Bibliothèque universelle de GenèveJoel Cherbuliez, 1852 |
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... aurait pu leur être nécessaire pour le gouverner . Aussi s'opposaient - ils de tous leurs efforts à l'envahissement des ténèbres qui menaçaient de couvrir toute la chrétienté . Cependant le sacerdoce ne devait pas conserver tou- jours ...
... aurait pu leur être nécessaire pour le gouverner . Aussi s'opposaient - ils de tous leurs efforts à l'envahissement des ténèbres qui menaçaient de couvrir toute la chrétienté . Cependant le sacerdoce ne devait pas conserver tou- jours ...
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... a été abolie , on a cessé d'y cou- rir pour y recevoir le présent de la liberté . Depuis l'insti- tution des notaires civils on n'a plus eu besoin , pour passer un acte , de convoquer le peuple sous les saints portiques . Depuis la ...
... a été abolie , on a cessé d'y cou- rir pour y recevoir le présent de la liberté . Depuis l'insti- tution des notaires civils on n'a plus eu besoin , pour passer un acte , de convoquer le peuple sous les saints portiques . Depuis la ...
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les rétablir dans un autre ouvrage , où leur genre n'aurait point été déplacé . Mais la mort qui vient de l'enlever ... a écrite à une époque où la maladie l'avait déjà atteint , et où toutes ses espérances étaient brisées : « O Dieu ...
les rétablir dans un autre ouvrage , où leur genre n'aurait point été déplacé . Mais la mort qui vient de l'enlever ... a écrite à une époque où la maladie l'avait déjà atteint , et où toutes ses espérances étaient brisées : « O Dieu ...
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... a - t - il soin de s'en expliquer dans un avertissement spécial qui précède les Réflexions et Maximes : < Comme il y a des gens qui ne lisent que pour trouver des erreurs dans un écrivain , j'avertis ceux qui liront ces Réflexions que s ...
... a - t - il soin de s'en expliquer dans un avertissement spécial qui précède les Réflexions et Maximes : < Comme il y a des gens qui ne lisent que pour trouver des erreurs dans un écrivain , j'avertis ceux qui liront ces Réflexions que s ...
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... aurait fait , qu'aurait dit Vau- venargues ? Il y a fort à rêver là - dessus . La ligue moyenne des Turgot et des Malesherbes eût été sans doute la sienne ; mais il est à croire que , généreux et franc comme il était , il eût rompu en ...
... aurait fait , qu'aurait dit Vau- venargues ? Il y a fort à rêver là - dessus . La ligue moyenne des Turgot et des Malesherbes eût été sans doute la sienne ; mais il est à croire que , généreux et franc comme il était , il eût rompu en ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 32 - Ce fut au printemps de 17-46 que fut publiée, sans nom d'auteur, l'Introduction à la Connaissance de l'Esprit humain, suivie de Réflexions et de Maximes.
Page 135 - Le plus sage et le plus courageux de tous les hommes, M. de Turenne, a respecté la religion, et une infinité d'hommes obscurs se placent au rang des génies et des âmes fortes, seulement à cause qu'ils la méprisent.
Page 135 - Newton, Pascal, Bossuet, Racine, Fénelon, c'est-à-dire les hommes de la terre les plus éclairés, dans le plus philosophe de tous les siècles, et dans la force de leur esprit et de leur âge, ont cru Jésus-Christ...
Page 133 - ... peut-être moins rudes, accablé d'afflictions dans la force de mon âge, ô mon Dieu ! Si vous n'étiez pas, ou si vous n'étiez pas pour moi, seule et délaissée dans ses maux, où mon âme espérerait-elle ? Serait-ce à la vie, qui m'échappe et me mène vers le tombeau par les détresses...
Page 128 - L'ouvrage de M. de Vauvenargues , imprimé après sa mort , • est intitulé : Introduction à la connaissance de l'esprit humain. « Les éditeurs , pour faire passer les maximes hardies qu'il • renferme, y ont joint une méditation et une prière trouvées dans • les papiers de l'auteur, qui , dans une dispute sur Bossuet avec • ses amis, avait soutenu qu'on pouvait parler de la religion avec « majesté et enthousiasme sans y croire. On le défia de le prou« ver, et c'est pour répondre...
Page 40 - Mais, continuai-je, éclairé par une nouvelle lumière, qu'est-ce que l'on ne trouve pas dans la connaissance de l'homme ? Les devoirs des hommes rassemblés en société, voilà la morale ; les intérêts réciproques de ces sociétés, voilà la politique ; leurs obligations envers Dieu, voilà la religion.
Page 132 - Dans tous les états de la vie, s'il nous fallait attendre nos consolations des hommes, dont les meilleurs sont si changeants et si frivoles, si sujets à négliger leurs amis dans la calamité, ô triste abandon! Dieu clément, Dieu vengeur des faibles, je ne suis ni ce pauvre délaissé qui languit sans secours humain, ni ce riche que la possession même des richesses trouble et embarrasse; né dans la médiocrité, dont les voies ne sont pas peut-être moins rudes, accablé d'afflictions dans...
Page 32 - J'ai laissé tomber un regard sur les dons enchanteurs du monde, et soudain vous m'avez quitté ; et l'ennui, les soucis, les remords, les douleurs, ont en foule inondé ma vie.
Page 133 - Né dans la médiocrité, dont les voies ne sont pas peut-être moins rudes, accablé d'afflictions dans la force de mon âge, ô mon Dieu! si vous n'étiez pas, ou si vous n'étiez pas pour moi, seule et délaissée dans ses maux, où mon âme espérerait-elle? Serait-ce à la vie, qui m'échappe et me mène vers le tombeau par les détresses?
Page 141 - ... avec elle-même et avec nos propres lumières : qui pourrait la rejeter ? Connaissons donc ici notre sujétion profonde ; que l'erreur, la superstition, se fondent à la lumière présente à nos yeux ; que leurs, ombres soient dissipées, qu'elles tombent, qu'elles s'effacent aux rayons de la vérité, comme des fantômes trompeurs ! Adorons la hauteur de Dieu, qui règne dans tous les esprits, comme il règne sur tous les corps ; déchirons le voile funeste qui cache à nos faibles regards...