Prosateurs et poètes français, or selections from the best French authors: with an introduction of easy pieces, arranged in chronological order, from the age of Louis XIV. to the present day; with biographical sketchesLongmans, Green, and Company, 1862 - 544 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 63
Page viii
... pauvre fille ..524 ... ... ib . .. 255 525 LAMARTINE , Notice ... ib . Le Combat ... ... ib . ..511 MILLEVOYE ... pauvres ib . ... ... 522 Lui ... ... ... ... 535 .. 537 INTRODUCTION . LE LOUP ET LE JEUNE MOUTON . DES viii TABLE DES ...
... pauvre fille ..524 ... ... ib . .. 255 525 LAMARTINE , Notice ... ib . Le Combat ... ... ib . ..511 MILLEVOYE ... pauvres ib . ... ... 522 Lui ... ... ... ... 535 .. 537 INTRODUCTION . LE LOUP ET LE JEUNE MOUTON . DES viii TABLE DES ...
Page 3
... pauvre demeure , et un rayon de lune venait expirer sur une image de la Vierge suspendue au mur . Et la jeune fille , levant les yeux , regardait en silence , pendant quelques moments , la femme à cheveux blancs ; puis elle lui dit ...
... pauvre demeure , et un rayon de lune venait expirer sur une image de la Vierge suspendue au mur . Et la jeune fille , levant les yeux , regardait en silence , pendant quelques moments , la femme à cheveux blancs ; puis elle lui dit ...
Page 8
... pauvre mère , tout en larmes , arrachant son fils au , sein de la nourrice , l'élevant en ce moment dans ses bras , et , à la lueur des éclairs , le présentait au chef du navire . Ah ! passagers et matelots , adoptaient l'enfant de la ...
... pauvre mère , tout en larmes , arrachant son fils au , sein de la nourrice , l'élevant en ce moment dans ses bras , et , à la lueur des éclairs , le présentait au chef du navire . Ah ! passagers et matelots , adoptaient l'enfant de la ...
Page 12
... pauvres oiseaux trouvent ici de quoi tapisser l'habitation qu'ils forment d'avance pour leurs petits . Ils se ... pauvre ses besoins . Veux - tu venir à présent le détruire ? " " Que le ciel nous en pré- serve ! " s'écria Armand ...
... pauvres oiseaux trouvent ici de quoi tapisser l'habitation qu'ils forment d'avance pour leurs petits . Ils se ... pauvre ses besoins . Veux - tu venir à présent le détruire ? " " Que le ciel nous en pré- serve ! " s'écria Armand ...
Page 13
... pauvre père se tut ; et , le cœur plein d'angoisse , il s'en retournait lentement chez lui , lorsqu'il rencontra l'autre voisin moins riche . Celui - ci , le voyant pensif et triste , lui dit : " Qu'avez- vous ? il y a des soucis sur ...
... pauvre père se tut ; et , le cœur plein d'angoisse , il s'en retournait lentement chez lui , lorsqu'il rencontra l'autre voisin moins riche . Celui - ci , le voyant pensif et triste , lui dit : " Qu'avez- vous ? il y a des soucis sur ...
Other editions - View all
Prosateurs Et Poètes Français, Or Selections From The Best French Authors ... Leon Contanseau No preview available - 2017 |
Prosateurs Et Poètes Français, Or Selections From The Best French Authors ... Leon Contanseau No preview available - 2017 |
Common terms and phrases
armée armes arrive avaient avant beau bientôt bord bruit c'était cent chants Charles château chercher cheval chose ciel cœur commença corps côté coup cour demande dernier devant Dieu dire disait dit-il donner enfants enfin ennemis faisait femme fille fils fond force forme foule frapper garde général gens Grecs Harp haut heures heureux hommes j'ai jette jeune jour Jourd jusqu'à l'autre l'homme l'un laisser levant lieu loin long Louis lui-même main maison maître marche ment mère milieu mille monde monsieur montagnes monter montrer mort n'avait Napoléon nature Notice nouvelle nuit parler paroles passer pauvre pays peine pendant pensée père personne petit petite peuple pieds Pierre place porte pouvait premier qu'un quatre regards répondit reste rien s'il Saint sais sang semble sentiment sera seul siècle soldats soleil sortir terre tête tombe tour troupes trouve venait vent ville vive voilà voit voix voyez yeux
Popular passages
Page 484 - Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois. » A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie ; Et, pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Page 449 - JOURDAIN. Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien ' ; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Page 28 - Monsieur le maréchal, lisez, je vous prie, ce petit madrigal, et voyez si vous en avez jamais vu un si impertinent ; parce qu'on sait que depuis peu j'aime les vers, on m'en apporte de toutes les façons. » Le maréchal, après avoir lu, dit au roi : « Sire, Votre Majesté juge divinement bien de toutes choses ; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu.
Page 49 - Le jour n'y finit point , et la nuit , avec ses sombres voiles , y est inconnue ; une lumière pure et douce se répand autour des corps de ces hommes justes, et les environne de ses rayons comme d'un vêtement.
Page 85 - Alors, l'esprit perdu dans cette immensité, je ne pensais pas, je ne raisonnais pas, je ne philosophais pas: je me sentais, avec une sorte de volupté, accablé du poids de cet univers, je me livrais avec ravissement à la confusion de ces grandes idées, j'aimais à me perdre en imagination dans l'espace; mon cœur resserré dans les bornes des êtres s'y trouvait trop à l'étroit, j'étouffais dans l'univers, j'aurais voulu m'élancer dans l'infini.
Page 485 - Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. 'Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'août, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 471 - Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi; Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille » En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser ; Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chairs meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Page 474 - Dieu laissa-t-il jamais ses enfants au besoin ? Aux petits des oiseaux il donne leur pâture, Et sa bonté s'étend sur toute la nature.
Page 84 - Mon imagination ne laissait pas longtemps déserte la terre ainsi parée. Je la peuplais bientôt d'êtres selon mon cœur, et, chassant bien loin l'opinion, les préjugés, toutes les passions factices, je transportais dans les asiles de la nature des hommes dignes de les habiter. Je m'en formais une société charmante dont je ne nie sentais pas indigne, je me faisais un siècle d'or à ma fantaisie...
Page 449 - Non, monsieur. Tout ce qui n'est point prose est vers, et tout ce qui n'est point vers est prose.