Bibliothèque universelle de GenèveJoel Cherbuliez, 1852 |
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... parler de celles qui se superpo sait à l'explication familière des Ecritures saintes : de la légende , des vies et des miracles des saints . M. Guizot a expliqué l'abondance de ces écrits légen- daires en supposant , chez les peuples ...
... parler de celles qui se superpo sait à l'explication familière des Ecritures saintes : de la légende , des vies et des miracles des saints . M. Guizot a expliqué l'abondance de ces écrits légen- daires en supposant , chez les peuples ...
Page 14
... parler ainsi , à coups de miracles , et afin de leur porter secours on mettait en campagne la milice céleste . » Peut - être l'explication donnée par M. Guérard est - elle , elle - même , encore trop subtile . La légende , ce nous sem ...
... parler ainsi , à coups de miracles , et afin de leur porter secours on mettait en campagne la milice céleste . » Peut - être l'explication donnée par M. Guérard est - elle , elle - même , encore trop subtile . La légende , ce nous sem ...
Page 28
... parler M. Sainte - Beuve sur ce point délicat ; « On a discuté sur la religion de Vauvenargues . Il me semble qu'à y regarder de bonne foi et sans prévention , on ne saurait pourtant s'y méprendre . Il n'y a nul doute que Vauvenargues ...
... parler M. Sainte - Beuve sur ce point délicat ; « On a discuté sur la religion de Vauvenargues . Il me semble qu'à y regarder de bonne foi et sans prévention , on ne saurait pourtant s'y méprendre . Il n'y a nul doute que Vauvenargues ...
Page 33
... parler . Et encore ailleurs , lorsqu'il dit : La conscience des mourants calomnie leur vie .... il est fort éloigné de prétendre qu'elle ne les accuse pas souvent avec justice . Mais il n'y a personne qui ne sache que toutes les ...
... parler . Et encore ailleurs , lorsqu'il dit : La conscience des mourants calomnie leur vie .... il est fort éloigné de prétendre qu'elle ne les accuse pas souvent avec justice . Mais il n'y a personne qui ne sache que toutes les ...
Page 51
... asseoir auprès de lui et causer , ne jouit d'aucun de ces avantages qui lui sont départis , tourmenté par l'ambition de grandir . Il entend parler des grands sa- pins qui traversent les mers , fièrement plantés sur un EN ALLEMAGNE , 51.
... asseoir auprès de lui et causer , ne jouit d'aucun de ces avantages qui lui sont départis , tourmenté par l'ambition de grandir . Il entend parler des grands sa- pins qui traversent les mers , fièrement plantés sur un EN ALLEMAGNE , 51.
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Common terms and phrases
aime âme assez Assouan avaient Babœuf Bâle Berber bientôt Bossuet C'était cantons capitaine Vivien catholiques cause chameaux charme Châteaubriand cher choses chrétien christianisme cœur Constant Dubos critique désert Dieu dire dit-elle Dongola doute enfants esprit eût femme fille Genève goût gouvernement Guizot Haldfast Henri Hervey heureux hommes humain Inès j'ai jamais Jean Journet jeune jour Khartoum l'âme l'auteur l'Eglise l'esprit l'état l'histoire l'homme laisser Laurence liberté Lilia Litt littéraire littérature livre Longin lord Louis lord Saint-Germain Lucerne Madame Guyon malheureux marquise Melly ment miss Thornhaugh mistress Vivien Mme Guyon monde morale n'en Nil Blanc Nil Bleu Nubie parler passé passions pensée personne peuple peut-être Philæ philosophie poésie poëte politique principe protestantisme raison religieux religion renferme reste révolution rien Sainte-Beuve saints scène semble sens sentiment serait seul siècle social société sorte souvent Suisse sylphide tion trouve Vauvenargues vérité Vinet voix Voltaire vrai Waldmeister yeux
Popular passages
Page 32 - Ce fut au printemps de 17-46 que fut publiée, sans nom d'auteur, l'Introduction à la Connaissance de l'Esprit humain, suivie de Réflexions et de Maximes.
Page 135 - Le plus sage et le plus courageux de tous les hommes, M. de Turenne, a respecté la religion, et une infinité d'hommes obscurs se placent au rang des génies et des âmes fortes, seulement à cause qu'ils la méprisent.
Page 135 - Newton, Pascal, Bossuet, Racine, Fénelon, c'est-à-dire les hommes de la terre les plus éclairés, dans le plus philosophe de tous les siècles, et dans la force de leur esprit et de leur âge, ont cru Jésus-Christ...
Page 133 - ... peut-être moins rudes, accablé d'afflictions dans la force de mon âge, ô mon Dieu ! Si vous n'étiez pas, ou si vous n'étiez pas pour moi, seule et délaissée dans ses maux, où mon âme espérerait-elle ? Serait-ce à la vie, qui m'échappe et me mène vers le tombeau par les détresses...
Page 128 - L'ouvrage de M. de Vauvenargues , imprimé après sa mort , • est intitulé : Introduction à la connaissance de l'esprit humain. « Les éditeurs , pour faire passer les maximes hardies qu'il • renferme, y ont joint une méditation et une prière trouvées dans • les papiers de l'auteur, qui , dans une dispute sur Bossuet avec • ses amis, avait soutenu qu'on pouvait parler de la religion avec « majesté et enthousiasme sans y croire. On le défia de le prou« ver, et c'est pour répondre...
Page 40 - Mais, continuai-je, éclairé par une nouvelle lumière, qu'est-ce que l'on ne trouve pas dans la connaissance de l'homme ? Les devoirs des hommes rassemblés en société, voilà la morale ; les intérêts réciproques de ces sociétés, voilà la politique ; leurs obligations envers Dieu, voilà la religion.
Page 132 - Dans tous les états de la vie, s'il nous fallait attendre nos consolations des hommes, dont les meilleurs sont si changeants et si frivoles, si sujets à négliger leurs amis dans la calamité, ô triste abandon! Dieu clément, Dieu vengeur des faibles, je ne suis ni ce pauvre délaissé qui languit sans secours humain, ni ce riche que la possession même des richesses trouble et embarrasse; né dans la médiocrité, dont les voies ne sont pas peut-être moins rudes, accablé d'afflictions dans...
Page 32 - J'ai laissé tomber un regard sur les dons enchanteurs du monde, et soudain vous m'avez quitté ; et l'ennui, les soucis, les remords, les douleurs, ont en foule inondé ma vie.
Page 133 - Né dans la médiocrité, dont les voies ne sont pas peut-être moins rudes, accablé d'afflictions dans la force de mon âge, ô mon Dieu! si vous n'étiez pas, ou si vous n'étiez pas pour moi, seule et délaissée dans ses maux, où mon âme espérerait-elle? Serait-ce à la vie, qui m'échappe et me mène vers le tombeau par les détresses?
Page 141 - ... avec elle-même et avec nos propres lumières : qui pourrait la rejeter ? Connaissons donc ici notre sujétion profonde ; que l'erreur, la superstition, se fondent à la lumière présente à nos yeux ; que leurs, ombres soient dissipées, qu'elles tombent, qu'elles s'effacent aux rayons de la vérité, comme des fantômes trompeurs ! Adorons la hauteur de Dieu, qui règne dans tous les esprits, comme il règne sur tous les corps ; déchirons le voile funeste qui cache à nos faibles regards...