchoit, je descendois, des " cimes de 1'isle, et j'allois volontiers m'asseoir... | |
| Archibald Alison - Aesthetics - 1815 - 884 pages
...vers " le ciel, je nie laissois aller et dériver len" tement au gré de l'eau, quelquefois pen** dant plusieurs heures, plongé dans mille " rêveries confuses,...doux dans ce qu'on " appelle les plaisirs de la vie. " Quand le soir approchoit, je des" cendois des cimes de J'isle, et j'allois vo" lontiers m'asseoir... | |
| Christian Ludwig Ideler - History - 1818 - 636 pages
...lac quand l'eau étoit calme, et là, m'étenda,nt tout de mon long dans le bateau les yeux toume's vers le ciel, je me laissois aller et dériver lentement...Souvent averti par le baisser du soleil de l'heure de ma retraite je me trquvois si *) Behanntlich der Titel einet Werfa. tlju berùhmten. Nacurhistorikers... | |
| Archibald Alison - Aesthetics - 1821 - 466 pages
...bateau, les yeux tournés vers le ciel, " je me laissois aller et dériver lentement au gré de l 'eau, " quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans...doux dans ce qu'on " appelle les plaisirs de la vie. • " Quand le soir approehoit, je deseendois, des " cimes de l'isle, et j'allois volontiers m'asseoir... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 522 pages
...déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs...baisser du soleil de l'heure de la retraite, je me trouvais si loin de l'île, que j'étais forcé de travailler de toute ma force pour arriver avant... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1825 - 374 pages
...déterminé ni constant, ne laissoient pas d'être à mon gré cent fois préférap11. |5 LES RÊVEHTES. bles à tout ce que j'avois trouvé de plus doux dans ce...de travailler de toute ma force pour arriver avant nuit close. D'autres fois, au lieu de m'écarter en pleine eau, je me plaisois à cotoyer les verdoyantes... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1827 - 422 pages
...seul dans un bateau que je conduisois au milieu du lac quand l'eau étoit calme; et là, m'amendant tout de mon long dans le bateau, les yeux tournés...j'étois forcé de travailler de toute ma force pour an river avant la nuit close. D'autres fois , au lieu de m'écarter en pleine eau , je me plaisois... | |
| |