Bibliothèque universelle de GenèveJoel Cherbuliez, 1852 |
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... Vivien seul , obtiendrait la main de sa fille chérie . Henri était selon son cœur , un honnête , franc et noble jeune homme ; brave comme un lion , et le meilleur officier au service de Sa Majesté . Henri donc devait être son gendre ...
... Vivien seul , obtiendrait la main de sa fille chérie . Henri était selon son cœur , un honnête , franc et noble jeune homme ; brave comme un lion , et le meilleur officier au service de Sa Majesté . Henri donc devait être son gendre ...
Page 326
... Vivien eût travaillé toute sa vie pour l'entourer de magnificence , et il eût bravé les peines , les dangers , la mort , pour la préserver du plus léger chagrin . Miss Thornhaugh ne fut pas insensible à tant d'amour , et parut s ...
... Vivien eût travaillé toute sa vie pour l'entourer de magnificence , et il eût bravé les peines , les dangers , la mort , pour la préserver du plus léger chagrin . Miss Thornhaugh ne fut pas insensible à tant d'amour , et parut s ...
Page 327
... Vivien , que son affection pour sa fille semblait compara- tivement faible , et je suis certain que s'il l'eût surprise dans ses légers actes de tyrannie , quelque chérie qu'elle fût , il l'en eût fait repentir . Le capitaine vint un ...
... Vivien , que son affection pour sa fille semblait compara- tivement faible , et je suis certain que s'il l'eût surprise dans ses légers actes de tyrannie , quelque chérie qu'elle fût , il l'en eût fait repentir . Le capitaine vint un ...
Page 328
... Vivien , avec cet embarras qui naît de la timidité , lui pré- senta son ami qui paraissait calme , mais excessivement réservé . L'amiral accueillit son ami avec sa cordialité or- dinaire , tandis que moi je tisonnais tellement le feu ...
... Vivien , avec cet embarras qui naît de la timidité , lui pré- senta son ami qui paraissait calme , mais excessivement réservé . L'amiral accueillit son ami avec sa cordialité or- dinaire , tandis que moi je tisonnais tellement le feu ...
Page 329
... Vivien ; Hervey parut alors tout à fait choqué : à son tour , il répondit très - sèchement aux politesses insinuantes qu'elle lui adressa , et qui me semblaient irrésistibles . Le matin du jour suivant , M. Hervey se promena long- temps ...
... Vivien ; Hervey parut alors tout à fait choqué : à son tour , il répondit très - sèchement aux politesses insinuantes qu'elle lui adressa , et qui me semblaient irrésistibles . Le matin du jour suivant , M. Hervey se promena long- temps ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 32 - Ce fut au printemps de 17-46 que fut publiée, sans nom d'auteur, l'Introduction à la Connaissance de l'Esprit humain, suivie de Réflexions et de Maximes.
Page 135 - Le plus sage et le plus courageux de tous les hommes, M. de Turenne, a respecté la religion, et une infinité d'hommes obscurs se placent au rang des génies et des âmes fortes, seulement à cause qu'ils la méprisent.
Page 135 - Newton, Pascal, Bossuet, Racine, Fénelon, c'est-à-dire les hommes de la terre les plus éclairés, dans le plus philosophe de tous les siècles, et dans la force de leur esprit et de leur âge, ont cru Jésus-Christ...
Page 133 - ... peut-être moins rudes, accablé d'afflictions dans la force de mon âge, ô mon Dieu ! Si vous n'étiez pas, ou si vous n'étiez pas pour moi, seule et délaissée dans ses maux, où mon âme espérerait-elle ? Serait-ce à la vie, qui m'échappe et me mène vers le tombeau par les détresses...
Page 128 - L'ouvrage de M. de Vauvenargues , imprimé après sa mort , • est intitulé : Introduction à la connaissance de l'esprit humain. « Les éditeurs , pour faire passer les maximes hardies qu'il • renferme, y ont joint une méditation et une prière trouvées dans • les papiers de l'auteur, qui , dans une dispute sur Bossuet avec • ses amis, avait soutenu qu'on pouvait parler de la religion avec « majesté et enthousiasme sans y croire. On le défia de le prou« ver, et c'est pour répondre...
Page 40 - Mais, continuai-je, éclairé par une nouvelle lumière, qu'est-ce que l'on ne trouve pas dans la connaissance de l'homme ? Les devoirs des hommes rassemblés en société, voilà la morale ; les intérêts réciproques de ces sociétés, voilà la politique ; leurs obligations envers Dieu, voilà la religion.
Page 132 - Dans tous les états de la vie, s'il nous fallait attendre nos consolations des hommes, dont les meilleurs sont si changeants et si frivoles, si sujets à négliger leurs amis dans la calamité, ô triste abandon! Dieu clément, Dieu vengeur des faibles, je ne suis ni ce pauvre délaissé qui languit sans secours humain, ni ce riche que la possession même des richesses trouble et embarrasse; né dans la médiocrité, dont les voies ne sont pas peut-être moins rudes, accablé d'afflictions dans...
Page 32 - J'ai laissé tomber un regard sur les dons enchanteurs du monde, et soudain vous m'avez quitté ; et l'ennui, les soucis, les remords, les douleurs, ont en foule inondé ma vie.
Page 133 - Né dans la médiocrité, dont les voies ne sont pas peut-être moins rudes, accablé d'afflictions dans la force de mon âge, ô mon Dieu! si vous n'étiez pas, ou si vous n'étiez pas pour moi, seule et délaissée dans ses maux, où mon âme espérerait-elle? Serait-ce à la vie, qui m'échappe et me mène vers le tombeau par les détresses?
Page 141 - ... avec elle-même et avec nos propres lumières : qui pourrait la rejeter ? Connaissons donc ici notre sujétion profonde ; que l'erreur, la superstition, se fondent à la lumière présente à nos yeux ; que leurs, ombres soient dissipées, qu'elles tombent, qu'elles s'effacent aux rayons de la vérité, comme des fantômes trompeurs ! Adorons la hauteur de Dieu, qui règne dans tous les esprits, comme il règne sur tous les corps ; déchirons le voile funeste qui cache à nos faibles regards...