Prosateurs et poètes français, or selections from the best French authors: with an introduction of easy pieces, arranged in chronological order, from the age of Louis XIV. to the present day; with biographical sketchesLongmans, Green, and Company, 1862 - 544 pages |
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Page 24
... travers la ville , il était toujours vêtu d'une redingote grise , entièrement boutonnée sur la poitrine . Il portait un chapeau rond à larges bords . Impatient de voir le monument de la place Vendôme terminé , il voulut le visiter lui ...
... travers la ville , il était toujours vêtu d'une redingote grise , entièrement boutonnée sur la poitrine . Il portait un chapeau rond à larges bords . Impatient de voir le monument de la place Vendôme terminé , il voulut le visiter lui ...
Page 40
... travers des bois , avec sa cavalerie toute fraîche , Bek précipite sa marche pour tomber sur nos soldats épuisés ; le prince l'a prévenu , les bataillons enfoncés demandent quartier ; mais la victoire va devenir plus terrible pour le ...
... travers des bois , avec sa cavalerie toute fraîche , Bek précipite sa marche pour tomber sur nos soldats épuisés ; le prince l'a prévenu , les bataillons enfoncés demandent quartier ; mais la victoire va devenir plus terrible pour le ...
Page 51
... travers de leurs cœurs comme un torrent de la divinité même qui s'unit à eux ; ils voient , ils goûtent qu'ils sont heureux , et sentent qu'ils le seront toujours . Ils chantent les louanges des dieux , et une seule pensée , un seul ...
... travers de leurs cœurs comme un torrent de la divinité même qui s'unit à eux ; ils voient , ils goûtent qu'ils sont heureux , et sentent qu'ils le seront toujours . Ils chantent les louanges des dieux , et une seule pensée , un seul ...
Page 62
... travers moins de sept mille Suédois . Les soldats , en passant devant le roi , jetaient à terre leurs fusils et leurs épées , et les officiers portaient à ses pieds les enseignes et les drapeaux . Il fit repasser la rivière à toute ...
... travers moins de sept mille Suédois . Les soldats , en passant devant le roi , jetaient à terre leurs fusils et leurs épées , et les officiers portaient à ses pieds les enseignes et les drapeaux . Il fit repasser la rivière à toute ...
Page 71
... travers les fenêtres , presque à bout portant , sur cette multitude de Turcs , dont ils tuèrent deux cents en moins d'un demi - quart d'heure . Le canon tirait contre la maison ; mais les pierres étant fort molles , il ne faisait que ...
... travers les fenêtres , presque à bout portant , sur cette multitude de Turcs , dont ils tuèrent deux cents en moins d'un demi - quart d'heure . Le canon tirait contre la maison ; mais les pierres étant fort molles , il ne faisait que ...
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Prosateurs Et Poètes Français, Or Selections From The Best French Authors ... Leon Contanseau No preview available - 2017 |
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Common terms and phrases
ADDISCOMBE âme armée armes ATHALIE avaient avez barque Bataille des Pyramides beau bientôt bruit c'était camp canons chants Charles château cheval chose ciel cœur combat Contanseau côté coup devant Dieu dit-il ÉMILE DE GIRARDIN enfants ennemis Épaminondas êtes femme fille fils Flè flots foule French Fros garde gens Gesler glaces gloire Guillaume Harp HARPAGON heures hommes j'ai Jacq jamais janissaires jeune JOAD JOSABETH jour Jourd Jourdain Kremlin l'armée l'homme laisser LOUIS RACINE Louis XIV Louis XVI madame main maison maître maître à danser Marmatie ment mère milieu mille monde monsieur montagnes mort n'avait Napoléon neige Notice nuit officiers palais passer pauvre pensée père peuple phil pieds pont du Gard porte qu'un regards reste rien s'avance Saint sang semble sentiment seul siècle silence soldats soleil sortir speronare Spitzberg Suédois temple terre tête tombe tout-à-coup troupes trouve venait veux voilà voix work yeux
Popular passages
Page 484 - Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois. » A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie ; Et, pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Page 449 - JOURDAIN. Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien ' ; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Page 28 - Monsieur le maréchal, lisez, je vous prie, ce petit madrigal, et voyez si vous en avez jamais vu un si impertinent ; parce qu'on sait que depuis peu j'aime les vers, on m'en apporte de toutes les façons. » Le maréchal, après avoir lu, dit au roi : « Sire, Votre Majesté juge divinement bien de toutes choses ; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu.
Page 49 - Le jour n'y finit point , et la nuit , avec ses sombres voiles , y est inconnue ; une lumière pure et douce se répand autour des corps de ces hommes justes, et les environne de ses rayons comme d'un vêtement.
Page 85 - Alors, l'esprit perdu dans cette immensité, je ne pensais pas, je ne raisonnais pas, je ne philosophais pas: je me sentais, avec une sorte de volupté, accablé du poids de cet univers, je me livrais avec ravissement à la confusion de ces grandes idées, j'aimais à me perdre en imagination dans l'espace; mon cœur resserré dans les bornes des êtres s'y trouvait trop à l'étroit, j'étouffais dans l'univers, j'aurais voulu m'élancer dans l'infini.
Page 485 - Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. 'Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'août, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 471 - Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi; Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille » En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser ; Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chairs meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Page 474 - Dieu laissa-t-il jamais ses enfants au besoin ? Aux petits des oiseaux il donne leur pâture, Et sa bonté s'étend sur toute la nature.
Page 84 - Mon imagination ne laissait pas longtemps déserte la terre ainsi parée. Je la peuplais bientôt d'êtres selon mon cœur, et, chassant bien loin l'opinion, les préjugés, toutes les passions factices, je transportais dans les asiles de la nature des hommes dignes de les habiter. Je m'en formais une société charmante dont je ne nie sentais pas indigne, je me faisais un siècle d'or à ma fantaisie...
Page 449 - Non, monsieur. Tout ce qui n'est point prose est vers, et tout ce qui n'est point vers est prose.