| Jean-Jacques Rousseau - 1793 - 332 pages
...l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature , je me serais senti dans une situation, moins délicieuse , que cette étourdissante extase à laquelle mon esprit te livrait sans retenue, et qui , dans l'agitation de mes tramports , me fcsait écrier quelquefois... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 732 pages
...l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature, je me serais senti dans une situation moins délicieuse que cette étourdissante...transports, me faisoit écrier quelquefois, O grand Être ! ô grand Etre ! sans pouvoir dire , ni penser rien de plu*. Ainsi s'écouloientdansun délire... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 394 pages
...l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature , je me serois senti dans une situation moins délicieuse que cette étourdissante...transports, me faisoit écrier quelquefois, O grand Être! ô grand Être! sans pouvoir dire ni penser rien de plus. Ainsi s'écouloient dans un délire... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 522 pages
...l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature, je me serais senti dans une situation moins délicieuse que cette étourdissante extase à laquelle mon esprit se livrait sans retenue , et qui, dans l'agitation de mes transports, me faisait écrier quelquefois ,... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1827 - 414 pages
...l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature , je me serois senti dans une situation moins délicieuse que cette étourdissante...transports, me faisoit écrier quelquefois, O grand Être! ô grand Être! sans pouvoir dire, ni penser rien de plus. Ainsi s'écouloient dans un délire... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1827 - 422 pages
...l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature , je me serois senti dans une situation moins délicieuse que cette étourdissante...transports, me faisoit écrier quelquefois , O grand Être! ô grand Être! sans pouvoir dire, ni. penser rien de plus. Ainsi s'écouloient dans un délire... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1827 - 424 pages
...que si j.'eusse dévoilé tous les mystères de la nature, je me serois senti dans une si-; tuation moins délicieuse que cette étourdissante extase...de mes transports, me faisoit écrier quelquefois, 0 grand Être ! ô grand Être ! sans / pouvoir dire, ni penser rien de plus. Ainsi s'écouloient dans... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 470 pages
...l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature , je me serois senti dans une situation moins délicieuse que cette étourdissante..., dans l'agitation de mes transports , me faisoit crier quelquefois : 0 grand Être ! ô grand Être ! sans pouvoir dire ni penser rien de plus . Ainsi... | |
| French periodicals - 1830 - 634 pages
...livrait sans retenue, et qui, dans l'agitation de mes transports, me faisait écrier quelquefois: « 0 grand Etre! ô grand Être ! » sans pouvoir dire ni penser rien de plus. Tout le vague de la rêverie est empreint daps cette lettre; mais pourtant quelle vivacité! quelle... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1060 pages
...iiiiiiii. Je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature, je me serais senti dans une situation moins délicieuse que cette étourdissante extase à laquelle mon esprit se livrait sans retenue, et quij dans l'agitation de mes transports, me faisait écrier quelquefois :... | |
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